Prostitution, faut-il condamner le travailleur du sexe ou leurs clients ? vaste débat qui continue 72 ans après la fermeture des maisons close en France, conduisant ces dernières sur les « trottoirs » à faire polémique. Un sujet dont neuf associations et cinq prostitués qui avaient saisi le Conseil d'État contre la loi prostitution avril 2016, qui porte, selon eux, "gravement atteinte aux droits et aux libertés". Une version dont l’association Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir (FDFA) qui représente les femmes en situation de handicap considèrent que la pénalisation des « clients de services sexuels » de la loi d’avril 2016 est une avancée, et qui dit « non à la marchandisation des corps, non à la dépénalisation des clients ».