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Le gouvernement lance un groupe de travail sur le vieillissement des personnes handicapées

De droite a gauche Patrick GOHET, Marie-Arlette CARLOTTI, Michèle DELAUNAY le  7 février  2013Les deux ministres Marie-Arlette CARLOTTI chargé des Personnes handicapées et de la lutte contre l'Exclusion et Michèle DELAUNAY, chargé des Personnes âgées et de l'Autonomie, ont annoncé le lancement d'un groupe de travail sur le vieillissement des personnes en situation de handicap, à l'occasion hier de la visite d'un foyer d'accueil médicalisé « Jean FAVERIS » de l'association « Les jours heureux » à Paris. Un groupe de travail qui selon les ministres, aura pour vocation d'évaluer les besoins de ces personnes et les difficultés que cela pose pour leur accompagnement. Cette réflexion a également pour objet d'identifier les bonnes pratiques et de proposer les évolutions à mettre en œuvre.

Si pour Michèle DELAUNAY, « le but premier de ce groupe de travail est de répondre aux besoins et aux attentes de la personne handicapée vieillissante, notamment le maintien dans son milieu de vie aussi longtemps qu'elle le peut et le veut. Il est aussi d'anticiper et d'accompagner tout changement nécessaire en évitant qu'il ne se transforme en rupture pour elle et pour son environnement. ». De son côté, Marie-Arlette CARLOTTI a rappelé que « l'enjeu de ce groupe de travail est de fédérer les énergies, de rassembler les connaissances, et de diffuser les bonnes pratiques, dans le cadre d'un plan cohérent pour que ces personnes vivent leur vieillesse dans de bonnes conditions » tout en insistant sur « l'obligation morale que s'est fixé le Gouvernement : ne laisser personne sur le bord du chemin, réhabiliter la solidarité dans un souci de justice et de cohésion ».

Un homme d'expérience a la tête

Un groupe de travail qui commencera son travail dans les prochains jours et qui sera animé par un homme d'expérience Patrick GOHET, inspecteur général des affaires sociales il a présidé le Conseil national consultatif des personnes handicapées de 2009 à 2012 et aura siège comme au sein de l'UNAPEI. Un groupe de travail qui sera composé de représentants des personnes handicapées, des instances consultatives concernées, des fédérations de gestionnaires, des administrations, des organismes financeurs, des collectivités territoriales et de personnalités qualifiées. Ce dernier dont les ministres ont demandé qu'il puisse rendre ses conclusions en juin 2013 avec un point d'étape prévus en fin avril.

Stéphane LAGOUTIERE

Accessibilité & Insertion professionnelle des personnes handicapées : 3 ans d'un projet expérimental,

page d’accueil du site Innov Access Grenoble-2010-2013Le 22 janvier 2013, INOVACCESS 2010/2013 à fêter ses 3 ans. Prolongé de 6 mois, ce dispositif innovant et unique en France entre dans sa dernière ligne droite et prendra fin le 30 juin 2013. La Ville de Grenoble s'est engagée à poursuivre et étendre la démarche au-delà de cette date.

6 mois supplémentaires pour bénéficier du programme INOVACCESS

Au terme de 3 années d'expérimentation, l'AGEFIPH, la Ville de Grenoble et le FIPHFP auront donc décidé de prolonger INOVACCESS de 6 mois, accordant ainsi aux employeurs un temps supplémentaire pour bénéficier de l'expertise de l'équipe projet et des aides disponibles. « Cette décision traduit la volonté de se donner un peu plus de temps pour lever les obstacles, pour finaliser certains projets et permettre à d'autres de se concrétiser, toujours dans l'objectif de favoriser à terme l'insertion professionnelle des personnes handicapées » précise André Millat-Carus, délégué régional Rhône-Alpes de l'AGEFIPH. Il ajoute : « Jusqu'au 30 juin 2013, chaque employeur entré dans la démarche peut bénéficier jusqu'à 150 000 euros d'aides pour réaliser des travaux de mise en accessibilité de ses locaux. C'est une véritable opportunité pour améliorer le cadre de vie de chacun au sein des entreprises. »

