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monbanquierenligne.fr désormais accessible aux personnes sourdes et malentendantes

fonctionnement du systhme concepteur de service AcceoLa Caisse d'Épargne Rhône Alpes et Acceo a annoncé avoir réuni leur savoir-faire pour faciliter l'accès de l'agence à distance monbanquierenIigne.fr aux personnes ayant une déficience auditive. Alors que l'internet prend de plus en plus de place dans la vie quotidienne, ce service innovant et gratuit permettra aux personnes d'un handicap auditif bénéficient d'une égalité d'accès à l'information et à l'ensemble des services bancaires à distance de la Caisse d'Épargne Rhône Alpes.

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Dépassements d’honoraires : les français ne veulent pas être les "pigeons de la farce"

depassement-d-honoraire-cissAu lendemain de l'annonce de l'accord trouvé entre les différentes parties sur les dépassements d'honoraires médicaux, et des airs de triomphe de la ministre de la Santé, Marisol TOURAINE, alors que tout reste largement incertain. Le Collectif sur la santé a lui présenté un sondage lors d'un point presse réunissant les représentants des usagers en CPAM du CISS, de la FNATH et de l'UNAF. Des Français à qui ont à poser deux questions

sur la perception qu'ont les Français des tarifs abusifs en matière de dépassements ou encore leurs attentes vis-à-vis du gouvernement pour une lutte efficace contre ceux-ci. Les conclusions confirment sans aucun doute que le raz bol des usagers et leur découragement se sentent les « pigeons de la farce » !

Un chiffre résume à lui seul la volonté radicale des usagers de voir définitivement résolue la question des dépassements d'honoraires : 80 % des Français ne trouvent pas « normal » que les médecins en facturent. Une exigence d'en finir avec les dépassements d'honoraires qui se confirme au travers de toutes les attentes qu'ils expriment, souvent en décalage voire en opposition avec l'accord, conclut le 23 octobre dernier.

Ainsi a la question de savoir si a partir de quel niveau il qualifie ses dépassements d'honoraires d'abusifs. Plus des 2/3 des Français jugent « abusifs » tout dépassement supérieur à 50%% du tarif de la sécurité sociale... alors comme le rappel, Christian SAOUT, ne permet même pas d'inscrire fermement le seuil de 150 % comme un critère suffisant pour la qualification d'excessif. Des usagers qui dont 86 % d'entre eux disent attendre une sanction des médecins pratiquants des dépassements abusifs... Si là dans la théorie, elle est effectivement prévue, tous s'accordent pour reconnaître que la complexité de la procédure prévue ne permettra pas davantage d'aboutir à des sanctions effectives que les dispositifs précédemment existants. D'autant que la définition repose pour être engagée sur la définition d'un seuil particulièrement complexe à cerner.

Un sondage qui met également en avant le fait que 65 % le maintient d'un secteur 2 ne permettra pas une lutte efficace contre les dépassements d'honoraires... Or comme le rappel le CISS et les représentants des usagers en CPAM, l'accord n'envisage aucunement la disparition de ce secteur d'activité autorisant la liberté tarifaire, le seuil au minimum des médecins dont on espère qu'il rejoigne le nouveau « contrat d'accès aux soins » ayant même été abaissé de 1/2 à 1/3 au cours de la négociation.

Quant à savoir si les assureurs complémentaires privés ou mutualistes participent à la revalorisation des honoraires des médecins en secteur 1, 61% des usagers affirment être opposés à une telle solution. Pourtant, l'accord du 23 octobre s'il était approuvé définitivement ouvrirait selon le CISS la voie à un basculement de fond dans l'équilibre de notre régime de prise en charge des soins en disposant que les organismes complémentaires s'engagent au « financement de tarifs opposables réévalués » et cela « au-delà des sommes naturellement appelées par le mécanisme du ticket modérateur. Bref, de notre point de vue, une façon détournée d'augmenter le ticket modérateur, c'est-à-dire le recul de la Sécurité sociale... Le comble dans une négociation qui portait à l'origine sur la diminution des dépassements d'honoraires pour contenir les restes à charge des usagers ! ». Précise, Christian SAOUT, lors du point de presse.

