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Mobilisation générale poour lutter contre les maladies cardio-vasculaires chez les femmes

Logo de l operation Go Red for WomenLe 07 avril prochain AJILA lance pour la première fois en France la campagne « Go Red for Women » à l’occasion d’un Red Day. L’objectif de cette manifestation est d’informer, de prévenir, de savoir diagnostiquer et de contrôler les risques pour pouvoir lutter contre les maladies cardio-vasculaires chez la femme afin de combattre ce fléau qui pour l'heure reste la première cause de mortalité dans le monde. 

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L'Agence régional de la santé du Limousin a diligenté une enquête sur les besoins des parents d'entant(s) porteur(s) de handicap

Un pere accompagnant son fils en fauteuilÀ l’occasion du premier Congrès international des acteurs de l’accompagnement qui se tiendra du 08 au 10 avril prochain au Zénith de Limoges, l’Agence régionale de santé (ARS) du Limousin a souhaité diligenter une enquête sur les besoins en accompagnement des parent(s)s d’enfant(s) porteur(s) de handicap. Une enquête commandée par l’ARS du Limousin et réalisée par l’Observatoire régional de la santé (ORS) et le Centre régional d’études et d’actions pour les handicaps et inadaptations (Creahi) auprès de 1926 familles bénéficiaires de l’Allocation d’éducation de l’enfant handicapé (Aeeh). Cette dernière a eu pour objectif d’étudier les répercussions du handicap sur la vie professionnelle, familiale et sociale.

50% des enfants handicapés nécessitent une aide humaine dans tous les gestes du quotidiens (se laver, manger ou s’habiller etc…). Ce sont donc les parents au détriment de leur vie professionnelle et sociale qui s’en occupent. C’est pour cette raison que l’Agence régionale de la santé du Limousin a souhaité mettre en avant leur combat au travers d’une enquête sur les besoins des parents d’enfant(s) porteur(s) de handicap. Cette dernière sera présentée lors du premier Congrès international des acteurs de l’accompagnement qui se tiendra du 08 au 10 avril prochain à Limoges.

Cette étude commandée par l’ARS du Limousin et réalisée par l’Observatoire régional de la santé (ORS) et le Centre d’études et d’actions pour les handicaps et inadaptations (Creahi) auprès de 1926 familles bénéficiaires de l’Allocation d’éducation de l’enfant handicapé montre l’impact du handicap sur la vie professionnelle, sociale et familiale. Au moment du diagnostic, 6 mères sur 10 ont connu un bouleversement dans leur vie professionnelle et 1 père sur 5 a vu ses ambitions revues la baisse.

« Après l’annonce du diagnostic, j’ai dû changer de métier pour pouvoir me libérer du temps mais je gagne 3 ou 4 fois moins qu’auparavant », a déclaré une mère dans un communiqué. Et dans 37% des cas, le handicap joue un rôle prépondérant dans la séparation des parents. Cela prouve alors que cette problématique a des répercussions sur la santé psychique de la famille.

 Cette étude révèle également des besoins prioritaires en matière d’organisation de la vie quotidienne t d’aide à la scolarisation (besoin d’une auxiliaire de vie scolaire pour 28% des enfants et pour 44% des 3-5 ans). Par ailleurs, plus de 2 familles sur 3 jugent que les besoins en formation, en information et en lieux d’coute sont déficients. Face à cette situation nouvelle et méconue qu’est le handicap, lesparents doivent s’adapter.

Mieux encore, ils doivent improviser des mécanismes d’accompagnement adaptés. Ils deviennent alors des « créateurs de compétences » et se sentent seuls dans cette démarche. Malgré eux, ils sont coordinateurs
de soins, soignants, administrateurs ou encore psychologues. « Nous jouons tous les rôles, sauf le nôtre. Durant plus de dix ans, nous nous sommes débrouillés seuls en famille », déplorent des parents dans un communiqué.

Vers l’isolement psychique des parents

Au terme des six entretiens collectifs et neuf individuels, cette dernière montre un isolement psychologique des parents. Il résulte du fait que leur enfant est en perpétuelle instabilité. Et quand ils trouvent une solution viable, elle est perçue comme éphémère. Il faut alors chercher d’autres formules adaptées à leurs enfants grâce à la sur-mobilisation des aidants. Pour ne pas arranger les choses, les parents se heurtent à des difficultés administratives pour placer leur progéniture dans des établissements spécialisés.

« Les aides mettent longtemps à se mettre en place et nous bénéficions de trop peu d’information », explique une famille. Ils ne peuvent alors se projeter pour leur enfant et pour eux-mêmes dans le futur. Mais dans tout cela, le plus dur est d’expliquer la situation à son entourage. « On s’est aperçu au cours des années que nous n’avons plus d’amis et qu’ils ne nous invitent plus . La famille ne comprend pas non plus, il est mal élevé, vous l’avez mal éduqué », explique un père.

