Skip to main content

8 dirigeants sur 10 estiment que l’acte d’embaucher des personnes handicapées est jugé difficile

Conférence réseau humain au MEDEFÀ l'occasion de la présentation des résultats de l'enquête IPSOS, « Handicap et Entreprise », Jean-Baptiste HIBON, entrepreneur lyonnais, lance la nouvelle plate-forme web personnes représentatif de la population française, selon une enquête d'Ipsos réalisée par téléphone du 1er au 09 septembre 2014 auprès d'un échantillon représentatif de 298 dirigeants et responsables d'entreprises de 10 salariés et plus...Ainsi 8 patrons sur 10 estiment que l'acte d'embaucher des personnes handicapées est jugé difficile quel que soit la taille et le secteur d'activité de l'entreprise.

Lire la suite...8 dirigeants sur 10 estiment que l’acte d’embaucher des personnes handicapées est jugé difficile

Manpower annonce la poursuite de son soutien à l’émission «L'ESAT, c'est la vie» diffusée sur Vivre.FM

Emission sponsorise par Manpower sur VivreFML'emploi un secteur ou l'actualité reste essentiel dans la vie des personnes handicapées. Un soutien qui venu confirmé a l'occasion d'une d'une émission diffusée hier, mardi 5 mai. Magali MUNOZ, directrice du projet à l'Agence Manpower Insertion, Handicap, apportant en direct son témoignage sur les engagements pris par son entreprise dans le domaine du secteur protégé et adapté ainsi que la série de dix émissions intitulées « L'ESAT, c'est la vie ».

Lire la suite...Manpower annonce la poursuite de son soutien à l’émission «L'ESAT, c'est la vie» diffusée sur...

121e Congrès SFO : Zeiss dévoile ses nouvelles applications en matière d’ophtalmologie

Affiche partielle du 121e congres de la SFODans le cadre du 121e Congrès de la Société Française de l’Ophtalmologie (SFO), qui se tiendra à Paris du 09 au 12 mai prochain, le Groupe Zeiss dévoilera les avancées technologiques concernant son CIRRUS HD-OCT 5000. Ce dernier pourra ainsi offrir une meilleur diagnostic concernant les affections oculaires telles que la dégénérescence maculaire liée à l’âge, le glaucome ou encore de nombreuses maladies rétiniennes. Durant ces trois jours, Zeiss devrait mettre en lumière une nouvelle approche de la formation avec la création de la plateforme « Ze-Learn ». Cette formation on-line permettra ainsi aux médecins ophtalmologistes de s’actualiser sur leurs connaissances. Ce Congrès pourra ainsi offrir un nouvel espoir à tous les Français souffrant d’une déficience visuelle.

Lire la suite...121e Congrès SFO : Zeiss dévoile ses nouvelles applications en matière d’ophtalmologie

La mère de Vincent LAMBERT, demande a François HOLLANDE un "minimum d'humanité"

Viviane LAMBERT devant l ElyseesAlors que certains voient en elle une intégriste ou fondamentaliste, elle estime simplement être une mère qui défend la « chair de sa chair ». La mère de Vincent LAMBERT, un jeune homme tétraplégique en état végétatif, au cœur d'un conflit familial et judiciaire c'est rendu ce 6 mai a l'Élysée pour remettre livre "Pour la vie de mon fils" qu'elle vient d'écrire et qui sort aujourd'hui aux Éditions Plon. Viviane LAMBERT qui vient de rendre publique une lettre envoyée le 22 avril dernier, pour réclamer un "minimum d'humanité" pour son fils dont le sort dépend d'une décision de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH).

Lire la suite...La mère de Vincent LAMBERT, demande a François HOLLANDE un "minimum d'humanité"

4e atelier collaboratif sur le handicap psychique

Atelier psychique Anger organisee par la FHF FegapeiLa FHF, Fegapei et le Crehpsy Pays de la Loire ont animé le 7 avril dernier, le quatrième atelier collaboratif sur le handicap psychique. À cette occasion, les participants ont été accueillis par Yann BUBIEN Directeur général du CHU d’Angers et Marc MARHADOUR, Directeur général de l’Adapei 44. Un bilan qui confirme la qualité de ces rendez-vous dont deux sont encore au programme.

Lire la suite...4e atelier collaboratif sur le handicap psychique

Le conseil d’Etat rejette la requête de l’association Vaincre l’autisme pour « l’excès de pouvoir »

Conseil d'Etat_Salle_seancesDéposé en 2014 par l'association Vaincre l'Autisme, celle-ci avait alors demandé au Conseil d'État d'annuler "pour excès de pouvoir" une circulaire d'application du 3e plan autisme (2013-2017) signé le 13 février 2014, par les ministères de l'Éducation nationale et des Affaires sociales. Le Conseil d'État aura finalement rejeté la requête de l'association écartant tous les arguments soulevés par cette dernière.

Une circulaire adressée aux recteurs d'académie et directeurs des Agences régionales de santé (ARS) portant sur la mise en oeuvre des plans d'action régionaux, sur les créations de places en établissements ou services médico-sociaux et sur les unités d'enseignement en maternelle prévues par le 3e plan autisme. L'association qui lui reprochait notamment de réserver « une place prépondérante aux structures de psychiatrie dans le suivi des personnes avec autisme et autres troubles envahissants du développement »

Des arguments jugés infondés...