Les Français convaincus de la responsabilité du gouvernement

Concernant la deuxième partie des sondages, concernant leurs attentes vis-à-vis du gouvernement pour une lutte efficace contre les dépassements des honoraires médicaux. Des Français convaincus que le gouvernement ne contrôle pas la situation. Ils sont 67 % à considérer celui-ci comme responsable d'un échec en la matière contre 49 % pour les syndicats de médecins. Des médecins dont, pourtant, le groupe de pression reste très puissant aux parlements. Un avertissement pour l'exécutif puisque plus de trois Français sur quatre déclarent que l'efficacité de la lutte contre les dépassements d'honoraires (76 %), tout comme la capacité à préserver un système solidaire (78 %), sera des critères qu'ils prendront en compte pour apprécier l'action du gouvernement.

Rémunération et démographie au croisement des enjeux

Des Français pour lesquels quelque 30% d'entre eux restent confrontés à la difficulté de trouver un médecin près de chez eux ne s'y trompent pas lorsque, parmi eux, 68 % déclarent que les difficultés liées à la répartition des médecins dans le territoire devraient être abordées conjointement à celles des dépassements d'honoraires. Preuve puisque ce lien entre deux problématiques a transparu également dans les résultats de l'enquête menée cette année par les représentants en Caisses Primaires d'Assurance Maladie du CISS, de la FNATH et de l'UNAF.

À partir de l'analyse des éléments adressés par 42 CPAM, il ressort notamment que la part de médecins spécialistes en secteur 2 est souvent plus élevée dans les départements caractérisés par une forte densité médicale (à Paris ou plus de 50% des médecins spécialistes exercent en secteur 2, dans les Alpes-Maritimes plus de 40% ou dans le Val-de-Marne avec plus de 35 %).

Alors qu'elle est plus faible dans les territoires présentant des carences en offre de soins de ville (l'Ariège où moins de 5% des spécialistes exercent en secteur 2, l'Aveyron autour de 5%, la Creuse moins de 10 %). Un lien intuitif entre ces deux enjeux de l'accès aux soins, souligné de longue date par les associations d'usagers... Les représentants des usagers en CPAM du CISS, de la FNATH et de l'UNAF appel les politiques a changement et voir la rémunération de la médecine de ville basculer majoritairement sur un mode forfaitaire...

Stéphane LAGOUTIÉRE 

Vaccin antigrippe AGRIPPAL de Novartis des mesures de précaution ont étaient prises en France

une femme de plus de 65 ans en train de se faire vacciner (Archives 2010)Le ministère de la santé vient de communiqué que la a la suite du constat d'impuretés sur des lots du vaccin antigrippe de la marque Novartis en Italie et en Suisse à provoqué l'arrêt de la livraison de ces vaccins dans ces pays. Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, a demandé à l'ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) de prendre des mesures préventives sur les vaccins concernés commercialisés en France.

Selon le ministère de la santé, a ce stade, aucune impureté n'a été constatée en France, et aucune remontée de pharmacovigilance n'a été relevée. Il n'y a actuellement pas d'indication de danger connue pour les patients ayant utilisé cette marque sur le territoire national. Toutefois, par mesure de précaution, les lots de vaccins stockés chez les grossistes répartiteurs et dans les pharmacies ont été bloqués dans l'attente de l'avis de l'Agence européenne du médicament (EMA).

La marque de vaccins contre la grippe de Novartis commercialisée en France, AGRIPPAL, qui est la seule concernée, représente moins de 2 % du marché français. Il est possible de continuer à se faire vacciner contre le virus de la grippe avec les autres marques de vaccin.

Pour les plus fragiles le vaccin reste une nécessitéVaccin antigrippe AGRIPPAL de Novartis ©Novertis

Personnes âgées, personnes souffrant de problème respiratoire et tous les autres le vaccin reste indispensable. Alors que seuls quelques cas sporadiques de grippe A et B ont été signalés en France, le réseau des Groupes régionaux d'observation de la grippe (GROG) rappelle aux personnes à risque que le moment est idéal pour se faire vacciner. Les virus grippaux sont encore peu présents sur l'Hexagone. Actuellement, seuls les rhinovirus - les virus responsables du rhume - sont très actifs sur la France métropolitaine.

