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Un jeune polyhandicapé se noie à Fréjus poussé par son chien ? L’enquête est désormais ouverte

Les services de secours intervenant sur le port de Fréjus dans le Var pour sortir de l'eau l'homme en fauteuil tombé a l'eau quelques minutes auparavant© Gabrielle PROMPTC'est une fois de plus un tragique fait divers, mais pour lequel de nombreuses questions demeurent. Si la première et de savoir qui a fait basculer le fauteuil entre le chien ou le maître, l'enquête en cours devrait le déterminer. Reste que beaucoup restent interrogatifs compte tenu de l'heure du drame qui a eu lieu à 14 h et lieu sur le port de Fréjus. La capitainerie du port étant à proximité, cette dernière a-t-elle été prévenue ? Une ou plusieurs personnes n'auraient-elles pas pu intervenir ? Des questions auquel pour l'instant il semble y avoir des réponses.

Un drame qui c'est déroulé en début d'après-midi a 14 h, pour cet homme Maxime MOUSSEL, âgé de 44 ans, connus du quartier du port où il résidait depuis plusieurs années. Celui-ci aurait décidé comme il le fessait régulièrement de profiter de la température estivale pour aller se promener sur les quais. À ses côtés, sa fidèle Inès, toujours les jours un peu plus indispensables face aux difficultés croissantes à actionner les boutons de son fauteuil.

Des services de secours qui selon la préfecture sont intervenus très rapidement contrairement a certaines rumeurs prévenues par des témoins du drame, mais il est déjà trop tard. Plusieurs minutes de réanimation sont sans effet. Les voisins évoquent un homme « qui ne pouvait se diriger qu'avec ses mains. Mais c'était de plus en plus difficile. Il avait du mal à se diriger. Un homme gentil, très capable, mais qui se sentait dégradé ». Une assistance de vie de l'association Sandra, qui arrivera en larmes « Nous étions encore ensemble il y a une heure. Avec sa maman, qui vient de reprendre son train. Ils étaient en joie. Nous avons passé un excellent moment. Comment est-ce possible ? »

La Rédaction

Maison d'arrêt de Rouen: un jeune plaquiste de métier risque de perdre l'usage d'un doigt

Un homme dessinée s’interrogeant si il doit scier les barreaux ou sauter par la fenêtre (Illustration) Une greffe de l'articulation d'un orteil sur celle d'un doigt de la main droite : telle était l'opération complexe qu'A.P. aurait dû subir le 27 juin 2012 pour lui permettre d'espérer recouvrir la mobilité de son doigt, indispensable à l'exercice de son métier de plaquiste. Cette opération n'a pu être réalisée, car le 1er juin, A.P. a été placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Rouen dans le cadre d'une affaire de trafic de stupéfiants en récidive.

L'opération n'a pas non plus pu être mise en oeuvre au sein du centre hospitalier de Rouen qui n'a proposé qu'une arthrodèse du doigt, opération entraînant la perte définitive et complète de l'usage du doigt... Une alternative à laquelle A.P. s'est toujours refusé, tandis qu'en parallèle l'ensemble de ses demandes de remise en liberté pour se soigner à l'extérieur ont été refusées.

Un certificat d'un médecin du service médical de la maison d'arrêt de Rouen du 12 décembre 2012 alerte : « si A.P. n'est pas opéré dans les plus brefs délais [...], il devra subir au niveau de son 4e doigt de la main droite une arthrodèse définitive ». Il ajoute que même en l'absence d'intervention «l'arthrodèse est actuellement en train de se constituer naturellement, ce qui entraîne une perte de chance sur le plan du résultat fonctionnel » et que « les conséquences fonctionnelles d'une arthrodèse définitive seraient d'ordre professionnel (patient plaquiste)».

L'intervention qui pourrait éventuellement permettre à A.P. de conserver la mobilité de son doigt consiste à remplacer l'articulation endommagée de la main par une articulation d'un orteil. Programmée le 27 juin 2012 au service SOS mains de Tourcoing, cette opération n'a pu avoir lieu en raison de la mise en détention provisoire d'A.P. le 1er juin 2012. Une fois incarcéré, comme le précise un certificat médical du 17 juillet 2012 réalisé par un médecin de la maison d'arrêt de Rouen, « il est extrêmement difficile d'obtenir des rendez-vous dans des délais décents auprès de SOS-mains au CHU de Rouen ».

