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Une jeune élève déficidente mentale d’une école décéde à la suite d’une chute, reaction de Christel Prado

Ecole du sacre coeur a PerigueuxC’est un jeune garçon âgé de huit élèves dans une école de Périgueux en Dordogne qui serait le responsable de cet accident, en poussant sa camarade « dans un geste très rapide », qui avait peu avant ouvert la fenêtre et provoquant la chute et son décès le 9 janvier dernier, depuis le premier étage de son école d’une élève du même âge.

Un accident dramatique provoqué semble t-il également par le manque de vigilance de l'enseignante, occupée avec d’autres élèves de la classe spécialisée.

Bien que pénalement irresponsable par son âge, le jeune qui à reconnu les faits ne pourra faire que l'objet de sanctions éducatives. Une enquête judiciaire a été ouverte et confié une enquête pour « homicide involontaire » à la police. Le parquet qui estime que les expertises devront, au préalable, évaluer « son degré de discernement et de conscience de la réalité de l'acte qu'il a commis », a déclaré le procureur, Jean-François MAILHES. Ce dernier ayant évoqué un drame « inédit, très spécifique » étant donné le contexte et l'âge des protagonistes. L'enfant, qui faisant l'objet de placement administratif depuis l'âge de 4 ans, vit en famille d'accueil où il a été laissé. Sa scolarisation a été, dans un premier temps, suspendue.

Transporté par hélicoptère au CHU de Bordeaux, où elle est morte. L'inspection d'académie qui aussitôt mis en place une cellule d'aide psychologique aux enfants et parents, qui a fonctionné toute la journée avec notamment un médecin conseiller de l'académie, une infirmière, une assistance sociale et un psychologue du diocèse, dont dépend l'école, a précisé la directrice académique de Dordogne, Jacqueline ORLAY.

Les deux enfants étaient élèves d'une Classe pour l'inclusion scolaire (CLIS), classes spéciales de petite taille (une dizaine d'élèves) qui ont pour mission d'accueillir, dans certaines écoles primaires, des élèves en situation de handicap, pour leur permettre de suivre, au moins partiellement un cursus scolaire ordinaire.

Un drame pour lequel Christel PRADO présidente de l'Unapei, interrogé sur les circonstances exprimer un « sentiment de peine profonde face au drame de la mort d’une élève poussée par la fenêtre par un autre élève ». Soulignant que la « seule chose qui me gêne est que, dans les informations qui me sont parvenues, des détails qui ne permettent pas d’expliquer les faits figuraient. Un cas ou nombre de parents  ou dans les réseaux sociaux ont parlé d’« Amalgame » concernant le traitement de se fait d’actualité,

Christel PRADO nous précisera « Si vous voulez dire que le fait que ces deux enfants aient été en situation de handicap, oui, je ne vois pas ce que ce fait vient apporter comme éclairage au drame. Beaucoup de familles ont peur que leurs enfants soient scolarisés avec des enfants en situation de handicap. Je crois qu’il est de notre devoir à tous de ne pas alimenter les peurs ».

Stéphane LAGOUTIÉRE

Attentat Charlie Hebdo : Les deux islamistes tués par le GIGN

Liberation des otages portes de vincennesÉpilogue d’une journée inédite en France. Alors que les frères KOUACHI s’étaient retranchés dans une imprimerie ce vendredi à Dammartin-en-Goëlle (Seine-et-Marne), les deux suspects de l’attentat survenu mercredi à Charlie Hebdo où 12 victimes avaient trouvé la mort dont les quatre célèbres dessinateurs du journal satirique CHARB, TIGNOUS, WOLINSKI et CABU, ont été tué par le GIGN. À la mi-journée, le troisième homme Amedy COULIBALY, qui avait tué une policière municipale ce jeudi à Montrouge (Hauts-de-Seine), a été neutralisé par le RAID.

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La liberté de la Presse tué en plein cœur par des islamiques a la rédaction de Charlie Hebdo

Charb cabu_wolinski_et_tignousParfois décrie, mais fortement apprécié par les Français pour son humour et satiriques de l’actualité, Charlie Hebdo auteur notamment du portrait de Mahomet en 2012, a été la victime d’un attentat ce matin par deux hommes cagoulés et armés. Un attentat qui aura fait douze victimes dont les quatre célèbres dessinateurs emblématiques Charb, Wolinski, Cabu et Tignous mais aussi deux policiers.12 victimes ou figure également...Bernard Maris.Sa mort confirmée par Radio France, où celui-ci travaillait également et Stéphane Charbonnier, directeur de la rédaction de l’hebdomadaire satirique. Le président qui vient de décidé une journée de deuil nationale, ainsi que la mise en berne des drapeaux pendant trois jours.