Cette semaine, les GROG ont suivi 19.924 clients de pharmacies, 34.301 patients de médecine générale, 7.123 patients de pédiatrie, 1.979 consultations militaires, 47.921 appels à SOS Médecins, 5.312 cas d'IRA, et 38% du marché français de la répartition pharmaceutique.

Stéphane LAGOUTIERE

Avec la 5è édition Handichat, participez pendant 5 jours à 50 chats vidéo !

handichat-plateau-2012 © Interneto 2012Organisée conjointement par l'AGEFIPH et Interneto, celle nouvelle édition d'Handichat, se déroulera du lundi 12 au vendredi 16 novembre. Une web TV qui vous permettra et aux internautes de postuler auprès de 50 entreprises ! Un rendez-vous dans lequel vous retrouver des émissions conseil pour aider les personnes handicapées à trouver un emploi, à évoluer, à se former, à créer son entreprise ou à rédiger son CV. Mais aussi des nouveautés avec des reportages, interviews et des émissions.

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Prison ferme requise contre le corps médical responsables des irradiés d’Épinal

Le président de l'association des victimes Philippe Stäbler (G), Me Gérard Weltzer, leur avocat et des familles des irradiés de l'hôpital d'Epinal, à Paris, le 24 septembre 2012. ©REUTERS/Charles PlatiauCommencé le 24 septembre dernier devant le tribunal correctionnel de Paris, pour ce qui sera le procès du plus grand accident de radiothérapie en France. Une sur radiation dont seront victimes 450 patients et qui était traitée pour des cancers de la prostate à l'Hôpital Jean-Monnet d' Épinal (Vosges) entre 2001 et 2006. Après plus de cinq semaines de procès et le réquisitoire des deux vice-procureurs Marie-Odile DEJUST et Dominique PERARD ce procès arrive a lui terme avec un jugement qui ne devra pas intervenir avant un a deux mois, pour des « Les victimes veulent la vérité judiciaire » a demandé Me WELZER.

Pour rappel des patients qui ont étaient dans un premier temps exposés à une dose de radiations supérieure de 20% à celle autorisée provoquant ainsi l'exposition à des doses potentiellement mortelles. A ce titre sept patients sont d'ailleurs décédés suite à l'exposition aux radiations. Un nombre qui pour le médecin Jean-Marie SIMON avait affirmé le 2 octobre devant le tribunal correctionnel que 12 personnes étaient décédées des suites des accidents de surirradiation survenus entre 2001 et 2006, et non sept comme retenue par la justice. Des victimes qui selon l'ancienne ministre de la Santé Roselyne Bachelot, pourraient être au total à l'hôpital d'Épinal pourraient être portées à 5 550 si l'on prend en compte les patients traités entre 1989 et 2000. Des victimes qui ont été indemnisées par l'État « de 2.000 euros à plus de 150.000 euros. Au total, l'enveloppe était d'environ 25Md €» selon l'avocat Me Gérard WELZER qui défend 194 patients.

Un réquisitoire au cas par cas...

Photo prise en 2008, à l'occasion de la réouverture de l'une des salles de radiothérapie de l'hôpital d’Épinal, après six mois de travaux. ©POL EMILE/SIPALes deux vice-procureurs Marie-Odile DEJUST et Dominique PERARD, auront donc requis des peines de douze ferme contre le radiophysicien Joshua Anah chargé à l'époque du paramétrage des appareils- coupable à leurs yeux par sa « négligence inadmissible » d'homicides et blessures involontaires, non-assistance à personne à danger et destruction de preuves. Trois ans de prison, dont un an ferme, et une interdiction d'exercer la radiophysique médicale ont été réclamés.