Tout cela entraîne alors l’isolement des parents et un repli sur soi-même. « On met complétement sa vie entre parenthèses, jusqu’à complétement disparaître », raconte une autre famille. On oublie souvent le quotidien des parents qui ont un enfant handicapé. Reste à eux de sortir de l’ombre pour enfin marcher dans la lumière…

La Rédaction

 

Handicap international appel a la mobilisation contre les mines antipersonnel sur les réseaux sociaux

Handicap International appel reseau sociauxLe 4 avril prochain a l'occasion de la journée contre ce type d'armes, l'ONG Handicap international a lancé, un appel à tous ainsi qu'à ces adhérents en proposant aux internautes de partager une photo d'eux sur les réseaux sociaux. Des internautes qui sont invités à poster une photo d'eux avec une affiche « #1photocontre1mine », espérant atteindre 3.300 photos partagées d'ici le 4 avril, en hommage aux 3.300 victimes de mines antipersonnel chaque année dans le monde.

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Dix familles déposent un recours contre l’État pour défaut de prises en charge d’enfant autiste

Facade du_Conseil_D_EtatAu lendemain d'une étude publiée qui démontre que 44,4 % des familles son totalement insatisfait de la prise en des enfants autistes. Me Sophie JANOIS, Avocat au Barreau de Paris a annoncé que demain deux avril dix recours préalables seront envoyés au ministère des Affaires sociales et de la Santé, pris en la personne de Marisol TOURAINE, en vue d'obtenir la condamnation de l'État en raison du défaut de prise en charge adaptée dont souffrent les enfants autistes.

Une promesse faite depuis longtemps aux familles au travers des plans autisme, le dernier en date signé en 2013, n'a semble-t-il ne pas apporter des solutions véritables malgré les affirmations de la ministre Ségolène NEUVILLE. Un accord qui prévoit notamment la création de 3 400 nouvelles places dans des établissements ou des services pour mieux accompagner les personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement, et de renforcer et faire évoluer la prise en charge dans d'autres.

Un droit prise en charge pluridisciplinaire et adaptée est garanti à toute personne atteinte du handicap résultant du syndrome autistique ainsi qu'il résulte de l'article L246-1 du Code de l'action sociale et des familles. Or, en France, selon le collectif autisme, 77 % des enfants autistes ne bénéficient pas d'un accompagnement adapté tant l'offre de soins et l'offre médico-sociale ne répondent pas à leurs besoins spécifiques.

Dix familles qui avaient obtenu selon, Me Sophie JANOIS, « une orientation de leur enfant autiste vers un établissement médico-social, mais aucune place ne leur a jamais été attribuée. Leurs enfants sont restés sans solution, voyant leur état de santé stagner, voire se dégrader fortement. Livrés à eux-mêmes, ces parents ont dû, pour pallier les manquements de l'État, cesser toute activité et s'endetter pour rémunérer des professionnels libéraux, ou des structures privées, dont les interventions ne sont pas prises en charge par la Caisse primaire d'assurance maladie ».

Ces familles entendent par cette action demander réparation a l'État Français a laquelle elle demande le remboursement du préjudice subit évalué entre 100 000 € et 200 000 € par famille.

Stéphane LAGOUTIÉRE

Fraude, aux allocations familiales en Seine-Saint-Denis les arrestations se poursuivent

Un homme en garde a vu menotte dans le 93L'affaire avait débuté en le 7 janvier 2015 (v.article) avec l'arrestation de huit employées du conseil départemental de Seine-Saint-Denis (93). Une arrestation provoquée par des plaintes déposées du président socialiste, Stéphane TROUSSEL, aux mois d'avril et mai 2014. Ce sont treize nouveaux individus suspectés d'avoir bénéficié d'une vaste fraude aux allocations vieillesse et handicap en Seine-Saint-Denis, ayant touché jusqu'à 300.000 € indûment, qui ont étaient placé en garde à vue sont en cours", a confirmé le parquet de Bobigny.

Ces treize nouvelles interpellations portent le nombre total de personnes inquiétées dans cette affaire à 28. Les quinze autres, dont huit employés du conseil général de Seine-Saint-Denis, ont été entendues puis relâchées en janvier dernier. Un préjudice qui serait de plus de 18 M€ pour le département, en l'espèce le dont 5 M€ non couverts par la prescription selon l'avocat.