Le Conseil d'État, aura donc estimée l'absence de bien fondée de cette requête en écartant tous les arguments soulevés par l'association, estimant notamment que le texte attaqué « se borne à souligner la nécessité d'une mobilisation de l'ensemble des acteurs responsables de la prise en charge de l'autisme et autres trouble envahissants du développement, aussi bien les structures de psychiatrie que tous les autres intervenants ».

La plus haute juridiction administrative a aussi estimé que les ministères n'ont pas méconnu l'obligation impartie à l'État de favoriser la scolarisation en milieu ordinaire, en confiant la gestion des nouvelles unités d'enseignement en école maternelle à des structures médico-sociales.

Un soutien éducatif jugé satisfaisant

Lors d'un bilan d'étape du 3e plan autisme en avril, le gouvernement a annoncé sa volonté d'améliorer la prise en charge des personnes atteintes d'autisme, en agissant sur la formation des professionnels de santé et d'accompagnement pour faire évoluer les méthodes.

Il convient de rappeler que la haute autorité de santé (HAS) avait jugé en 2012 que l'approche psychanalytique, qui domine depuis des décennies en France, n'avait pas fait la preuve de son efficacité et était "non consensuelle". Elle avait recommandé, dès le plus jeune âge, des méthodes éducatives et comportementales, qui travaillent sur les apprentissages. Un choix qui continue a faire polémique y comprit dans le milieu de la psychiatrie.

La Rédaction (AFP)

IME MOUSSARON : 9 plaintes sur 10 classées sas suite, déception des parents

Institut medico educatid de Moussaron a Condom dans le GersUn collectif d'associations a protesté contre le classement sans suite de neuf des dix plaintes qui mettaient en cause un institut pour enfants et jeunes handicapés dans le Gers. La justice n'ayant pas trouvé de preuves de maltraitance ni de détournements n'a pas pu infligé une peine au couple DOAZAN qui était au coeur de la polémique. Un établissement pourtant comparé en avril 2014 par des salariés a des orphelinats comparable a ceux de la Roumanie a l'époqiue de l'ancien didacteur.

C'est l'incompréhension pour les associations. Sur les dix plaintes, trois ont été classées car « aucune infraction pénale n'a été découverte », a confirmé le procureur de la République d'Auch à l'AFP, Pierre AURIGNAC. Une autre a été abandonnée en raison de la prescription des faits.

Cele déposée en 2014 par la ministre déléguée de l'époque aux Personnes handicapées, Marie-Arlette CARLOTTI, pour abus de bien social et abus de confiance, a également été classée. Par ailleurs, les quatre plaintes des salariés ont été, elles aussi, classées sans suite. Seule une des cinq déposées par des familles, pour des soupçons de maltraitance, est toujours en instruction auprès d'un juge à Auch.

L'Institut médico-éducatif de Condom au cœur de la polémique

Le collectif, qui portait les accusations (Association des paralysés de France dans le Gers, CGT, ex-salariés, familles), s'est dit « très étonné que sur dix plaintes, aucune poursuite judiciaire ne soit engagée, alors qu'un rapport de l'Agence régionale de santé (ARS) avait dénoncé en octobre 2013 une situation de « maltraitance institutionnelle », a-t-il expliqué dans un communiqué adressé à l'AFP.

Rappelons que fin 2013, l'institut médico-éducatif (IME) de Condom, « Maison d'enfants de Moussaron », était au coeur d'une vive et douloureuse polémique. La raison ? Les conditions exécrables dans lesquelles étaient logées les pensionnaires souffrant d'une déficience intellectuelle ou de divers handicaps.

Qui sont les réelles victimes dans cette affaire ?

Le procureur a relevé que « la structure ne correspondait pas au fonctionnement nécessaire pour ces enfants. Il y avait des choses qui, du point de vue administratif interne, ne correspondaient pas aux standards », a-t-il évoqué. Mais qu'en est-il de l'enquête ? Apparemment, elle n'a pas pu confondre les présumés coupables. « Le couple DOAZANo a souffert de ces accusations. (...) Je n'ai strictement rien à leur reprocher sur le plan pénal », a insisté le procureur.

C'est un comble car les époux DOAZAN vont presque se faire passer pour les victimes. Pourtant dans cette histoire, ce sont bien les patients qui ont été les premiers à souffrir de cette situation inacceptable dans notre société. Comme le souligne le collectif : « Les familles n'ont-elles pas souffert en découvrant l'état sordide du bâtiment dans lequel était pris en charge les enfants? »

Mettre en place une politique de « bientraitance ».

Le comité d'entente, formé à Paris par 70 associations nationales représentatives des personnes handicapées et parents d'enfants handicapés (Unapei, APAJH, APF, FNATH...), reste dubitatif après l'annonce de ce jugement.

Ce dernier a saisi la secrétaire d'État en charge des Personnes Handicapées et de la Lutte contre l'Exclusion, Ségolène NEUVILLE, afin que cette affaire puisse être faire naître un débat sur les contrôles des structures par les autorités, en matière de mise en place de politiques de « bientraitance ». Même s'il n'y aura pas de poursuites judiciaires, elle aura au moins montré quelques dysfonctionnements qu'il faut à tout prix bannir dans les IME.

La Rédaction (Avec AFP)