Comme ils l’avaient annoncée lors du rejet de la proposition de loi du député Alain PRADIE (LR) le 11 octobre dernier, Sophie CLUZEL et Jean-Michel BLANQUER ont ouvert, lundi 22 octobre, la concertation nationale pour l’accueil des enfants souffrant de handicap à l’école. Le gouvernement qui après sa présentation en juillet dernier de son plan n’aura même pas été capable de réduire les dégâts pour des milliers d’élèves toujours sans solution. Des parents contraignent à attendre la rentrée 2019 voire 2020 pour une prétendue, reforment complète du système d’éducation a destination des élèves handicapés. Les associations elles restent très prudentes face à de telles promesses !
Lors du débat réunissant près de 1000 jeunes à grand débat national organisé Étang-sur-Arroux, en Saône-et-Loire, une jeune femme Estelle FERRANDES Autiste Asperger de 23 ans a interpellé le président Emmanuel MACRON. Une prise de parole qui aura servi de fer de lance avec d’autres jeunes comme Clément atteint de dyslexie sur leurs difficultés d’accès a l’emploi. Le Président qui aura fait une forme de mea-culpa concernant sa promesse de faire du handicap la priorité de son quinquennat. Une fois de plus on peut certainement reconnaitre une forme de franc parler, cependant on regrette des questions connues d’avances et travaillées avec les proviseurs. A-t-il convaincu ces jeunes ? rien n’est moins sûr !
Le ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse a présenté au comité technique ministériel de l’Éducation nationale (CTMEN), réuni le 19 décembre 2018, la répartition par académie des emplois de l’enseignement scolaire public prévus en loi de finances pour la rentrée scolaire 2019. Concernant notamment les Accompagnants des Élevés en Situation de Handicaps (AESH) Jean-Michel BLANQUER a confirmé le financement de 4500 postes. Un nombre largement insuffisant selon les associations.
Pour la journée nationale de la trisomie 21, Trisomie 21 France veut montrer que pour que les personnes avec trisomie 21 puissent faire le métier de leur choix, elles doivent pouvoir aller à l’école et se former comme tout le monde ! Une nécessité que notre société malgré certaine apparence, celle-ci sont parfois trompeuse. Oui il y a aussi de belle réussite, comme celle du café joyeux qui devrait connaitre l’équilibre 00 ans après l’ouverture de son premier café. Face a un taux de chômage de deux fois plus important que chez les valides avec plus 14 % n’oublions pas que 88 % des déficients intellectuelles souhaitent travailler dans le milieu ordinaire.