La Ville de Grenoble assure la continuité des actions d'INOVACCESS

Forte de ses 3 ans de pratique et consciente du bien-fondé d'INOVACCESS, la Ville de Grenoble a voté en Conseil municipal la pérennisation du projet au-delà du 30 juin 2013. Stéphane GEMMANI, Conseiller Municipal Délégué de la Ville de Grenoble, en charge de l'accessibilité nous à expliquer les raisons : « La Ville de Grenoble a toujours décuplé ses efforts en faveur de l'accessibilité. En ce sens, nous tenions à pérenniser le dispositif au-delà de l'engagement financier et opérationnel de l'Agefiph et du FIPHFP. Ainsi, nous entendons poursuivre les actions d'INOVACCESS et les étendre à l'ensemble de la Ville. » Cette décision est un vrai motif de satisfaction pour les acteurs ayant impulsé cette démarche innovante. Elle contribue à essaimer l'esprit pionnier d'INOVACCESS en sensibilisant les autres collectivités et les institutions françaises à la nécessité de créer une continuité de l'accessibilité, de la cité à l'entreprise, afin de favoriser l'insertion professionnelle et l'emploi des personnes handicapées.

Des aides conséquentes apportées aux employeurs depuis 2010

Depuis trois ans, le programme INOVACCESS offre la possibilité aux employeurs, situés sur le périmètre de l'expérimentation, de bénéficier d'un soutien opérationnel et financier pour faciliter la mise en accessibilité de leurs locaux professionnels. Une belle opportunité pour les entreprises qui ont bien compris l'intérêt d'adhérer à une telle démarche, à en croire les 74 employeurs, représentant 90 % de l'effectif salarié du secteur, entrés dans la démarche. Ainsi, depuis son lancement, INOVACCESS a permis de mobiliser 430 000 euros d'aides directes visant à la réalisation de diagnostics d'accessibilité, d'études d'avant-projet et l'accompagnement personnalisé des employeurs dans les différentes étapes de mise en accessibilité.

INOVACCESS : un projet unique en France et en Europe

Pour la première fois en France, INOVACCESS expérimente le concept de «chaîne de déplacements», promu par la loi du 11 février 2005, et celui de «territoire économique adapté». Véritable laboratoire grandeur nature, INOVACCESS envisage l'accessibilité de tous, quel que soit sa déficience, à l'échelle globale de trois quartiers, notamment sur la Presqu'Ile scientifique. Depuis son lancement, le projet n'a cessé d'évoluer afin d'étendre le plus largement possible son champ d'actions aux entreprises du secteur*. Le FIPHFP (Fonds pour l'Insertion des Personnes Handicapées dans la Fonction Publique) a notamment rejoint INOVACCESS, permettant ainsi aux employeurs publics de bénéficier de l'accompagnement et des aides proposés dans le cadre de cette initiative. Initialement destiné aux employeurs de plus de 10 salariés, le programme s'est étendu par la suite en 2011 aux entreprises artisanales et commerciales plus petites, grâce au partenariat noué entre l'Agefiph, le FIPHFP, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Grenoble et la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de l'Isère.

La Rédaction

 

Ondes électromagnétiques et inaction publique… Vers un nouveau scandale sanitaire ?

Des antenne relais situé sur le toit d'un immeuble parisien émettant des ondes électromagnétiques (Illustration)Alors que les crises sanitaires ne cesse de se développer l'une après les autres qu'ils s'agisse du Médiator, ou de la pilule d'Ariane, l'assemblée nationale débat depuis aujourd'hui sur une proposition de loi sur les précautions à prendre vis à vis des ondes électromagnétiques. Une demande soutenue est à l'inactive des Jeunes Écologistes qui soutiennent ce qu'il appelle une "initiative de santé publique et dénoncent l'action irresponsable de ceux qui tentent de vider ces mesures urgentes de leur substance."

