Après les agriculteurs ont le prit le pas sur la capital avec le souhait de bloquer Rungis. Le Gouvernement de Gabriel ATTAL a peine installé est actuellement en pleine tourmente. C’est le secteur du BTP qui réclame les même avantages. Ou hier avec le blocage de certaines avec des opérations escargots des professionnelles de Taxi qui manifeste à leurs tour, contre la baisse des tarifs annoncé par la sécurité sociale. Une multiplications des mouvement sociaux qui pourrait faire tourner de l’œil du premier ministre qui fait aujourd’hui sa déclaration de politique générale sans vote devant les députés.
Le rapport publié le 8 septembre dernier présente les conclusions de la commission d'enquête de la Cour des comptes sur l'état de la fraude sociale en France, effectué a la demande de la commission des affaires sociales du Sénat. La cour des compte qui pointe le doigt dans ce rapport a la fois sur une fraude organisé identifiant 75,3 millions d’assurés sociaux pris en charge dans un pays de 67,1 millions d’habitants, ainsi que 7,7 millions de retraités «nés à l’étranger». Des arguments mise en avant par Charles PRATS délégué de l’Association professionnelle des magistrats dans un livre « Cartel des Fraudes » parue en 2020 au édition Ring. Une situation dont la cour dénonce notamment un manque de volonté politique et « des progrès trop lents », et réclame un « changement d’échelle indispensable ».
Les parents d'un enfant handicapé, et majoritairement les mères, vivent plus fréquemment seules et se trouvent dans une situation moins favorable sur le marché du travail que les autres familles, ce qui les conduit à une plus grande précarité, révèle une étude de la DREES. Des "ménages" bénéficiant de l’AEEH qui dans 30 % sont souvent des familles monoparentales (neuf fois sur dix il s'agit de mères avec leurs enfants), soit 7 points de plus que les autres ménages avec enfant de moins de 20 ans.
L’aide sociale des départements est un dispositif qui vise à garantir un minimum de ressources aux personnes en situation de précarité. Elle comprend plusieurs prestations, telles que le revenu de solidarité active (RSA), l’allocation personnalisée d’autonomie (APA), la prestation de compensation du handicap (PCH) ou l’aide médicale d’État (AME). Ces aides sont financées par les conseils départementaux, qui en assurent également la gestion et le contrôle. Pour bénéficier de l’aide sociale des départements, il faut remplir certaines conditions de résidence, de nationalité, de ressources et de besoins. Des conditions qui vont pour l’APA si elle son confirmé par le conseil constitutionnel contraint par l’article 19 de la loi sur l’immigration restreint a duré d’attente de 30 mois a 5 ans pour les étrangers.
Se sont plusieurs milliers qui sont attendus dans les rues d'une quinzaine de villes Française le 7 mars prochain, organisé le par les associations comme l'UNA et syndicats de salariées et bénéficiaires de l'aide a domicile pour interpeller les élus sur la baisse de financements du secteur. Un secteur qui emploi 230 000 salariées pour 2 millions d'usagers comme les bénéficiaires de l'APA.
Fin 2017, 4,22 millions de personnes sont allocataires d'un minimum social. En incluant les conjoints et les enfants à charge, 7 millions de personnes sont couvertes par les minima sociaux, soit 11 % de la population. Le nombre d'allocataires est stable en 2017 (+0,1 % en un an), alors qu'en 2016 il avait diminué pour la première fois depuis la crise de 2008 (-1,3 %). En particulier, la baisse des effectifs du RSA est bien moindre en 2017 (-0,5 %) qu'en 2016 (-4,3 %). Au total, 26,5 milliards d'euros sont versés au titre des minima sociaux en 2017 (1,2 % du PIB). Ces dépenses sont stables par rapport à 2016 (+0,2 %). Des données réunies dans un ouvrage publié par la DREES sous la direction de Pierre-Yves CABANNES et Lucile RICHET-MASTAIN.