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L oeil et la main l_abri americainDans le monde, une femme sur trois est victime de violence au moins une fois dans sa vie, la plupart du temps sans oser le dire. Les femmes sourdes ne sont pas épargnées, et la plupart du temps, doublement réduites au silence. A Seattle, il existe un lieu géré et animé par des professionnels sourds, l’ADWAS, où elles peuvent trouver conseil juridique, soutien psychologique, et accueil d’urgence. Marie Castella s’y rendue pour nous faire découvrir ce lieu unique au monde. Un regard proposé par l’émission sur France 5, l’œil et la main.

Un reportage produit par Point du Jour qui permettra a tous un sujet encore fortement tabou dans nos sociétés qu’il concerne les femmes valides ou en situation de handicap. Marie Castella qui revient ainsi dans ce reportage de 26 minutes diffusé le 26 janvier et 31 janvier a 8h25 et 23h00 va a la rencontre de sa Fondatrice Marilyn J. Smith.

Nombre de femmes sont confrontées à des formes multiples de discrimination et à des risques accrus de violence. Ainsi les femmes autochtones du Canada courent cinq fois plus de risques de mourir des effets de la violence que les autres femmes du même âge. En Europe, en Amérique du Nord et en Australie, plus de la moitié des femmes handicapées ont été victimes de maltraitance contre un tiers pour les femmes non handicapées.

Un problème récurrent…

Il existe de nombreuses formes de violence à l'égard des femmes : physique, sexuelle, psychologique et économique. Ces formes de violence sont interdépendantes etL oeil et la main au centre l'ADWAS touchent les femmes depuis avant la naissance jusqu’à la vieillesse. Certains types de violence, comme la traite de personnes, ne connaissent pas les frontières nationales.

Les femmes qui sont victimes de la violence souffrent de toute une gamme de problèmes de santé et leur capacité à participer à la vie publique s'en trouve diminuée. La violence contre les femmes atteint les familles et les communautés à travers les générations et renforce d’autres formes de violence répandues dans la société.

La violence contre les femmes les appauvrit aussi, ainsi que leur famille, la communauté et la nation. Une violence qui à l'égard des femmes ne se limite pas à une culture, une région ou un pays en particulier ni à des groupes spécifiques de femmes au sein d'une société. Les racines de la violence contre les femmes se trouvent dans la discrimination persistante à leur égard. Jusqu'à 70 % des femmes sont victimes de la violence au cours de leur vie.

Stéphane LAGOUTIÉRE

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