Selon l'OMS, les radiofréquences telles que les antennes relais, Wi-Fi, compteurs intelligents ont étaient reconnues depuis 2011 comme possiblement cancérigènes pour l'humain. Dans le même temps, les problèmes médicaux, notamment l'électro-hypersensibilité, rencontrée par des citoyens selon les écologistes se multiplient. Pour les Jeunes Écologistes, il est temps, d'appliquer aux ondes électromagnétiques le principe de précaution reconnu dans la Charte de l'environnement de notre Constitution. Le développement économique ne doit pas se faire au détriment des questions environnementales et sanitaires !

C'est dans cette optique que Laurence ABEILLE, député écologiste du Val-de-Marne, a déposé une proposition de loi relative à l'application du principe de précaution aux risques résultant des ondes électromagnétiques. Cette proposition vise à adapter les normes françaises aux préconisations des experts internationaux qui conseillent notamment de protéger les enfants et d'abaisser les seuils d'exposition. Un projet qui n'aura que peu de chances de voir le jour et d'être soutenu par le parti socialiste.

Ce qui devrait être une mesure unanime et consensuelle, car d'intérêt général pour les jeunes écologistes, soulève dans notre pays d'irresponsables résistances, comme l'a prouvé l'élagage en Commission des affaires économiques de cette proposition de loi. Même la possibilité d'interdire le Wifi dans les crèches n'a pas résisté face au lobbying des industriels concernés et au conservatisme de la majorité des élu-e-s et membres du Gouvernement.

Quand la ministre de l'Économie numérique met en garde contre des « peurs irrationnelles » et se cache derrière des arguments scientifiques de plus en plus fragiles, les Jeunes Écologistes ne peuvent s'empêcher de faire le parallèle avec les arguments fallacieux des climato sceptiques.

Souffrant certainement d'une peur irrationnelle du principe de précaution, Fleur PELLERIN a vidé le texte de son contenu, le limitant au strict minimum, et se moquant même des inquiétudes des parents quant à la possible exposition de leurs enfants à des dangers sanitaires. Elle a notamment expliqué son action sur le texte par le nécessaire développement du numérique à l'école.

À l'heure où cette loi sur les ondes électromagnétiques va être débattue, les Jeunes Écologistes réclament un renforcement de l'information, de la prévention et de la transparence sur les niveaux d'émission, ainsi que la reconnaissance de l'électro-hypersensibilité, qui handicap un nombre de plus en plus important de nos concitoyens. De fait, les Jeunes Écologistes appellent à un enrichissement de la proposition de loi afin d'adapter notre législation obsolète pour faire face à ce défi sanitaire majeur. Pour lequel il ne cesse d'affirmer que la santé des Français n'est pas une variable d'ajustement économique !

La Rédaction

Plan Quinquennal de lutte contre la pauvreté, les personnes handicapées abandonnées à leurs sorts…

Comité interministériel de Lutte contre les exclusions à l'Hotel Matignon le 21 Janvier 2013Au lendemain de la présentation par le gouvernement et le Premier ministre du plan quinquennal de lutte contre la pauvreté, les personnes handicapées seront une nouvelle fois laissées de côté. Une colère exprimée par l'APF pour qui « Les personnes en situation de handicap semblent n'avoir récolté que les miettes de ce plan anti-pauvreté ! ». Comme le laisser prévoir la conférence du 10 et 12 décembre dernier qui avait déjà alerté les associations, aucune mesure concrète et directe ne concernera les 2 millions de personnes en situation de handicap ou atteintes de maladie invalidante, bénéficiant de l'AAH ou de la pensions d'invalidité ou bien encore vivent sous le seuil de pauvreté.

Un communiqué ou l'APF évoque quelques « mesurettes » proposées par le gouvernement pour les personnes en situation de handicap ne sauraient constituer une réponse durable et efficace aux situations de précarité vécues quotidiennement par ces personnes. L'APF qui « déplore que la pauvreté des personnes en situation de handicap ne soit pas à l'agenda du gouvernement qui ne mène pas, sur ce sujet, une politique transversale du handicap », qu'il avait promis fin 2012.

