Mutualité Française : Engagé dans le débat politique des élections sur le thème de la santé
Débattre sur le système de santé, cela vous intéresse ? Organisé par la mutualité française, un cycle de conférences itinérantes a débuté ce mercredi 16 novembre à Beaune, en Côte-d'Or. Au total, neuf réunions publiques se dérouleront jusqu'en février 2012, s'inscrivant ainsi au cœur du débat présidentiel.
La plupart des régions françaises seront concernées. La santé faut-il le rappeler, est l'une des premières préoccupations des Français. Pour en parler, la mutualité organise en collaboration avec ses Unions régionales - des débats sur l'avenir du système de soins en France.
Le thème général qui a été retenu - Votresanté en 2012 : agissons pour rester solidaires - est une invitation directe à réfléchir autour des problématiques actuelles de prise en charge : amélioration de la prise en charge des patients, financement de l'assurance-maladie, mutuelle et complémentaire...
Le débat devrait être particulièrement large : les partis politiques, mais aussi les organisations syndicales, les associations et les particuliers : tous sont conviés à discuter d'un système de santé « plus juste, plus efficace et pérenne ».
Après ce premier débat, vous pouvez ci vous le souhaiter vous inscrire dans les 8 autres débats prévus, l'inscription est gratuite. Il suffit pour cela de se rendre sur le site de chacune des Unions mutualistes régionales, grâce aux liens ci-dessus.
Un débat essentiel alors que taxe supplémentaire et réduction des avantages sociaux liés à la santé ne cessent de réduire et que la prochaine loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) ne cesse de confirmer la crainte des Français et des associations, mais aussi des mutuelles dans ce domaine. Un sujet d'autant plus important quand ont sait la difficulté que rencontre les personnes handicapées qui ne peuvent ni prétendre a la CMU ni prétendre a l'aide complémentaire santé permettant d'apporter une aide financière a l'accès d'une mutuelle.
Prochain rendez dans les 8 huit régions
- Rennes : le mardi 22 novembre 2011, à l'initiative de la Mutualité française Bretagne
- Lyon : le vendredi 25 novembre 2011, avec la Mutualité française Rhône-Alpes
- Besançon : le lundi 28 novembre 2011, avec la Mutualité française Franche-Comté
- Toulouse : le mercredi 7 décembre 2011, avec la Mutualité française Midi-Pyrénées
- Lille : le mardi 13 décembre 2011, avec la Mutualité française Nord-Pas-de-Calais
- Marseille : le jeudi 19 janvier 2012, avec la Mutualité française PACA
- Bordeaux : le mercredi 1er février 2012, avec la Mutualité française Aquitaine
- Paris : le mercredi 8 février 2012, avec la Mutualité française Ile-de-France.
La Rédaction
François Hollande visite le café des signes autour de trois objectifs et de la réussite
Alors que le Film "les intouchables" ne cesse de progresser en nombre de visiteurs, le candidat socialiste à la présidentielle François Hollande est venu visiter le café François Hollande en visite au café des signes à Paris et disant merci en LSFSignes à Paris. Ce dernier affirmant que « le handicap peut devenir une réussite pour chacun ».
Un sujet pour lequel le candidat a exprimé trois objectifs essentiels qui sont l'accessibilité, l'emploi et l'éducation. Une visite effectuée en compagnie de la députée PS, Marisol TOURAINE, chargée dans son équipe de campagne d'une commission thématique sur « social, santé, personnes âgées, handicap ».
Ouvert, en 2003 à l'initiative de l'ESAT Jean Moulin, le café des sign est un établissement unique en son genre, géré et tenu en grande partie par des sourds-muets et au sein duquel sourds et entendants se côtoient de façon harmonieuse et respectueuse.
Lors de cette visite, le candidat à la présidence a notamment déclaré que « Le handicap peut devenir, s'il est mutualisé, une réussite pour chacun ». Jugeant qu'il y avait « encore beaucoup à faire pour atteindre les objectifs qui ont été fixés par la loi de 2005 » selon lesquelles les entreprises privées et les employeurs publics de plus de 20 salariés ont l'obligation d'employer 6% de personnes handicapées sous réserve de payer une contribution financière.
