Fièvre Ebola : l’UNICEF intensifie ses interventions en Guinée pour éviter une contamination générale
En pleine épidémie de fièvre hémorragique Ebola, 4 cas ont été confirmés à Conakry jeudi par le gouvernement guinéen. Dans la capitale guinéenne et dans le reste du pays, l'UNICEF accélère ses activités en soutien des autorités guinéennes afin d'empêcher la fièvre mortelle de prendre de nouvelles vies. Sur les 103 cas présumés en Guinée, 11 sont des enfants dont 3 sont déjà décédés. L'UNICEF en collaboration avec le gouvernement et l'OMS diffuse dans Conakry des informations et très prochainement des fournitures comme du chlore, des gants et du savon afin d'éviter aux familles de contracter la maladie et de se protéger.
L'UNICEF demande l'inclusion sociale des enfants handicapés en Afrique
Un jeune de 17 ans, à qui la cécité des rivières a fait perdre la vue quand il avait 10 ans, s'exprime au nom de nombreux enfants handicapés d'Afrique quand il dit : « J'ai cru que c'était la fin du monde pour moi, mais si je reçois une éducation, j'espère pouvoir être utile à la société au lieu de mendier dans les rues ». Bai Kamara s'est inscrit au Centre pédagogique pour aveugles et mal voyants, un établissement soutenu par l'UNICEF à Freetown, capitale du Sierra Leone, où l'on est en train de transcrire en Braille la loi du Sierra Leone sur les droits de l'enfant. Des millions d'enfants vivent avec un handicap en Afrique selon l'UNICEF !
Le défenseur des droits appels a plus grandes vigilances contre les violences faite aux enfants dans les institutions
A l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant, le 20 novembre, et dans le cadre de sa mission de défense et de promotion des droits de l’enfant, le Défenseur des droits, Jacques TOUBON, et la Défenseure des enfants, Geneviève AVENARD, son adjointe ont rendu leur rapport annuel intitulé « Enfance et violence : la part des institutions publiques ». Des violences auxquelles les enfants en situation de handicap n’échappent pas représentant 18 % des cas. Des violences subies par les enfants au sein des institutions publiques, qu’elles soient verbales, physiques ou psychologiques, directes ou indirectes, commises entre enfants ou par des adultes.