L'APF qui rappelle que l'augmentation de l'AAH de 25% en cinq ans n'a lui constitué qu'un rattrapage de la perte du pouvoir d'achat subie par les personnes en situation de handicap ces 25 dernières années. Sans compter les pensions d'invalidité, qui elles, n'ont pas été revalorisées !

Les bénéficiaires de l'AAH ou de pensions d'invalidité étant des personnes dont les trois quarts ne peuvent accéder à une activité professionnelle, l'emploi ne constitue donc pas pour elles un rempart contre la pauvreté ou la précarité. « Maintenir l'AAH sous le seuil de pauvreté et dans une logique de minimum social et ne pas revaloriser les pensions d'invalidité, ce sont les condamner à vivre toute leur vie sous le seuil de pauvreté sans l'espoir d'en sortir », s'indigne l'APF. À aucun moment, l'indexation annuelle sur l'inflation qui sera appliquée au RSA, ni l'individualisation de l'AAH n'ont été évoquées. Et, pour finir, malgré le relèvement du plafond de la CMU-C, les personnes bénéficiaires de l'AAH ne pourront toujours pas y avoir accès.

Un espoir d'être entendu, tout de même ! En effet, après maintes demandes, l'APF sera reçue par le cabinet de Jean-Marc Ayrault le 4 février 2013. L'APF attend beaucoup de cette rencontre : les personnes en situations de handicap ne veulent pas des miettes octroyées dans ce plan anti-pauvreté, mais d'un vrai nouveau modèle social ambitieux !

Stéphane LAGOUTIERE

Marisol TOURAINE et Michel SAPIN, inaugure la maison de santé pluridisciplinaire d'Argenton-sur-Creuse

Fruit dans la région Centre, d'une politique adoptée en juin 2011 sur la stratégie régionale de santé afin de former et à attirer des professionnels de santé cette Maison en est aujourd'hui la concrétisation. Favoriser un maillage de l'ensemble du territoire et mener des politiques de régulation des inégalités sociales et territoriales. Une politique mise en œuvre afin de répondre notamment à la situation difficile et préoccupante en termes de démographie médicale en région Centre. Une cérémonie à laquelle les auront assistés au côté deux ministres les présidents de la Région Centre, François Bonneau, du conseil général de l'Indre, Louis PINTON, et le maire de la commune, Michel QUINET.

Michel Quinet et Michel Sapin, entourant la ministre,  à Argenton-sur-Creuse. Marisol Touraine qui a salué hier un exemple local remarquable de lutte conte le désert médical. ©Patrick Gaïda / FHIAprès un diagnostic particulièrement préoccupant en termes de démographie médicale en région Centre, la Région a fait de la santé une priorité majeure de sa politique territoriale. Dès 2012, elle a lancé un « Plan Urgence Santé » qui s'inscrit dans le cadre de son Schéma Régional d'Aménagement et de Développement Durable du Territoire (SRADDT). Un plan qui prévoit notamment la création de 50 Maisons de Santé Pluridisplinaires d'ici 2013, et un engagement très fort en faveur de la formation de futurs professionnels de santé. Une solution rendue possible avec l'extension ou création d'Institut de Formation Sanitaire et Sociale, ouverture de formation dans ce domaine dans certains établissements de formation, le financement d'établissements de santé, etc.

La Région Centre a financé la création de la MSP d'Argenton-sur-Creuse à hauteur de 37,05% soit environ 504 000€ du coût global estimé lui a 1 360 0 00 Md€, via le CPER. Cette MSP réunit 32 professionnels de santé et couvre trois cantons carencés en médecins généralistes libéraux. Elle est équipée d'un plateau technique permettant de réaliser de la télémédecine.