Ce n'est que le 8 octobre 2012, qu'A.P. a pu bénéficier d'une consultation au service de chirurgie orthopédique et traumatologie du CHU de Rouen. Mais le chirurgien ne lui a pas proposé la greffe envisagée au départ, précisant : « au vu du dossier et de l'ensemble des éléments, notre équipe pencherait plutôt pour la réalisation d'une arthrodèse [...], solution avec laquelle le patient n'est pas d'accord. ». De fait, cette arthrodèse entraînerait la perte totale et définitive de l'usage du doigt.

Opportunité thérapeutique ou contraintes liées au statut de détenu ? Selon l'Agence régionale de santé saisie le 13 novembre par l'OIP, A.P. « a bien bénéficié de toute l'attention et de tous les soins nécessaires à son état de santé. Ses droits et son consentement libre et éclairé ont bien été respectés dans toutes les propositions de soins qui lui ont été faites».

Ce qui est certain, c'est que plusieurs certificats précisent que l'opération initialement prévue ne serait pas compatible avec un maintien en détention : « ce type d'intervention pourrait être pratiquée sur Rouen, mais les suites opératoires seraient incompatibles avec le maintien en détention normale.

Elle exigerait a priori deux à trois mois pour qu'elle soit réalisée dans de bonnes conditions et que la convalescence se termine ». Un transfert vers l'Unité hospitalière sécurisée interrégionale (UHSI) de Lille pour permettre au détenu de subir l'opération initialement prévue n'a pas non plus été possible dans la mesure où elle devait se dérouler dans une clinique privée.

C'est pourquoi l'équipe médicale avait estimé « souhaitable qu'A.P. puisse bénéficier d'une suspension de peine pour que cette opération puisse être réalisée comme il était prévu à Tourcoing, et ce dans les meilleurs délais ». De son côté, l'avocat d'A.P. avait immédiatement interjeté appel contre l'ordonnance de mise en détention provisoire du Juge des libertés et de la détention, faisant valoir, documents médicaux à l'appui, que « suite à sa blessure au doigt, une intervention complexe [devait] intervenir au service SOS mains de Tourcoing, suivie d'une rééducation » et demandé « son assignation à résidence sous surveillance électronique ».

Mais le 21 juin 2012, la chambre de l'instruction, mettant en avant l'absence de « délais impératifs » pour l'opération, avait estimé que l'intéressé ayant déjà été condamné à divers délits, il existait un « sérieux risque de récidive et de non-représentation en justice », et qu'ainsi, la détention provisoire était « l'unique moyen d'éviter toute pression, concertation ou représailles ».

Le 8 août 2012, une nouvelle demande de remise en liberté était rejetée, au motif que les documents médicaux produits ne permettaient pas « d'évaluer la nécessité et l'urgence de l'opération envisagée (...) étant observée qu'en cas d'impérieuse nécessité, une autorisation de sortie sous escorte [...] pourrait être envisagée ». Une décision de rejet confirmée par la chambre de l'instruction de la Cour d'appel le 30 août 2012. Le 24 septembre, le Juge des libertés et de la détention prolongeait par ordonnance la détention provisoire d'A.P., soulignant à nouveau que « ce type d'opération, dont l'urgence n'[est] pas démontrée pouvait intervenir dans le cadre carcéral », et « qu'aucun élément nouveau ne permettait de remettre en cause cette appréciation ».

Des motivations difficiles à comprendre pour A.P. qui a reconnu la plupart des trafics qui lui sont reprochés, d'autant qu'il ne pourra rencontrer les principales personnes mises en cause dans la même affaire qui se trouvent également en détention provisoire. Tandis que l'instruction s'étire en longueur, A.P. voit s'accroître de jour en jour, le risque de perdre définitivement l'usage de son quatrième doigt et donc la possibilité d'exercer à sa sortie le métier de plaquiste, ce qui mettrait à mal ses perspectives d'insertion professionnelle. L'avocat d'A.P. va déposer dans les prochains jours une nouvelle demande de remise en liberté.

L'OIP rappelle dans son communiqué que : l'article 46 de la loi pénitentiaire du 24 nov. 2009 qui dispose que « la qualité et la continuité des soins sont garanties aux personnes détenues dans des conditions équivalentes à celles dont bénéficie l'ensemble de la population.» tout comme l'article 2 de la même loi, selon lequel le service public pénitentiaire « contribue à l'insertion ou à la réinsertion des personnes qui lui sont confiées par l'autorité judiciaire, à la prévention de la récidive et à la sécurité publique dans le respect des intérêts de la société ».