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Le sort de l’avenir de Vincent LAMBERT dans les mains de la Cour européenne de justice

Rachel Lambert audience CEDH a StrasbourgAlors que la Belgique voir une affaire d'euthanasie faire la une des médias, les dix-sept juges de la Cour européenne de Justice ont écouté aujourd'hui pendant deux heures les protagonistes de ce feuilleton judiciaire à rebondissements. Celui de Vincent LAMBERT, tétraplégique en état végétatif chronique, actuellement hospitalisé dans un service de soins palliatifs à Reims et dont le Conseil d'Etat a autorisé, en juin, l'arrêt de l'alimentation et de l'hydratation artificielle qui le maintiennent en vie. Le CEDH saisi par ses parents et un demi-frère suspendant cette décision.

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Des fonctionnaires placés en garde vue pour détourment sur des allocations comme l’APA ou le PCH

President Conseil general de la Seine-Saint-DenisDéclenché dans la plus grande discrétion, mardi matin, les enquêteurs de police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis ont procédé à l’arrestation à leurs domiciles huit personnes, employées par le conseil général (CG) du 93. Une arrestation provoquée par des plaintes déposées du président socialiste du conseil général Stéphane TROUSSEL, aux mois d’avril et mai 2014.

Une fraude aux prestations sociales qui s’élèverait à près de 5 M€.

Début 2014, un audit interne avait mis en lumière une série de dysfonctionnements et d’incohérences quant à l’attribution d’allocations destinées à des handicapés et des personnes dépendantes domiciliées en Seine-Saint-Denis, selon le conseil général. Des fonctionnaires qui avaient été suspendus, entre les mois de mai et d’octobre 2014, « à titre conservatoire ».

A cette heure alors que selon le Parquet de Bobigny les auditions des suspects étaient toujours en cours, celui a ouvert une ouvert une enquête pour escroquerie d’abus de confiance et d’accès frauduleux à un système de traitement.

Un trafic en place depuis 2002

Les huit fonctionnaires accusées étaient vraisemblablement devenues des professionnelles, ils auraient ainsi créé près de 80 dossiers fictifs pendant douze ans, de bénéficiaires avant de leur verser l’allocation personnalisée d’autonomie (APA), destinée aux personnes âgées et dépendantes, ainsi que sur la prestation compensatoire du handicap (PCH), normalement réservé aux personnes handicapées. L’ensemble des suspects était employé au sein de la direction des personnes âgées et de personnes handicapées (DPAPH) du conseil général.

Une enquête auquel vont participer les enquêteurs du groupe d’intervention régional (GIR) spécialisés dans les investigations financières qui sont actuellement d’évaluer le patrimoine et les avoirs des fonctionnaires mis en cause.

Une interrogation demeure et celle de la durée de cette escroquerie, dont certains des fonctionnaires étaient en poste depuis plus de dix ans une continuité qui pourrait semblé croire a une véritable « organisation mafieuse ».

Le conseil général et son président qui ont tenu a souligné que « L’argent détourné n’a pas manqué aux vrais bénéficiaires de ces allocations », a précisé, mardi, Stéphane TROUSSEL. « Ce qui est insupportable dans cette affaire est que des fonctionnaires en charge d’un service public ont profité de leur position pour se livrer à de tels actes. »

Avant d’ajouter que si « la présomption d’innocence doit être préservée (..) Mais si les faits sont avérés, j’attends que la justice passe avec la plus grande sévérité dans ce dossier. Cette affaire ne doit pas venir entacher la réputation de tous les autres fonctionnaires du conseil général de Seine-Saint-Denis qui font preuve de dévouement et du plus grand sérieux au quotidien. »

La Rédaction

Le handi-van du jeune Quetin se retrouve sur le Boncoin.fr

Quentin Marest remise du handi-vanUn cadeau qui n’aurait pas plu à la famille de Blangy-sur-Bresle (Seine-Maritime). Une semaine après avoir reçu une remorque adaptée pour leur enfant handicapé, atteint du syndrome de Coffin-Lowry, Arnaud et Virginie Marest ont décidé de la revendre sur internet. Un étonnement pour les associations qui ont financé à hauteur de 6000 euros ce handi-van. Les parents de Quentin assure que l’argent récolté par cette vente sera réinvesti dans leur association « Une étoile pour Quentin » afin d’avoir les fonds nécessaires pour racheter un véhicule adapté pour leur fils.

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Ouverture du 3e rendez-vous du handicap entre colère et manque de conviction

Conference Nationale PresidentUne demi-journée de travail, un discours de 37 minutes de François HOLLANDE de cloture, auront suffit pour boucler cette 3e conférence nationale du handicap ce jeudi 11 décembre dans la salle des fêtes Palais de l'Elysée. Accessibilité, éducation, emploi, santé, jeunesse auront les thèmes majeurs de celle-ci. Le chef de l'Etat qui s'exprimait devant les partenaires sociaux ainsi que des responsables d'associations, d'établissements d'accueil ou de services départementaux aura annoncé une série de mesures.

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