Lancée il y a quelques jours, la pétition avait réuni plus de 11 000 signatures sur les 35 000 que souhaite atteindre au moins l'UNAPEI. Une pétition lancée suite aux plaintes de nombreuses familles et associations pour des actes de discrimination notoires dans les parcs Disney à Paris. Des pratiques que les familles dénoncent comme des pratiques scandaleuses : délits de faciès, interdictions d'accès, conditions d'accès non respectées par les responsables d'attraction. Des actes pour lesquels, l'association demande à Disneyland de cesser immédiatement ces actes odieux de discrimination. Une réponse qu'elle n'a toujours pas obtenue a ce jour.
Plus que jamais au cœur des discussions de notre société, le suicide assisté soutenu par une partie de la classe politique à gauche, mais également à droite, mais aussi par une partie du corps médical et des intellectuelles. Une question que se pose Nathalie qui a lancé une nouvelle pétition sur le petition.org sur le sujet avec la question : Doit-on laisser le choix aux malades de mettre fin à leurs jours lorsqu'ils sont atteints d'une maladie incurable ?
Une réflexion que cette femme a décidé de poser a la suite du décès de son mari atteint de la maladie de Charcot après des mois de souffrances insoutenables. « Il aurait voulu pouvoir mettre fin à ses jours auprès des siens, mais c'est interdit en France ». Un débat en pleine actualité alors que s’ouvre aujourd'hui s'ouvre le procès de Nicolas BONNEMAISON, un médecin qui a aidé certains de ses patients à mourir. Ce procès relance le débat sur la légalisation de l'aide à la fin de vie, c'est pourquoiNathalie lance un appel pour une loi sur le suicide assisté, permettant aux patients en fin de vie et conscients de faire ce choix.
Un combat difficile reconnait Nathalie, mais souhaite également éviter que les Français soit contraint comme cela arrive parfois a se rendre en Belgique pour mourir, là ou la pratique et autorisé. Pour elle « Raconter notre parcours me semble essentiel pour comprendre comment le choix de mourir peut devenir à un moment donné la seule alternative possible pour un malade. Beaucoup d'autres personnes pourraient écrire un témoignage du même ordre : les demandes légitimes du suicide assisté sont très nombreuses en France ».
Une femme qui en appelle aujourd’hui à tous celles et ceux qui comprennent que face à une telle situation, un malade peut souhaiter mettre fin volontairement à sa vie, la souffrance psychique et physique étant devenue insoutenable. Pour qu’une loi soit votée cette année, signez s’il vous plait cette pétition. Une pétition qui a réuni a ce jour plus 15 786 signatures
La maladie de Charcot qu'en est-il ?
Classée parmi les maladies orphelines, la maladie de Charcot ou Sclérose latérale amyotrophique (SLA) touche chaque année en France quelque 1.000 nouvelles personnes. Mieux dépistée aujourd'hui, la maladie a connu une importante augmentation au cours des cinquante dernières années pour affecter environ 8.000 Français selon les derniers chiffres.
Pourtant, elle reste encore mal connue malgré ces conséquences pouvant aller jusqu'à la paralysie. En effet, la maladie de Charcot est une pathologie neurodégénérative qui affecte les motoneurones du cerveau, autrement dit ceux qui gèrent les mouvements du corps, ainsi que la moelle épinière.
Elle se manifeste généralement entre 55 et 70 ans, mais existe sous plusieurs formes. L'une appelée "spinale" va débuter aux extrémités des membres tandis que l'autre dite "bulbaire" se manifeste plutôt dans les régions cérébrales gérant notamment la déglutition, la phonation et la motricité de la langue. La distinction n'est cependant pas facile à faire puisque les deux ont tendance à évoluer de la même manière.
