Comme c’est le cas chaque année la revalorisation, en fonction de l'inflation, des minima sociaux (RSA, prime d'activité, allocations familiales…), et donc de l'Allocation adulte handicapé (AAH). Une revalorisation pour faire face à ladite inflation dont le montant montant aujourd’hui et de 971,37 €. Mais quand sera-t-il pour les pensions d’invalidité. Un montant variable puisque calculer en fonction des dix meilleures années. Feront-il partie également des bénéficiaires ? Cela ne semble pas encore certains.
L’aide sociale des départements est un dispositif qui vise à garantir un minimum de ressources aux personnes en situation de précarité. Elle comprend plusieurs prestations, telles que le revenu de solidarité active (RSA), l’allocation personnalisée d’autonomie (APA), la prestation de compensation du handicap (PCH) ou l’aide médicale d’État (AME). Ces aides sont financées par les conseils départementaux, qui en assurent également la gestion et le contrôle. Pour bénéficier de l’aide sociale des départements, il faut remplir certaines conditions de résidence, de nationalité, de ressources et de besoins. Des conditions qui vont pour l’APA si elle son confirmé par le conseil constitutionnel contraint par l’article 19 de la loi sur l’immigration restreint a duré d’attente de 30 mois a 5 ans pour les étrangers.
Comme l’avais indiqué Emmanuel MACRON lors de son intervention télévisé, la revalorisation de la prime d’activité d’un montant de 100 € qu’il avait comme une hausse du SMIC sera bien effectués malgré tous les controverses quelle provoque. Le Conseil d’administration de la CNAF réuni hier a lui garantie la faisabilité informatique de cette réforme dans les délais requis. Agnès BUZYN ayant même annoncé à la commission des affaires sociale du Sénat la mise en place d’un simulateur à partir 1er janvier 2019.
Voila qui a au moins le mérite d’être clair ! Lors d’une interview vendredi sur LCI, la Secrétaire d’État en charge des personnes handicapées a annoncé la couleur. En résume celle-ci se refuse à tout changement, c’est un non catégorique notamment en ce qui concerne à la suppression de la prise en compte des revenus du conjoint pour le calcul de l’AAH. Mais aussi à l’allègement des conditions ouvrant droit à la retraite anticipée pour cause de handicap. Un choix politique qui vient pourtant contredire les paroles prononcées par le chef de l'État la veille devant plus de 1000 jeunes et la jeune Estelle ou Clément ou il avait reconnu le retard important en matière de politique du handicap. Une annonce de Sophie CLUZEL qui confirme le handicap ne sera pas « la priorité de son quinquennat » d’Emmanuel MACRON contrairement à sa promesse lors des élections présidentielle…
Le 23 février lors de son déplacement marathon au Salon de l’Agriculture un homme père de 4 enfants, n’a pas hésité a se jeter dans les bras du Président Emmanuel Macron afin de lui réclamer une pension plus décente depuis son départ a la retraite. Le Chef de l'État qui lui a affirmé même si on doute de la sincérité de sa réponse "bien connaître ce genre de situation" et assure vouloir l'aider. Une video qui aura néanmoins fait le buzz sur internet…
Sophie CLUZEL Secrétaire d’État en charge du handicap a une semaine des DuoDay 2019 ne sait plus comment commenter le handicap. Sophie CLUZEL n’hésitant pas dans certains médias comme le Parisien que l'allocation adulte handicapé sera revalorisée de 40€ le 1er novembre 2019. Une annonce présentée comme un événement par ces médias et par Sophie CLUZEL alors que celle-ci ne fait que confirmé l’annonce du premier ministre Édouard Philippe en septembre 2017 lors du comité interministériel qui avait déclaré comme « Un effort supplémentaire de 2 Mds € sur le quinquennat » pour « corriger le niveau insuffisant de cette allocation ». Une annonce confirmant la promesse du Candidat Emmanuel MACRON
Fin 2017, 4,22 millions de personnes sont allocataires d'un minimum social. En incluant les conjoints et les enfants à charge, 7 millions de personnes sont couvertes par les minima sociaux, soit 11 % de la population. Le nombre d'allocataires est stable en 2017 (+0,1 % en un an), alors qu'en 2016 il avait diminué pour la première fois depuis la crise de 2008 (-1,3 %). En particulier, la baisse des effectifs du RSA est bien moindre en 2017 (-0,5 %) qu'en 2016 (-4,3 %). Au total, 26,5 milliards d'euros sont versés au titre des minima sociaux en 2017 (1,2 % du PIB). Ces dépenses sont stables par rapport à 2016 (+0,2 %). Des données réunies dans un ouvrage publié par la DREES sous la direction de Pierre-Yves CABANNES et Lucile RICHET-MASTAIN.