« La place de la personne handicapée, c'est à la fois un devoir et un atout », a ajouté le candidat soulignant que « le film "Intouchables" montre combien chacun a besoin de l'autre ». À la fin de sa visite, François Hollande a promis que « dans les moments les plus importants » de sa campagne présidentielle, il y aurait « toujours une traduction en langage des signes ». Ont peut-être se poser la question quel sont les moments les plus importants et pourquoi tout au long de celle-ci ?
Un discours en manque de proposition
De son côté Frédéric BOUSCARLE, secrétaire national de l'UMP en charge de l'insertion des personnes en situation de handicap, dénonce l'hypocrisie de M. HOLLANDE. il rappelle l'absence selon lui de Martine Aubry ni François HOLLANDE qui précise-t-il « n'ont fait de propositions en faveur des personnes en situation de handicap ! ». Assurant que lors des débats parlementaires de 2005, « François Hollande n'avait participé à aucun des débats parlementaires pour la mise en place de la loi allant jusqu'à voté contre ». L'UMP qui de son côté organise le 1er décembre prochain a l'initiative de Jean François COPÉ, un atelier sur le thème du handicap à l'occasion duquel seront présentées les propositions de l'UMP pour les prochaines présidentielles.
Stéphane LAGOUTIÉRE
Mesures ONDAM 2012 : le gouvernement souhaite instaurer un quatrième jour de carence
Alors que le projet de loi de financement initial de la sécurité sociale prévoyait de modifier le taux de remplacement des indemnités journalières (IJ), permettant ainsi une moindre dépense de 220 M€. Celle-ci progressant à un rythme de plus en plus élevé, mais aussi parfois discutable représentant 6,6 Md€, le gouvernement a étudié des mesures alternatives permettant une économie équivalente.
En accord avec les parlementaires de la majorité, Xavier BERTRAND, ministre du Travail, de l'emploi et de la santé, Valérie PECRESSE, ministre du Budget, des comptes publics et de la réforme de l'État, et François SAUVADET, ministre de la Fonction publique, propose deux solutions.
La première consistant à l'instauration d'un quatrième jour de délai de carence dans le secteur privé.Cette mesure réglementaire, qui représente une économie de 220 M€, vise à responsabiliser davantage les assurés pour garantir un recours justifié aux arrêts de travail. La seconde et par souci selon le gouvernement « d'équité », l'institution d'un jour de carence dans les trois fonctions publiques.
Le ministre Xavier Bertrand ayant fait savoir aussi son attention à mettre en œuvre une série de mesures afin de mieux contrôler les arrêts de travail, de courte et de longue durée.
Une mesure dont plusieurs députés, mais de la majorité du sénat désormais à gauche ont immédiatement fustigé cette mesure, au motif qu'elle actait des différences entre salariés du privé et du public. Pour les associations et les syndicats de salariés du secteur privé, cette mesure demeure injuste, créant un nouveau fossé entre le secteur public et privé.
La Rédaction
Marie-Anne MONTCHAMP, en visite dans le Morbiban sous le thème de la santé mentale
Inauguration, visite d'exposition, la secrétaire d'État aux Solidarités et à la Cohésion sociale, Marie-Anne Montchamp, était le 4 novembre dernier à Vannes et à Billier sur La secrétaire d'État aux Solidarités et à la Cohésion sociale, Marie-Anne MONTCHAMP, était en visite le 4 novembre dernier au centre de postcure et de réadaptation de Billiers dans le Morbihan. avec à sa droite François GOULARD, président du conseil général et le président du CPRB, Joseph RIO © S.L.B.invitation président du Conseil Général. Un peu plus deux heures, où celle-ci a rencontré les professionnels de la santé mentale et des représentants de malades psychiques et les élus locaux. Une rencontre qui a lieu alors même le gouvernement prévoit une nouvelle édition d'un plan de santé mentale en cours d'élaboration.
Une visite ou la secrétaire aura après un point presse en présence de François Goulard, Président du Conseil Général. Cette dernière s'est ensuite rendue à Billiers accueillie par le président du CPRB, le président de la mutualité sociale agricole et de divers parlementaires et élu ont procédé à l'inauguration des deux pavillons d'hébergement qui ont été entièrement reconstruits.
« Le centre de Billiers est un lieu où souffle l'esprit de l'audace de la psychologie française, impulsée par le psychiatre Paul Savidon qui a participé à la création du centre. Il a été l'un des premiers à croire que les personnes atteintes de troubles psychiques graves pouvaient s'insérer, et à croire que la vie à l'hôpital n'est pas un but en soi. Il faut, en effet, que le soin se conjugue avec la vie », a indiqué Marie-Anne Montchamp.