La Rédaction

La Rédaction

Une semaine après ont toujours sans nouvelle du jeune trisomique disparu dans l'Oise

Bruno le jeune trisomique disparu dans l'Oise en février 2010 il était alors âgé de 15 ans ©DRDisparu depuis le mardi 18 décembre à Ribécourt-Dreslincourt, dans l'Oise, ont est toujours sans nouvelle du jeune trisomique surnommé Cody âgé de 17 ans. Plus d'une semaine après sa disparition alors qu'il se trouvait au lycée horticole, où il effectuait un stage de confection de bouquets entouré d'éducateurs quand il a soudainement quitté la serre où il travaillait. Depuis, il reste introuvable malgré les recherches qui poursuivent les gendarmes.

Des recherches plus difficiles en cette période de fêtes de fin d'années et notamment et ce 25 décembre "on a un peu plus de mal à contacter les gens. Les interlocuteurs sont moins disponibles", a indiqué le commandant Michaël FUMERY, de la compagnie départementale de gendarmerie de Compiègne. Des équipes de la gendarmerie qui continuaient de quadriller différents secteurs, mais aussi de vérifier les renseignements obtenus grâce à l'appel lancé au niveau national.

Si le village a fait l'objet d'un déploiement important des forces de l'ordre. La population de la commune reste très inquiète du sort de ce jeune homme et participe aux recherches. « Le soir, je tourne dans les rues, près des bois, pour voir si je ne l'aperçois pas. Un membre de ma famille est aussi trisomique. Alors, c'est un peu comme si c'était mon frère ou mon cousin que je cherchais. » Mounir, « On ne peut pas s'empêcher de s'interroger...» Ajoute Victor FARIA, un autre habitant. Car le mystère règne autour de cette disparition.

Un adolescent dont les parents sont de plus en plus inquiets et qui vient de fêter ses 17 ans le 23 décembre aurait pu prendre un bus ou un train. "C'est techniquement possible, si c'était le cas on aurait peut-être eu plus de renseignements. En revanche, il a pu monter dans la voiture de quelqu'un", a avancé l'officier de gendarmerie. "Nous sommes passés dans une phase où on fait beaucoup d'exploitation de renseignements, soit des gens qui nous appellent, soit des recherches systématiques comme contacter des chauffeurs de bus", a-t-il ajouté. Un sentiment confirmé par la procureure de Compiègne Ulrika DELAUNAY-WEISS.

Un jeune homme qui mesure 1,70 m est présente une corpulence forte qui selon le parquet de Compiègne, est décrit comme "un enfant peureux, mais qui paradoxalement va facilement vers les personnes". En cas de renseignements, la gendarmerie de Ribécourt-Dreslincourt prie de l'aviser au 03.44.75.82.17 ou via le numéro d'urgence 17

La Rédaction

Les Salariés handicapés de l’ESAT "Cat'Appahm" en Martinique en colère contre leurs employeurs

Les salaries de l ESAT Cat’Appahm situé en Martinique devant leur entreprise et lieu de travail ©DRDans une situation plus que jamais difficile, les travailleurs handicapés de l'ESAT "Cat'Appahm" (établissement et service d'aide par le travail), ont entamé, hier, un mouvement social. Si connus pour leur joie de vivre, ils sont pourtant aujourd'hui en colère, alertent les autorités sur leurs problèmes de rémunération. L'entreprise en question étant spécialisée dans la préparation et la promotion des artistes handicapés de la Martinique. Une vingtaine de travailleurs handicapés sont employés au sein de cet ESAT, situé au Lamentin. Hélas, leur rémunération n'est pas à la hauteur de leur travail.

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La journée de l’ Handi : le premier job-dating inversé

Affiche-manifestation-emploi-j4sAlors que le taux de chômage de personnes en situation de handicap est le double de la moyenne nationale, J4S intérim propose de rencontrer directement les demandeurs d'emploi en situation de handicap lors de LA JOURNEE DE l'HANDI aura elle lieu le 8 janvier prochain au cour de la premier semaine 2013. Un premier rendez-vous de l'année organisée par J4S INTERIM aura pour but de recevoir des personnes en situation de handicap actuellement en recherche d'emploi ou en réinsertion professionnelle.

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ŠKODA fête les 30 ans de Handicap International en vous invitant a mise à l’enchère en ligne

skoda fetent les 30-ans de handicap international avec la mise au enchère d'une voitureEn 2012, Handicap International célèbre son 30e anniversaire. Présente sur le théâtre des plus grands désastres humanitaires depuis 1982, l'association vient en aide aux personnes vulnérabilisées par une catastrophe, un conflit ou une extrême précarité. Des enchères commencé le 18 décembre dernier a 1 € symbolique et qui on a ce jour atteint déjà la somme de 10.550 €.

