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Pose de la première pierre de l’IME Yépi Kaz, pour des jeunes polyhandicapés à temps plein en Guyane

Entrée gauche du prochain IME Yepi Kaz construit prochainement en GuyanneLe Président de la Fédération de l'APAJH Jean-Louis Garcia, a assisté en présence des autorités locales parmi lequel, Rodolphe ALEXANDRE, Président de la Région Guyane et de Philippe DAMIE, Directeur de l'Agence régionale de santé. Un établissement construit dans une logique d'inclusion, « La philosophie de la construction de l'IME Yépi Kaz est à l'image de celle de l'APAJH. Les jeunes accueillis seront au cœur de la Cité et bénéficieront de toutes les possibilités offertes par l'urbanisation, les technologies de la communication, ainsi que d'une proximité avec les habitants » précise, Jean-Louis GARCIA, président de la Fédération des APAJH.

Un président qui sera lui présent pendant une semaine, durant lequel il visitera des établissements, il rencontrera des familles, et se rendra à l'Agence régionnal de santé, comme à la Maison Départementale pour les Personnes Handicapées de Guyane. Des rencontres ou Il participera également à un Conseil d'Administration, au cours duquel sera mis en débat le thème du prochain Congrès de l'APAJH : l'accessibilité universelle. Un enjeu ill faut le rappeler qui consiste à rendre accessible l'ensemble des produits, des équipements, des programmes et des services pour permettre une pleine citoyenneté pour les personnes handicapées.

Une premières pour l'accueil des jeunes polyhandicapés !

Un nouvel établissement qui devrait permettre pour ces jeunes d'apporter une nouvelle réponse, dont la population des enfants et adolescents actuel serait estimé entre 150 personnes. Obligeants les familles à se séparer et d'envoyer leur enfant en métropole, ce que certaines refusent ! Des enfants et jeune parfois dont la seul prise en charge est réduite au soin médicaux.

L'IME qui devrait ouvrir ces portes dans quelques mois s'impose comme une réponse très attendue pour les familles de jeunes en situation de polyhandicap. D'une capacité d'accueil de 70 personnes, participera au développement de la commune, via la création d'emplois directs et indirects. Pour Georgina JUDICK-PIED, Présidente de l'APAJH Guyane : « cet établissement s'imposera comme une illustration probante de notre conviction, selon laquelle ce qui est utile pour le handicap est utile pour la société tout entière ». Un lieu qui proposera, de jour comme de nuit, un accompagnement de qualité, ainsi qu'un espace moderne et adapté. Il développera des missions touchant notamment à l'amélioration et la préservation des potentialités motrices ou encore à l'acquisition d'un maximum d'autonomie. Situé au cœur de la ville, il a été pensé selon une démarche inclusive.

Une association créatrice dans le champ des services

Présente en Guyane, depuis septembre 2001, l'association reste très présente depuis son arrivée dans le secteur du soutien aux familles et de l'aide mais aussi des services. Un accompagnement réussi de 200 personnes, par le travail de 70 collaborateurs. Délégation départementale dont le siège sociale se trouve a Cayenne qui gère aujourd'hui cinq services actifs auprès des personnes en situation de polyhandicap, handicap visuel ou trisomie 21. Depuis 2010, elle gère un Institut Médico Educatif et depuis 2011 un centre de ressources.

Stéphane LAGOUTIERE

Cinq troubles mentaux auraient relevaient des anomalies génétique

Un cerveau humain en trois dimension Selon une étude récente américaine paru dans la revue médicale britannique The Lancet, auprès de 33.332 patients atteints de trouble autistiques, mais aussi d'hyperactivité ou de trouble bipolaire et de dépression majeures tout comme de schizophrénie. Leur génome a été comparé à celui d'un groupe témoin composé de 27 888 personnes non atteintes de ces troubles. L'étude lançant l'hypothèse d'une origine génétique non différentiée de plusieurs pathologies, pourtant jugées aujourd'hui cliniquement non apparentées.

Un meilleur diagnostic...

Une équipe de scientifiques repartie au sein de plusieurs centres de recherche américain ont publié le 28 février dernier ont des plus grandes études génétiques n'avoir été réalisée en psychiatries. Fondé au total sur l'étude d'une base de données de plus de 60 000 individus. Cette étude pourrait si elle se confirmé apporté une vision nouvelle des grandes pathologies psychiatriques. Visant au final à l'établissement d'un diagnostic basé non plus sur la simple recherche de symptômes souvent difficile à cerner et souvent contradictoire, mais aussi sur diagnostic basé sur une analyse génétique.