Il auront par contre estimé qu'il avait eu volonté de cacher la vérité pour ce qui est des deux anciens médecins de l'hôpital d'Épinal, Michel AUBERTEL et Jean François SZTERMER ne retenant que les infractions de non-assistance à personne à danger et destruction de preuves pour le suivi défaillant de leurs patients, et pas la condamnation pour homicides et blessures involontaires. N'enlevant en rien la gravité des actes selon le parquet, qui réclamera : quatre ans de prison, dont 18 mois fermes et une interdiction d'exercer. Auquel s'ajoute 30 000 € d'amende requis contre les trois prévenus.

Des condamnations de douze mois avec sursis ont également été réclamées contre deux autres prévenus de ce procès jugé pour non-assistance à personne en danger: Francette MEYNARD, ex-directrice de la Ddass des Vosges et pour Jacques SANS, ancien directeur de l'agence régionale d'hospitalisation de Lorraine. Des avocats qui pour Francette MEYNARD n'auront pas réussit a convaincre le parquet et de cesse d'affirmer que malheureusement c'est, « les médecins responsables l'auraient manipulée en lui dissimulant la vérité » soutiennent les avocats. Ce qui, d'après eux, explique pourquoi Francette MEYNARD n'a fait « qu'informer » et non « alerter ». Ils ajoutent : « Elle ne pouvait pas deviner les choses et, en plus, avant tout le monde ».

Le parquet qui requit par contre la relaxe pour l'ancienne directrice de l'hôpital, Dominique CAPPELLI, dont le parquet a salué « la réactivité » face à l'accident, et pour l'établissement lui-même, jugé au titre de personne morale. Un procès qui se poursuivra demain et vendredi par la plaidoirie des avocats des victimes, avant qu'il ne s'achève lundi par sa mise en délibéré après les plaidoiries des avocats des trois médecins incriminés prévus lundi matin.

Stéphane LAGOUTIÉRE

Faut-il attendre que les jeunes handicapés soient demandeurs d'emplois pour s'occuper de l'insertion

Un jeune trisomique en formation professionnelle dans la menuiserie en Suisse (Illustration) Dans le cadre de la semaine de l'emploi des Personnes Handicapées du 12 au 16 novembre 2012, la FNASEPH et la FGPEP demandent aux acteurs de la formation, de l'orientation, de l'insertion et aux employeurs d'anticiper l'insertion des jeunes en situation de handicap. Une revendication que les deux fédérations souhaitent également mettre en avant dans un communiqué commun auquel il convient d'ajouter le nécessaire accompagnement du parcours de vie des personnes pour faciliter l'insertion.

Les deux associations qui rappel justement que les conditions de réussite sont loin d'être acquise et que pour atteindre celui de l'insertion professionnelle prévus dans la loi de 2005, il convient de créer les conditions de la réussite notamment du parcours de formation et d'insertion professionnelle des jeunes en amont du marché du travail.

Un grand nombre d'entre eux parviennent (non sans difficultés encore) à construire leur parcours scolaire même si les études supérieures ne représentent que 5 % et qu'ils sont toujours plus de 30 000 à ne pas avoir de scolarité. Mais l'entrée ou le passage vers la vie professionnelle reste trop peu ou trop mal engagé, ou la plupart du temps engagé trop tard lorsque les jeunes sont demandeurs d'emplois.

Alors que l'insertion professionnelle commence par l'accès à tous types de formations, des constats sont faits et partagés à ce jour par l'ensemble des acteurs sur les freins à cette insertion : les cloisonnements, le manque de passerelles, les différences de cultures des différents milieux considérés, surtout le manque de qualification des personnes en situation de handicap...

L'accompagnement qui ne peut être appréhendé que dans sa globalité et dans tous les lieux fréquentés par le jeune en situation de handicap, et notamment les établissements de formation, et les lieux de stage, d'alternance et d'emploi. Pour les deux fédérations la FNASEPH et la FGPEP celle-ci les missions du nouveau métier d'accompagnant doivent répondre a trois points.

L'accompagnement de la formation professionnelle ou de l'accès au supérieur, ensuite pendant la phase d'insertion professionnelle qu'ils s'agissent de stages, emplois temporaires, accès au premier emploi. Enfin dans l'accompagnement dans la vie professionnelle pour lequel la personne en situation de handicap rencontre il vrai souvent des problèmes annexe tel que le déplacement, le logement...Des services d'accompagnements des parcours d'insertion des jeunes en situation de handicap en amont du marché du travail, doivent se développer à l'instar des CAP EMPLOI.

