« L’AVC, nous sommes tous concernés ! » deuxième cause de handicap et de mortalité chez l’adulte au niveau mondial
Deuxième cause mortalité dans le monde, elle représente aussi la deuxième cause d’incapacité, plus de 80 millions vivent avec les séquelles de l'AVC auxquelles survivant sur quatre subira une récidive. Plus 13.7 millions de personnes sont ainsi concernées chaque année et 5 millions en décèdent. Des chiffres auxquels la France n’échappe pas, avec 140 000 nouveaux cas chaque année pour 30 000 décès. L’occasion pour cette journée mondiale, pour la Société Française Neuro-Vasculaire (SFNV), auquel participe l'association France AVC, c'est d’alerter la population à travers une nouvelle campagne de sensibilisation du grand public. Objectif de rappeler que l’AVC est l’affaire de tous : enfants, jeunes, adultes, hommes, femmes, séniors, tout le monde peut être confronté à cette maladie un jour. La SFNV lance ainsi un message fort à la population : « L’AVC, nous sommes tous concernés ! ».
France AVC se dote d’un parrain pour soutenir son action le chanteur Fox NIGON
On estime à environ 140 000 par an le nombre de nouveaux cas d’AVC en France, soit un AVC toutes les quatre minutes dont la moitié des personnes son âgée de 65 à 84 ans. Parmi elles, environ 60% gardent des séquelles neurologiques sous forme de déficit moteur, de troubles du langage, de troubles sensitifs ou visuels. Afin de sensibiliser et relayer ces objectifs auprès du public France AVC à demandé à Fox NIGON un ancien chef d’entreprise, frappé de plein fouet par un AVC qui l’a rendu aphasique, et qui contre toute attente, six ans après, a entamé une carrière de chanteur, de devenir son parrain. « Ce soutien que j’ai reçu, et qui fait que je suis là aujourd’hui, je souhaite à mon tour l’apporter à d’autres. Seul, on fait peu, ensemble on fait beaucoup » souligne Fox NIGON.
Natacha : Vivre un accident vasculaire cérébral à 21 ans « Le verdict tombe enfin mais je ne me rends pas compte »
Découvrez l'histoire de Natacha touchée par un grave accident vasculaire cérébral (AVC) à l'âge de 21 ans. Après un douloureux parcours de onze ans, elle revient aujourd’hui enfin apaisée et souhaite partager son histoire afin que tous puissent mieux comprendre et aborder les conséquences d’un AVC. Si celui-ci ne représente moins de 1 % chez les jeunes de moins de 35 ans les drogues sont l’un des facteurs de risque qui progresse, et les femmes sont aujourd’hui plus concernées par les AVC que les hommes. Retour sur un parcours rempli d’émotion.