Les États membres Européen confirme l'accord politique pour une meilleur protection pour des lanceurs d’alerte
Ce matin, les États membres ont confirmé l'accord politique entre le Conseil de l'UE et le Parlement européen relatif à la directive sur la protection des lanceurs d'alerte. Une victoire qui intervient après plusieurs tentatives les tentatives de blocage de certains pays comme la France. Nicole BELLOUBET a donc beau jeu dans un communiqué de salue l'adoption de ce texte qui permet « de démontrer, à quelques semaines d'une échéance électorale cruciale, que l'Europe protège les citoyens ». Argumentaires juridiques, pression médiatique, exploitation des faiblesses des États, les élus ont eu recours à toute une palette d’outils pour permettre au texte de voir le jour et d’aboutir. Retour sur une saga qui a débuté en 2016.
Un jeune homme handicapé par la prise de Dépakine de sa mère indemnisée a hauteur de 1.3 M€
Huit ans après avoir dénoncé le méfait causé par la Dépakine sur les femmes lors de la grossesse par la lanceuse d’alerte Marine MARTIN et désormais présidente de l’APESAC.Une prise de médicament qui aurait fait selon l’Association plus 6500 victimes et 1470 avortements. La fond d’indemnisation créée par l’État, le seul en France après celui du Médiator, gérée par l'ONIAM qui vient d’octroyer plus de 1.3 M€ a un jeune homme handicapé par la prise de Dépakine par sa mère. Une victoire annoncée a nos confères le parisien par sa mère, mais « reste modeste » selon Marine MARTIN et ceux malgré de nombreuses batailles remportées, comme celle de convaincre l’agence du médicament de l’interdire aux femmes enceintes.