La Rédaction

La Cour des comptes demande une plus grande transparence des dons sur l’aide d’urgence

Façade de la Cour des comptes La Cour des comptes rend public, vendredi 11 janvier 2013, son rapport sur l'aide française à Haïti après le séisme du 12 janvier 2010. La Cour a examiné l'action de l'État ainsi que l'utilisation des dons récoltés par sept organisations non gouvernementales (ONG). L'aide publique d'urgence et de reconstruction est évaluée à 152,5 M€ et les ONG ont récolté 245 M€. La Cour ne constate aucune irrégularité dans l'utilisation des moyens. Elle incite les autorités françaises à améliorer l'aide d'urgence en milieu urbain et recommande à certains organismes d'accroître la transparence sur l'utilisation des dons.

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La Ville de CARMAUX rend compte de l’évolution de son accessibilité pour l’année 2012

Maison des citoyens a Carmaux côté rue, avec l'installation d'une pente douce©  ville de CarmauxComme pour toutes les villes de plus de 5000 habitants, Carmaux a rendu son rapport annuel d'accessibilité prévu par la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, pose l'obligation d'accessibilité pour tous les établissements recevant du public (ERP), à la date butoir du 1er janvier 2015. Une commission que la ville avait instituée après plus de quatre ans le 26 février 2009.

C'est à l'occasion du dernier conseil municipal de l'année 2012, le 13 décembre que ce dernier a pris acte notamment des nouvelles dispositions et des avancés communiqués par la commission qui avait pour mission de faire un diagnostic sur l'état d'accessibilité du cadre bâti, de la voirie, des espaces publics et des transports.

Une liste de plus 800 points de non conforme

Un état des lieux qui a notamment mis en avant concernant la voirie et les espaces publics s'est plus 15 Km de voies visité ont eu fait apparaître plus 800 points de non-conformité se répartissent en trois catégories. Ces points étant jugé du non conforme et impraticable au non conforme à peu de risques, le tout pour un coût total de travaux évalué à 4 555 675 €.

Concernant les ERP qui ont fait l'objet de nombreuses discussions y compris au point vu national. La ville de Carmaux compte elle 23 structures allant des écoles au lieu de cultes, ce sont plus de 144 points qui ont été relevés pour un total de 710 000 €. Autres point importants du rapport les transports ou les mitigé malgré l'existence d'un véhicule de transport collectif accessible aux personnes à mobilité réduite, et un transport à la demande depuis 2008.

À noter aussi la mise en accessibilité site internet de la ville, aujourd'hui performant, très bien conçu, et entièrement accessible aux personnes handicapées, quel que soit le handicap. Tout comme la médiathèque qui également accessible à tous, avec entre autres 1134 titres d'ouvrages en gros caractères et 181 lus (livres enregistrés).

Les actions nouvelles....

Si le rapport a souligné les actions menées, en 2012 sur les avenues de l'Europe, JBC, Albert Thomas, Bouloc Torcatis, ou Neckarsulm, principalement pour les passages piétons et trottoirs. En décembre 2012 s'est engagée la réfection totale de l'avenue Jean Jaurès. Ou encore ceux qui sont Entre 2010 et 2012, d'importants travaux ont été réalisés, dont l'EHPAD «Résidence du Bosc» (2009), et la rénovation de l'école Jean-Jaurès (avec le CLAE), en 2011-2012.

La ville et le conseil municipal, c'est lui engager à de nouvelles actions en dans les transports collectifs dont les travaux devraient commencer en 2013 le projet d'espace multimodal (Gare), avec comme fil conducteur l'accessibilité. Mais aussi procéderont à la mise en accessibilité de 11 ERP, les 5 groupes scolaires restant (primaire et maternelle), les salles Mitterrand, Bérégovoy et Pendariès, les stades Vareilles Malroux et la Sérinié. Concernant la voie publique et suite à ce diagnostic, la commune va élaborer son plan de mise en accessibilité voirie et espaces publics (PAVE), qui sera finalisée courant 2013.

Parmi les autres informations mises en avant par le rapport celui qui est en matière des logements et dans le cadre bâti, la commission doit organiser le recensement des logements accessibles, et a récemment sollicité les bailleurs publics.

La Rédaction