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Cancer de la peau : Deux spécialistes réussisse une reconstruction nasale inédite réalisée au CHU de Toulouse

Deux chirurgiens opérants un patients dans un bloc au sein d'un hôpital 2c7d3Le Dr Guillaume de BONNECAZE du service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale de l’Hôpital LARREY et le Pr Benoît CHAPUT du service Chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique de l’Hôpital Rangueil de Toulouse, ont reconstruit le nez d’un patient porteur de cinq carcinomes basocellulaires. Une opération rendu possible grâce à une technique chirurgicale effectuée pour la première fois au monde. Une nouveauté qui a fait l’objet d’une publication dans la revue internationale Head and Neck(1). Un an après l’intervention, les résultats de cette première chirurgie sont positifs : le patient se porte bien, respire normalement et n’a aucune cicatrice sur le nez.

INSPIRE : Une étude inédite lancée par le CHU de Toulouse et ses partenaires sur le vieillissement

Une personnes âgée originaire des pays asiatique en fauteuil 6e0fdPermettre au plus grand nombre de rester en bonne santé et d'être autonome le plus longtemps possible. Tel est l'enjeu de santé publique auquel le projet INSPIRE se propose de répondre. Dès aujourd'hui, le CHU de Toulouse et ses partenaires, l'Université Toulouse III, l'Inserm et le CNRS étudient les mécanismes du vieillissement à partir de cohortes humaines et animales uniques au monde, pour permettre à tous de vivre mieux demain. Cette étude intervient au moment où la Région Occitanie / Pyrénées Méditerranée mobilise une enveloppe de 12,8 M€ dont 6,5 M€ validés lors de sa Commission permanente du 19 juillet. Dès l'automne 2019, les équipes impliquées vont s'appuyer sur la cohorte humaine de recherche INSPIRE, comptant 1 000 sujets volontaires : une première au niveau mondial en termes d'étude sur le vieillissement.

L’IUCT-Oncopole et l’IUCT-Rangueil Larrey reconnu centre d’excellence européen sur les tumeurs neuroendocrines

2019.10.21.linstitut universitaire du cancer de toulouse oncopole 45c6fL’Institut Universitaire du Cancer de Toulouse-Rangueil Larrey (CHU de Toulouse) et l’Institut Universitaire du Cancer de Toulouse-Oncopole (Institut Claudius Regaud et CHU de Toulouse) viennent de recevoir, la certification européenne de l’European Neuroendocrine Tumor Society (ENETS). La structure ainsi labellisée porte désormais le nom de Centre d’Excellence Universitaire des Tumeurs Neuroendocrines de Toulouse. Cette certification est une reconnaissance de l’expertise multidisciplinaire du centre en termes de recrutement, de diagnostic, d’amélioration de la prise en charge thérapeutique, d’implication dans la recherche clinique et d’information des médecins sur cette pathologie rare des tumeurs neuroendocrines (TNE) digestives.

Une hormone produite lors de l’exercice pourrait améliorer les capacités musculaires des séniors

Culture d'adipocytes au laboratoire du département "Métabolisme et obésité" de l'unité 858, CHU Rangueil, ToulouseUne équipe toulousaine vient de montrer le rôle d'une hormone dans la fonte musculaire liée à l'âge. Ces travaux illustrent l'ambition de Toulouse à devenir le plus grand centre de recherche sur le « vieillissement en bonne santé ». Comment limiter la diminution liée à l’âge des capacités musculaires (ou sarcopénie), une des causes majeures de perte d’autonomie des séniors ? Ces a ces questions que des chercheurs de l’Inserm, de l’Université Toulouse III – Paul Sabatier et du Gérontopôle du CHU de Toulouse pourraient avoir trouvé, au sein même des muscles, un allié de taille dans la lutte contre cette maladie : l’apeline. Cette hormone, dont la production diminue avec l’âge, est sécrétée lors de l’exercice physique et permet une amélioration de la capacité musculaire.

Une immunothérapie utilisée dans le traitement de certains cancers pourrait permettre de contrôler des infections chroniques

Des traitements dimmunothérapie sont déjà sur le marché et de nombreux essais cliniques confirment le potentiel de ces molécules f97d3Une immunothérapie utilisée dans le traitement de certains cancers pourrait permettre de contrôler des infections chroniques 2019.05.06 --- L’administration d’une molécule prescrite à des personnes souffrant de cancer, le Nivolumab, a permis de contrôler l’infection d’une personne atteinte d’une maladie infectieuse grave du cerveau (la leucoencéphalopathie multifocale progressive) ; une découverte qui ouvre une nouvelle perspective de traitement pour cette pathologie. Ces travaux ont été publiés dans le New England Journal of Medicine par une équipe de médecins du CHU de Toulouse et de chercheurs de l’Inserm et de l’université Toulouse III – Paul Sabatier du Centre de physiopathologie Toulouse Purpan.