Toujours selon l'AFP, grâce à des employés véreux du conseil général, qui trafiquaient leurs dossiers informatiques, les suspects arrêtés mardi ont touché, pendant 10 ans parfois, des allocations vieillesse ou handicapé. Les treize hommes et femmes arrêtés mardi n'étaient ni vieux (âgés de 20 à 40 ans), ni mal portants, a ajouté la source. Certains avaient un emploi, manutentionnaire ou plombier par exemple, d'autres ne vivaient que des allocations, selon les premiers éléments de l'enquête. Domiciliés dans diverses communes de Seine-Saint-Denis,

Près d'un an d'enquête et surveillance

Ouverte pour fraude, menée par le parquet de Bobigny pour "escroquerie", "abus de confiance" et "accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données", a été lancée il y a un an, sur dénonciation du conseil général. C'est un audit interne du département, mené entre novembre 2013 et mars 2014 qui a permis de révéler l'escroquerie, qui durait depuis plus de 10 ans.

Selon les enquêteurs, les employés véreux, arrêté et suspendu de leurs fonctions depuis janvier 2015, avaient accès aux dossiers informatiques des allocataires, attribuaient des prestations à des personnes qui ne devaient pas en recevoir. Un jeune de 28 ans a ainsi pu toucher chaque mois sur son compte l'allocation réservée aux personnes âgées.

Deux prestations sociales dont la gestion est déléguée par l'État aux départements sont concernées: l'allocation personnalisée d'autonomie (APA), destinée aux personnes âgées et dépendantes, et la prestation compensatoire du handicap (PCH), normalement réservée aux personnes handicapées. Les montants en jeu sont importants dans l'un des départements qui cumulent le plus de difficultés sociales de France, mais reste tout relatif (moins de 1 %) par rapport au montant total des aides sociales versées par le conseil général. Le département a affirmé avoir depuis renforcé toutes les procédures de contrôle.

Stéphane TROUSSEL, l'ancien président du département qui avait déclaré en janvier que si « la présomption d'innocence doit être préservée (..) Mais si les faits sont avérés, j'attends que la justice passe avec la plus grande sévérité dans ce dossier. Cette affaire ne doit pas venir entacher la réputation de tous les autres fonctionnaires du conseil général de Seine-Saint-Denis qui font preuve de dévouement et du plus grand sérieux au quotidien. ». Le Présdent, qui devrait après les élections de mars derniers assistera au troisième tours afin de savoir si il est réelu a son poste.

La Rédaction

M6 lance une série documentaire « Mon Partenaire particulier » sur le handicap

Affiche Emission Mon partenaire particulier M6Après la série « Vestiaires » sur France Télévisions et la lancement de la web-série « Vis mon sport », M6 lance à partir de ce mercredi, sa série documentaire dédiée au handicap. Au cours des épisodes de 70 minutes, on pourra découvrir les portraits de personnes en situation de handicap qui sont à la recherche de l’amour. Adapté d’un programme anglais « The undateables », M6 annonce qu’il n’y aura ni voyeurisme, ni angélisme, mais juste l’envie de raconter de belles histoires avec des personnes extraordinaires. C'est le sentiment que l'ont peut ressentir en voyant les extraits.

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Le Ministre Patrick KANNER prit la main dans le sac sur un emplacement réservé ?

Emplacement reserve Patrick KANNERVoila une affaire qui n'a de cesse de faire du bruit sur les réseaux sociaux et notamment sur Twitter depuis vendredi soir. Un comportement et une situation que le ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, Patrick KANNER candidat sur le canton 5 de Lille. Une photo postée avec ce commentaire de M. Kinget : « République exemplaire ? Les Lillois en jugeront... », et qui montre une voiture garée sur un emplacement réservé situé devant la mairie de Lille Sud, vers lequel le ministre en pleine campagne des départementales, se dirige.

Réalité ou intox, le ministre n'a de cesse depuis de réfuté cette accusation et dit n'avoir aucun lien avec cette berline noire, vers lequel ce dernier ce dirige. L'accusé qui n'aura de cesse de crier au complot dénonçant les comportements et les attaques dans la campagne des départementales de son rival UMP, François KINGET.

Une réalité cependant démontre que l'incivilité reste bien réelle en France concernant les emplacements réservés.

Le ministre, qui dimanche après avoir remporté les élections dans son canton avec 59.65 % après les résultats, aura entre autres commentaire sur cette affaire ce Tweet : « Ce n'est pas ma voiture, c'est celle d'un militant qui nous suit. Et c'est encore moins une voiture du ministère. »

Un fait divers de cette campagne départementale qui montre également combien la question du handicap n'aura pas l'une des priorités des candidats dont la seule préoccupation aura été le score du Front national. Dommage !!!

La Rédaction