Des similitudes au sein du génome

Des chercheurs qui ont découvert dans leurs recherche que les cinq troubles avaient en commun des défauts sur les chromosomes 2 et 10 ainsi que sur deux gènes participant à la régulation du calcium dans les cellules du cerveau. Une étude qui a mis notamment en évidence quatre anomalies de l'ADN qui confèrent un risque (faible) de troubles psychiatriques. Pour deux d'entre eux, on ne sait pas encore ce pour quoi ils codent. En revanche, les deux autres anomalies génétiques retrouvées dans les 5 pathologies psychiatriques sont utilisés par un système de signalisation cérébral spécifique, activé lorsque les nerfs envoient des signaux au cerveau, via des modifications des canaux calciques cellulaires.

Cela ne signifie pas que la génétique des troubles psychiatriques se limite à ces anomalies : d'autres gènes ou d'autres variations des gènes identifiés dans cette étude peuvent être impliqués.

Des résultats ouvrent la porte à une nouvelle compréhension de la psychiatrie et remet en cause la nosologie actuelle basée sur la seule approche symptomatique. La psychiatrie doit évoluer vers la génétique. Par ailleurs, les résultats de cette étude a déjà permis la mise en place de petites études voulant évaluer l'effet d'inhibiteur des canaux calciques dans certaines pathologies psychiatriques.

La Rédaction

KAPSYS innove avec des Smartphones dédiés aux personnes en situation à basse vision et aux seniors

SmartVision-by-KAPSYS avec ici en mode loupe numérique sur une partition de musiqueAvec plus de trois millions de Français souffrant à des degrés plus ou moins importants, d'une baisse de la vision, excluant souvent ces derniers des nouvelles technologies telles que les Smartphones véritables phénomène de mode. KAPSYS, spécialiste des produits de mobilité numérique et de communication sans fil pour les déficients visuels et pour les seniors à lancé, à l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone deux Smartphones spécialement créés pour des populations en demande de produits adaptés.

Un lancement essentiel pour Aram HEKIMIAN, Directeur Général de KAPSYS, pour qui «Les Smartphones occupent une place de plus en plus importante dans nos vies. Ce sont des outils formidables pour rester en contact avec son environnement, être informé et obtenir de l'aide ou se divertir grâce à la grande diversité d'applications disponibles. Avec SmartVision by KAPSYS, les personnes en situation de basse vision vont bénéficier d'un Smartphone puissant avec des fonctionnalités uniques spécialement conçues pour rendre leur quotidien plus facile et plus agréable. Mais aussi avec SmartConnect by KAPSYS, ou nous avons voulu relevé le défi d'offrir aux seniors une nouvelle expérience du Smartphone à travers une interface complètement repensée » a-t-il souligné à cette occasion.

Deux modèles totalement inédits

Un produit adapté à la basse vision…

Sensible a l'accessibilité, la start-up française a présenté officielle le premier Smartphone au monde dédié aux personnes ayant des problèmes visuels. Conçu pour offrir une accessibilité optimale, SmartVision by KAPSYS dispose d'une interface utilisateur hybride facile à utiliser, permettant son contrôle via l'écran tactile ou via le clavier intégré ou à travers une interface vocale sophistiquée qui réagit au langage naturel. SmartVision by qui intègre également un jeu de commandes d'accessibilité par gestes pour contrôler facilement ses fonctions principales.

Un appareil bourré de nouvelles technologies et qui manifestement devrait d'une aide précieuse pour ces utilisateurs. Un appareil qui contient également en plus des fonctionnalités classiques a ce type de téléphone, celui-ci embarque de nombreuses applications destinées à aider, dans leur vie de tous les jours, les personnes en situation de basse vision ou de vision dégradée : un agrandisseur vidéo avec optique coulissante, une solution de reconnaissance optique de caractères et de couleurs, une application d'identification d'objets utilisant les tags NFC, etc.

Un appareil qui pourra égaler, supporter la transmission vidéo sans fil vers une télévision à travers la nouvelle technologie Miracast™. Un utilisateur qui pourra, selon le fabricant, bénéficier d'une projection temps réelle et agrandie des vues affichées sur le Smartphone. Avec un ensemble de fonctionnalités aussi sophistiquées, SmartVision by KAPSYS est une excellente solution multifonctions intégrée et compacte.