Pour saluer 30 ans d'engagement et soutenir ses actions menées aujourd'hui dans 60 pays, ŠKODA France a décidé d'organiser une vente aux enchères exceptionnelle sur Ebay, dont le montant sera intégralement reversé à l'association. « ŠKODAet le célèbre DJ hollandais Tiësto se sont associés lors du lancement de la Citigo en juin dernier, en préparant une auto unique.

En parallèle de son investissement auprès d'autres associations, ŠKODA France a souhaité soutenir Handicap International qui porte des valeurs de solidarité et d'entraide qui lui sont chères. Bonne chance aux participants qui auront la chance de rouler dans une auto unique, tout en réalisant une belle action ! » Commente Luc Chausson, Directeur de ŠKODA France.

Pour l'occasion, l'unique ŠKODA Citigo Tiësto est mise aux enchères du 18 au 27 décembre 2012. L'heureux acquéreur remportera cette petite citadine entièrement customisée par Tiësto, l'un des plus grands DJ au monde. La série limitée dispose d'équipements high-tech qui invite le conducteur et ses passagers à un voyage dans l'univers électronique de l'artiste avec un système son unique (six haut-parleurs avec amplificateur et une installation customisée par Tiësto). Un design urbain (peinture personnalisée, stickers Tiësto, jantes peintes, tableau de bord customisé) donne son caractère et sa ligne tendance à la micro citadine.

Les partenaires privés, une force pour Handicap International

Handicap International est une organisation indépendante et impartiale. Pour garantir sa liberté d'action, elle a fait le choix de diversifier ses ressources financières. En 2011, 77 % de ses ressources étaient issues des entreprises et de la générosité du public.

Les partenaires privés représentent donc un enjeu majeur pour l'association, comme le rappelle Jean-Marc Boivin, Directeur général de Handicap International France « Grâce à cette opération originale, notre association bénéficiera d'un financement supplémentaire, bienvenu pour couvrir nos projets. La solidarité que nous portons dans 60 pays demande de la persévérance, donc des moyens financiers importants au long cours. Merci à ŠKODA pour cette initiative généreuse et bonne chance aux participants ! » . Pour participer : Pour enchérir sur la ŠKODA Citigo série limitée Tiësto et soutenir Handicap International, rendez-vous sur le site E.Bay

La Rédaction

Peine prison avec sursis requis contre une enseignante accusé d’avoir frappé une élève handicapés

Façade du Palais de justice d'Avignon ou est situé le tribunal correctionnelActuellement en délibéré jusqu'au 16 janvier 2013, le procès qui a eu lieu le 19 décembre devant le tribunal correctionnel d'Avignon, contre une enseignante accusée de geste de violence a deux reprise et donc délibérer sur une enfant handicapée âgée de 8 ans dans une classe d'Avignon.

Des accusations qui si elle devait être confirmée par la justice seraient graves pour tout le corps enseignant ! Des faits qui selon des sources judiciaires auraient eu lieu au cours de l'année 2011.

Des témoins affirment que l'enseignante aurait donné un coup de pied à l'enfant pour la faire cesser de chanter lors d'une répétition de la chorale de l'école, puis une fessée quelques mois plus tard dans une salle d'activités manuelles.

Des faits qui auraient été rapportés par la petite fille à sa mère, des accusations que l'enseignante âgée de 56 ans a nié ces brutalités, dénoncées par des collègues de travail, évoquant une "mésentente". Des faits que son Me Jacques TARTANSON l'avocat de l'accusé a lui tenu rappelé que sa cliente s'occupe de ses enfants depuis 1974 dates de son diplôme.

A ce jour si l'enseignante continue d'exercer celle-ci a fait l'objet d'une mutation, le ministère public a lui non seulement requis 4 à 5 mois de prison avec sursis, mais assortis d'une interdiction de l'exercice professionnel.

Des parents et des enseignants dans les environs d'Avignon qui reste très prudent et les avis très partagés sur cette affaire. Certains y allant même de leurs conseils rappelant que ces enfants n'ont pas leurs places dans le système éducatif !!! D'autre vous direz et ils sont nombreux à reconnaître que le fait de frapper un enfant reste inacceptable surtout de la part d'un enseignant. Enfin d'autre du sérieux et ils sont un peu près la moitié a douté de la véracité de telle accusation, mais regrette que l'Éducation nationale est simplement procédée a une mutation dans l'attente d'un procès.

Stéphane LAGOUTIÉRE