217 plaintes de patients portent plainte contre le fabricant du respirateur "Philips et d’une mousse jugé cancérigène
Après une enquête préliminaire ouverte en 2022, Me Christophe LEGUEVAQUES, représentant plus 1400 victimes et fondateur de MyLeo. 217 d’entre eux ont déposé une plainte afin d’espérer enfin la nomination d’un juge d’instruction. Ces particuliers, usagers des respirateurs commercialisés par le fabricant néerlandais s'estiment victimes. Des composants de ces appareils censés aider les patients, majoritairement atteints d'apnée du sommeil, à respirer se sont avérés contenir une substance cancérigène. Citent un rapport privé, qui contredit les propos "apaisants" de Philips sur son produit. L'Agence nationale de sécurité du médicament qui s’est saisie de ce dossier sanitaire, a déjà reçu près de 3074 signalements d'effets indésirables, dont 159 mentionnent un cancer.
Enfant handicapé par la Dépakine l’état pourrait assumer l’indemnisation dans un premier temps ?
Alors que les boites de Dépakine affichent un sigle d’avertissement sur les dangers qu’ils comportent pour les femmes enceinte. Un excès de zèle dénoncé par le Comité National de l’Épilepsie. La ministre de la Santé Agnès BUZYN interrogé sur France Inter au sujet de la Dépakine de Sanofi et d'autres médicaments responsables depuis 1967, a reconnu que l’heure était désormais à l’heure des négociations entre l'État et Sanofi Aventis.
L’État Français et le Laboratoire Servier sur le banc des accusées celui scandale sanitaire face 2 684 parties civiles
Près de 30 ans après l’affaire du sang contaminé qui avait vu plusieurs ministres jugés devant la cour de justice de la république et devant les tribunaux pour les médecins. Le procès qui s’ouvre aujourd’hui pour une durée de six mois, concerne le Médiator, un coupe-faim vendu comme un antidiabétique. Face aux 25 accusés, et plus 2600 parties parties civiles ainsi qui a dévoilé ce scandale sanitaire, la pneumologue du CHU de Brest, Irène FRACHON qui sera l’une des 100 témoins dans ce procès. Si bon nombre sont encore vivants les conséquences de la prise de ce médicament auront causé des dégâts considérables et provoqué la mort de 500 à 2100 personnes selon les études.
Les charnier de la république : 30 années d’horreur ou un scandale d’état
Révélé pour la premier fois en 2019, par la journaliste Anne JOUAN révèle dans l’Express que les cadavres hébergés au centre de don des corps de l’université de Paris Descartes (servant à la formation des chirurgiens notamment) sont conservés dans un état déplorable, lorsqu’ils ne sont pas vendus à des entreprises privées. Cette dernière vient de publier par les éditions Robert LAFONT. Un livre co-écrit le Pr. Richard DROUARD, Dominique HORDE. Un livre dont la préface est signée Baudouin Auffret et David Artur, président et vice-président de l'association Charnier Paris-Descartes qui permet de mieux comprendre la plainte déposée en janvier dernier par plus 170 personnes ont décidé de porter plainte auprès de l'Ordre des Médecins contre Guy VALLENCIEN.
Les députés vote la hausse des pénalités contre le laboratoire Sanofi dans l’affaire concernant la Dépakine
Lors de l’étude du projet de loi de finance actuellement discuté par les députés, la députés Véronique LOUWAGIE soutenue par une trente collègues de son groupe ont déposé un amendement voté première lecture afin d’augmenter les pénalités versé par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM), visant Sanofi dans l'affaire de la Dépakine. Une vote dont la présidente de l’association, de l'APESAC (Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anticonvulsivant) Marine MARTIN à exprimé sa satisfaction.
Un jeune homme handicapé par la prise de Dépakine de sa mère indemnisée a hauteur de 1.3 M€
Huit ans après avoir dénoncé le méfait causé par la Dépakine sur les femmes lors de la grossesse par la lanceuse d’alerte Marine MARTIN et désormais présidente de l’APESAC.Une prise de médicament qui aurait fait selon l’Association plus 6500 victimes et 1470 avortements. La fond d’indemnisation créée par l’État, le seul en France après celui du Médiator, gérée par l'ONIAM qui vient d’octroyer plus de 1.3 M€ a un jeune homme handicapé par la prise de Dépakine par sa mère. Une victoire annoncée a nos confères le parisien par sa mère, mais « reste modeste » selon Marine MARTIN et ceux malgré de nombreuses batailles remportées, comme celle de convaincre l’agence du médicament de l’interdire aux femmes enceintes.