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Des associations expriment leurs inquiétudes face à décret portant atteinte aux patients vulnérables en psychiatrie.

Image du documentaire "12 jours" qui nous plonge dans le quotidien des personnes internées sans consentementAprès une lettre ouverte, le 16 mai 2018 a la ministre des solidarités et de la Santé Agnès BUZYN dans lequel la présidente de l’UNAFAM exprime les craintes de l’association sur la disparition de cette discipline et la mise en œuvre d’un décret en date du 23 mai. Celui-ci autorisant les traitements de données à caractère personnel relatif au suivi des personnes en soins psychiatriques sans consentement. Trois grandes associations, ADESM, la FNAPSY et l’UNAFAM viennent dans un communiqué commun « faire part de leur font part de leur grande inquiétude », supprimant de fait « le secret médical ».

La présidente de l’UNAFAM interpelle la ministre Agnès BUZYN dans une lettre ouverte sur la psychiatrie en France.

Un malade dans une chambre dans un hôpital psychiatrique en FranceSouvent critiqué, parfois il vrai par des comportements inadmissibles comme sur l’autisme ou d’épilepsie. La psychiatrie est devenue depuis quelques années le parent pauvre de la médecine. Une pratique qui pourtant a toute sa place dans la médecine moderne. Une « discipline à soutenir » telle est l’appel de cette lettre ouverte signé par la présidente de l’UNAFAM Béatrice BORREL. Une lettre qui interpelle la ministre, sur la crainte de l’association sur la disparition de cette discipline, mais aussi sur le décret relatif aux domaines d’intervention, aux conditions et aux règles s’appliquant à l’infirmier exerçant en pratique avancée.