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Les Jeunes Radicaux de Gauche opposé au non-respect du principe de l'accessibilité universelle

un jeune garcon en fauteil a qui on met un bâton dans la roue et qui s'exclame "il ont bientôt finit de nous mettre des bâtons dans les roues !"Gautier CHARLEMEIN, délégué Régional Jeunes radicaux de Gauche (JRG) ont fait savoir dans un communiqué exprimé leur totalement opposition à l'adoption par le Parlement de la proposition de loi du sénateur des Pyrénées-Orientales UMP Paul BLANC, qui permet d'assouplir une des exigences de la « Loi Handicap » du 11 février 2005 : l'accessibilité à 100 % des bâtiments neufs aux personnes handicapées.

En effet, deux articles de celle-ci prévoient la possibilité de « mesures de substitution » en cas « d'impossibilité technique due à l'implantation du bâtiment » ou de « l'activité qu'il accueille ». « Dans les cinq ans à venir, pas un seul jour ne se passera sans que le gouvernement travaille au service des personnes ayant un handicap, des personnes fragiles et de leurs familles »

Gautier CHARLEMEIN, qui rappelé a ce titre les propos, du Président de la République qui avait lors de la première Conférence nationale du Handicap en juin 2008, « donner espoir au plus grand nombre, mais à des fins bien évidemment électoralistes, car comme pour les autres domaines, les promesses initiales n'ont pas été tenues » souligne-t-il. Rappelant que la France qui ratifié la Convention relative aux droits des personnes handicapées entrés en vigueur en mai 2008, « s'apprête à reclasser les personnes en situation de handicap en de véritables citoyens de seconde zone ».

Pour les jeunes radicaux de gauche, depuis 2007, les acquis de la « Loi Handicap » sont détricotés méthodiquement par le Gouvernement, dans le domaine de l'Éducation nationale comme de l'emploi, dans l'accessibilité des lieux publics comme dans celui de la santé et de la protection sociale. Ces derniers regrettent l'incapacité des pouvoirs publics à penser le handicap comme un atout pour la transformation d'une société où les personnes fragilisées sont sacrifiées sur l'autel de la « rigueur », plutôt que de leur proposer les conditions d'une vie digne et autonome.

La Rédaction

HANDI POP, réclame que des mandats d’élus soient réservés aux personnes en situation de handicap.

Elus et Echarpe tricoloreAlors que les Femmes ne représentent que 17 % a l’Assemblée nationale et environ 22 % au Sénat, celle-ci sont encore moins bien représenté dans les mandats locaux ou tous confondus elle n’atteigne à peine que 0,1 %. L’association Handi Pop rattachée à l’UMP demande que les personnes handicapées qui représente 10 % de la population ne soient plus exclus de la vie politique un chiffre qui serait de 0,01 % selon l’association. Une proposition alléchante, mais qui sans nul doute nous rappelle que l’élection présidentielle a déjà commencée ainsi que des législatives.

Pourquoi attendre en effet la fin du premier du Président Nicolas Sarkosy ? Une revendication qui était présentée a plusieurs reprises par les associations ou encore par le Comité des démocrates handicapé et pour lequel aucun candidat de gauche ou de droite n’a jamais prêté attention !!! Pour Handi Pop, « les autorités politiques ont imposé en février 2005 aux entreprises de recruter au moins 6 % de personnes en situation de handicap. Ce quota n’est malheureusement pas respecté. Néanmoins, il y a une volonté affichée d’y aboutir. Mais pourquoi alors les partis politiques si prompts à sommer les représentants de la vie économique à avoir un comportement vertueux, eux-mêmes ne font absolument rien pour impliquer ces personnes en situation de handicap dans le débat et dans la vie politique ».

L’association qui évoque l’importance des problèmes liés au handicap et ceux dans tous les champs de la société et de l’activité humaine. Insistant sur celle de la diversité dans chacun des secteurs. Seule certitude pour celle-ci qui constate elle a ce jour qu’aucun ministre, ni secrétaire d’État n’est en situation de handicap, aucun député, aucun des 200 secrétaires nationaux de l’UMP.

La conférence nationale du handicap et pour le mouvement rattaché à l’UMP de réclamé la mise en œuvre immédiate de mesures politiques qui imposent à l’instar de ce qui se passe dans les entreprises, 6 % de candidats lors des élections législatives et locales en situation de handicap, en leur réservant aussi des mandats d’élus. Une façon il vrai évidente de lutter contre toute forme de discrimination. Pour le Président de Handi Pop, « Nous allons mener une campagne sans concession sur ce thème qui est primordial, explique Fréderic Bouscarle, président de HANDI POP’, le mouvement associé à l’UMP qui fédère les personnes sensibilisées à la question du handicap. Le fait d’avoir des élus concernés changera le regard de la société sur ces personnes, permettra de faire progresser les besoins des personnes en situation de handicap, notamment en termes d’équipements publics », afin selon lui « de proposé a la rentrée septembre une proposition de loi dans ce sens ». Conclut-il.

Une proposition que nous ne manquerons pas de suivre, notamment à partir de septembre 2011, sur notre nouveau site ainsi que sur la chaine de WebTv qui vous proposera journal, reportage et interview…

Stéphane Lagoutière

Frédéric BOUSCARLE, de HANDI POP', dénonce le comportement du gouvernement sur l’accessibilité

Frederic BOUSCARLE, de HANDI POP' lors du Congres Fondateur des RepublicainsCinq jours après le vote au Sénat du projet de loi de l'ordonnance du 21 septembre 2014, défendu par le gouvernement et présenté dans le cadre d'une procédure d'urgence. Le président de HANDI POP', Frédéric BOUSCARLE, rattaché au désormais Mouvement « Les Républicains » à dénoncé dans un communiqué, la vision et le comportement de Mme la Secrétaire d'État en charge des personnes handicapées.

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