Elle demeure une politique essentielle aux yeux des français. Une vision et un droit que la crise des gilets jaune avait aussi mise en avant. Une enquête publiée par la DREES(1) vient confirmer un sentiment ressenti en 2015 par deux chercheuses du Crédoc pour lequel la politique familiale devait servir en priorité a lutté contre la pauvreté et non la natalité. Selon la DREES, 48 % des personnes interrogées jugent que ce sont les familles les plus modestes qu’il faut aider en priorité et les familles concernés par le handicap sont évidemment prise en compte. Des dépenses qui en 2017, représentent un quart des dépenses publiques du risque famille soit 12,6 Mds.