Un levier pour lequel les deux fédérations rappel « qu'il convient de s'appuyer, est la notion d'accompagnement de la personne et de son parcours. Il est tout autant constaté que certains jeunes ont en raison de leur handicap un besoin d'accompagnement humain. Bien souvent celui-là s'arrête à la fin de la scolarité ». Une situation qui laisse le jeune dans une situation d'isolement souvent obliger de se débrouiller seul pour continuer. « Le parcours devient alors incohérent, empêché.... L'accompagnement doit être appréhendé dans sa globalité et dans tous les lieux fréquentés par le jeune en situation de handicap, et notamment les établissements de formation, et les lieux de stage, d'alternance et d'emploi ».

Formation professionnelle et étude supérieur seront véritablement les seuls moyens que notre société aura de lutter efficacement contre les 22 % de chômage qui touche actuellement les travailleurs handicapés et qui ne cesse de progresser d'une année sur l'autre...

Stéphane LAGOUTIERE

1ère Semaine du chien guide d’aveugle, un succès et bilan encouragement

Un chien guide d'aveugle indiquant un siège vide dans un parcs parisien le 29 septembre 2009 (Archives) Un mois après son lancement du 24 au 30 septembre, le bilan de la première semaine du chien guide d'aveugle, organisée par la FFAC(1), est un véritable succès. Des chiffres marquants, un intérêt grandissant, un soutien important... tous synonymes d'un fort encouragement. Une semaine qui avait été suivit d'une campagne massive de communication et de mobilisation sur la déficience visuelle et l'utilité du chien guide d'aveugle, avec deux objectifs, la sensibilisation et le rappel à la loi.

Une campagne au vu de tous

Sensibiliser et informer le plus largement possible le grand public et les personnes déficientes visuellesUn homme dans un bus parisien accompagné de son chien alors que trop d'idées reçues freinent encore la demande de chiens guides et que seulement une personne déficiente visuelle sur 100 est maître de chien guide à ce jour. Rappeler la loi qui autorise les chiens guides dans tous les lieux publics et exiger son application grâce au lancement du texte de soutien «Partout avec mon chien guide», trop de personnes déficientes visuelles accompagnées de leurs chiens guides se font encore refuser l'accès à des lieux publics, taxis.

« Cette année, ce ne sont pas moins de 15.000 visiteurs qui se sont rendus, en France, dans les 10 écoles de chiens guides membres de la FFAC. L'École des Chiens guides de Paris a accueilli plus de 2.500 personnes, et l'École de Pont-Scorff qui organisait pour la toute première fois sa journée porte ouverte a mobilisé 1400 personnes. Second fait marquant : Plus de 20.000 personnes ont signé le texte de soutien « Partout avec mon chien guide pour une meilleure application de la loi(2) autorisant tous les chiens guides dans les lieux publics et une reconnaissance officielle du chien guide. Ces chiffres qui parlent d'eux‐mêmes sont une grande satisfaction pour la FFAC et l'ANMCG(3), et nous encouragent à poursuivre nos efforts et notre volonté de combattre les idées reçues et la désinformation qui entoure la cause du chien guide d'aveugle », précise Paul Charles, Président de la FFAC.

Une pétition en ligne

logo petition partout avec mon chien-guideClôturé dans les jours à venir, le texte de soutien « Partout avec mon Chien guide » comportant cinq revendications afin d'être porté auprès des pouvoirs publics, déjà sensibilisés et alertés par cette démarche. La FFAC et l'ANMCGA continuent de se mobiliser pour améliorer et faciliter le quotidien des personnes déficientes visuelles. Aujourd'hui ils sont déjà plus de 20616 à avoir apporté en ligne leurs soutiens à ce texte, 4 384 signatures sont encore nécessaires pour permettre à l'association et a ses bénévoles de poursuivre leurs objectifs. Des objectifs qui sont en 2013, la remise de plus de 200 chiens par an, ainsi qu'une augmentation significative du nombre de demandes de chiens-guides.