Dans les deux cas, les symptômes sont donc les mêmes et rassemblent plusieurs types de troubles tels qu'une faiblesse dans la marche, des sensations de raideur, des crampes, des difficultés à parler, à sourire, à avaler ou encore une fonte musculaire. L'évolution de la maladie est cependant très variable d'un individu à l'autre et peut s'étendre de quelques mois à plusieurs années, empêchant les médecins d'effectuer un pronostic exact.
Le diagnostic repose principalement sur une détection des manifestations cliniques de la maladie. Mais un électromyogramme (EMG) doit également être réalisé pour confirmer l'atteinte des neurones dans plusieurs régions du cerveau. Ceci permet d'en évaluer l'importance et l'étendue. D'autres examens peuvent en outre être effectués tels que des examens sanguins, une IRM, voire une biopsie dans certains cas. Une fois que le diagnostic est établi, les malades doivent faire l'objet d'un suivi régulier pour évaluer la vitesse de progression des troubles et surveiller notamment la fonction respiratoire.
Lancer en fin 2013, aura connu en quelques mois un véritable succès, réunissant plus de 45 000 signatures, un nombre qui aurait selon l’un des instigateurs de cette pétition impressionnée les trois conseillers de l’Élysée a qu-il vient de remttre. Une victoire pour ce professeur à l'Université Lumière Lyon 2, auteur de nombreux ouvrage sur le handicap aux Éditions Eres. « C'est fait, vos signatures pour la création d'un mémorial en hommage aux victimes handicapées exterminées par le régime nazi ou condamnées à mourir par celui de Vichy sont maintenant entre les mains de François HOLLANDE », a-t-il souligné dans un communiqué envoyé aux signataires.
Alors que la France, va dans les prochains jours commencer les commémorations du centenaire de la Grande Guerre ou de centaines de milliers d'hommes reviendrons parfois blessées dans leur chair. Un homme Charles GARDOU, professeur à l'Université Lumière Lyon 2, Sylvie GUILLAUME, députée européenne et adjointe au maire de Lyon ont lancer une pétition pour ne pas oublier le destin tragique des enfants, des femmes et des hommes, fragilisés par la maladie et le handicap qui furent exterminés par le régime nazi ou condamnés à mourir par celui de Vichy ?
Il y a moins d'une semaine, le monde politico-médiatique s'est enflammé sur ''l'affaire Léoanarda'' opposant les tenants de la loi aux tenants des "valeurs". Plus discrète ''l'Affaire Amélie'' a failli se terminer dans une mascarade sans loi ni valeurs. Amélie est atteinte du syndrome de Prader-Willi, une affection génétique qui la rend dépendante et justifie un accompagnement constant. Après avoir été condamné par la justice à trouver une structure adaptée à cette femme lourdement handicapée, l'État a tenté de faire appel afin d'éviter une jurisprudence qui l'obligerait à trouver une solution adaptée à de nombreuses familles en attente de propositions pour leurs enfants.
En l'espace de moins de 48 heures le site de pétition en ligne aura une nouvelle fois été, l'instrument d'une revendication avec près de 2500 signatures demande, aux candidats des primaires socialistes et a tous les candidats, la généralisation des feux sonores pour les malvoyants. Marseille et son maire pour lequel la conception de l'accessibilité universelle ne semble pas être un point de priorité pour l'actuel maire UMP Jean-Paul GAUDIN. A travers cette pétition mise en ligne par Richard SERGENT, ce citoyen marseillais non voyant a lancé cet appel afin que Marseille soit désormais accessible à tous et non uniquement a certains.
En septembre 2012, l'Association Nationale des Maîtres de Chiens Guides d'Aveugles (ANMCGA) vous proposiez de signer une pétition lancée sur Change.org) afin d'obtenir un véritable statut du chien guide. « Vous faites sans doute partie des 40.000 signataires à avoir répondu présent. Au nom de l'ANMCGA, de la Fédération française des Associations de Chiens Guides d'Aveugles, et des écoles de chiens guides fédérées, merci ! » lance le président de l'association Jean-Pierre SORO. Qu'en est-il un an plus tard ?