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Vers une possible reconnaissance comme crime de guerre pour les attaques d’Idlib en Syrie pour le Quai d'Orsay

Un soldat syrienDans une déclaration le ministre des affaires étrangère Jean-Yves Le DRIAN, a reconnu que l'hypothèse de crimes de guerre n'était pas exclue à Idlib dans le cadre d’utilisation d’arme chimique. Des armes interdites par une convention internationale et pour lequel Handicap International exprime aussi son inquiétude a la veille de la Pyramide des chaussures fin septembre. Une démarche qui devra se faire devant les Nations Unis et qui devra notamment obtenir l’accord du conseil permanent du conseil de sécurité auquel appartient la Russie qui soutien la Syrie.