Un modèle adapté pour les seniors…

Le Second, SmartConnect by KAPSYS, offre la garantie d'un apprentissage et d'une utilisation faciles ainsi que toute la puissance d'un Smartphone Android complet à travers une interface utilisateur combinant un écran tactile 3.5", un clavier et une interface vocale élaborée, pour des seniors particulièrement adaptés et sensibles aux produits technologiques. Ce dernier offre à l'utilisateur une expérience «Smartphone» riche et intuitive à travers un ensemble de menus simples et lisibles. Composées de grandes icônes et accompagnées si nécessaire d'une assistance vocale basée sur la synthèse («text-to-speech») et la reconnaissance de paroles. Des utilisateurs qui se sentent toujours en confiance et en sécurité, peuvent également intègre un mode d'assistance via Internet, permettant à une personne autorisée de (re)configurer le smartphone à distance, ainsi qu'un bouton d'appel d'urgence avec envoi de l'adresse courante.

La Rédaction

La campagne Handivalide poursuit son tour de France des campus universitaires jusqu’au 15 mai

Lancement et première journée de la campagne Handivalide 2013 sur le campus de Jussieu  © Starting-block / FHIAvec 3 à 5 % d'étudiant handicapé accédant aux universités françaises ou dans les grandes écoles mêmes si certaines ont fait des efforts notamment d'accessibilité. Reste que la poursuite d'une meilleure inclusion et présence des étudiants handicapés reste encore un parcours rempli d'embûche. Une situation que veulent faire évoluer l'association Handivalide qui a commencé son tour de France parrainé cette année par la sportive et championne handisport triple médaillée de Londres, Marie-Amélie Le Fur.

Un parcours officiellement lancé le 29 janvier dernier sur le campus de Jussieu à Paris, et qui va poursuivre jusqu'au 15 mai prochain son tour de France à travers les villes de Lyon, Grenoble, Paris, Mulhouse, Strasbourg, Lille, Bordeaux, Rennes, Nantes,Nice. La campagne Handivalides sera ainsi présente pour des journées de sensibilisation et de mobilisation autour du handicap, dans près de 40 établissements d'enseignement supérieur, sera l'occasion pour les étudiants d'échanges et de rencontres entre étudiants. Un programme qui a l'occasion de chaque journée sera organisé des ateliers de rencontre mises en situation, forum et tables rondes afin de favoriser la mixité et susciter l'engagement des jeunes autour du handicap.

Portée par l'association Starting-­‐Block, qui mène tout au long de l'année des actions d'éducation à la citoyenneté et à la solidarité, la Campagne Handivalides est l'occasion chaque année de sensibiliser les étudiants au handicap.

Stéphane LAGOUTIÉRE

Agenda de la campagne 2013

Dérive sur le marché de l’audioprothèse, l’UNSAF soutient le constat de l’Académie de médecine

Une femme âgée de 70 ans dans chez un audioprothésiste pour un teste dans le cadre d'un appareillage à Toulouse.©Stéphane LAGOUTIERE / FHIÀ quelques semaines de la journée nationale de l'audition qui aura lieu cette année le 20 mars, plusieurs autorités telles que l'Agence nationale de Sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), l'Académie nationale de médecine a émis leurs inquiétudes parlant du risque de « la dérive marchande d'un secteur paramédical » et « jugée inquiétante pour la santé publique ».

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Quatre mois de grève pour les médecins du travail, la FNATH demande au gouvernement de réagir !

Un médecin du travail voyant un homme sous l'apparence d'un robot en fer (Illustration)Si on peut comprendre la légitimité de l'appel de ces médecins qui sont en France 5 591 un en 2012, dont 3 965 femmes, un nombre bien en dessous des besoins comme le souligne le rapport du CNOM situation confirmé par l'INSEE. Reste que la position des victimes du travail se trouve dans « une situation juridique instable », indique la FNATH qui demande désormais que le gouvernement réagisse enfin après de silence et s'emparer de la question rapidement.

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«Tremplin Stages & Jobs d’été » un moyen unique de rencontre pour les lycéens ou étudiants handicapés

Un jeune en discussion lors du Tremplin pour emploi de Lyon 7 novembre 2012Premiers pas vers le monde du travail, les stages et les jobs d'été permettent d'acquérir une expérience professionnelle et parfois de gagner son premier salaire. Très prisés par les jeunes, y compris par les jeunes en situation de handicap, ils ne sont, en revanche, pas toujours facile à trouver. Après un premier succès en 2012, Tremplin – Études, Handicap, Entreprises réaffirme son engagement auprès des jeunes handicapés et organise la 2ème édition des « Rencontres Tremplin Stages & Jobs d'été » le 26 mars à Paris.

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