La Secrétaire d'État poursuivra sa visite du Centre de postcure et réadaptation, le domaine de Prières de la mutuelle sociale agricole qui, depuis 50 ans, soigne en accompagnant les malades mentaux dans un parcours de réadaptation socioprofessionnelle.
Le centre accueille 145 personnes qui sont mises en situation professionnelle dans les domaines de l'agriculture, l'horticulture, la technique et l'hôtellerie-restauration. Parallèlement, les mises en situation sociale concernent l'acquisition de l'autonomie dans la vie quotidienne. La Secrétaire d'État, cette dernière, aura pris le temps de visiter une exposition intitulée « 50 ans » réalisés par le CPRB. Une journée que la SecrétaireLa secrétaire d'État aux Solidarités a visité dans l'après-midi le domaine de Prières à Billiers, un centre de soins de postcure psychiatrique © S.L.B. d'État terminera ce journée avant de repartir à Paris, avec les militants UMP du département pour une discussion sur ce sujet au conseil général du Morbihan.
Un nouveau plan d'ici à la fin de l'année
La secrétaire d'État a expliqué hier qu'avant la fin de l'année, la nouvelle édition d'un plan de santé mentale va être élaborée. « L'objectif est de prendre le contre-pied des pratiques habituelles en remettant à sa juste place le côté médical et sanitaire. L'objectif est de travailler sur la prévention, de lutter contre la stigmatisation, de mettre en œuvre des structures médico-sociales et de faciliter l'accès aux soins ». À l'issue de sa visite du centre, Marie-Anne Montchamp a souligné qu'« une des approches pertinentes est celle de la réadaptation. C'est celle que je porte au gouvernement et que je veillerai à intégrer dans le plan santé mentale. Car le soin ne fait pas tout et ne se suffit pas à lui-même. Je veillerai donc à ce que votre expérience trouve sa juste place dans le nouveau plan. Cela doit aussi aider à sortir de la discrimination ».
La Rédaction
Citoyens handicapés : aux urnes ? Le CDH appel à une prise de conscience !
Avec les élections présidentielles qui auront lieu dans quelques mois, les politiques, toutes tendances confondues, savent qu'il faudra compter avec les 12 millions de personnes en situation de handicap et leurs familles. Un électorat qui selon Jean Louis Fontaine Président du CDH, et « peut manifester son mécontentement et son désarroi, comme faire payer cher la précarité dans laquelle beaucoup se trouvent aujourd'hui ».
Assistons-nous au commencement du « bal des promesses », comme souvent en ces périodes ? se demande J.L Fontaine, il vrai reconnait-il « que flatter cet électorat quelques semaines n'engage à rien.... à condition de tenir ses promesses ». Des promesses de 2007 qui n'auront été au mieux que partiellement tenu et la crise économique et certes bien réelle, les déficits sont eux effectivement bien présents, mais doivent pourtant autant mettre en danger le maintient de notre politique sociale.
« Plus que d'autres, les personnes handicapées ou les personnes âgées, supportent très mal de n'intéresser certains qu'à l'occasion des élections. Comme beaucoup de citoyens, elles sauront faire la différence entre la réelle volonté de prendre en compte leur situation et le cynisme électoraliste ». Constate le président du CDH.
Ont ne peut que constater d'un coté un président de la République qui tente par tous les moyens de rassurer les associations, notamment sur les questions d'accessibilités, Nicolas Sarkozy qui avait dans un communiqué réaffirmé « l'intangibilité de l'objectif de la loi de 2005 et demandé au gouvernement de refuser toute dérogation nouvelle à cet objectif ou encore l'annonce de recrutement supplémentaire parmi dans les AVS ».
Qui a ce jour seul deux tiers sur les 2000 annoncés ont était embauché.
Et de l'autre un parti socialiste, qui vient à peine de terminer ses primaires et dans lequel les questions de handicap auront était totalement oubliés voire même écarter, a l'exception peut être de dix secondes par F.Hollande faisant référence a la politique de l'éducation.
Le questionnaire envoyé a ce titre par le CDH leur posant cinq questions : sur l'éducation, la perte d'autonomie et l'emploi. Un document qui n'aura reçu qu'une attention pour le moins réduite avec pour seule réponse seule adressée par Martine Aubry ou encore Segoléne Royal.
Au regard de ce constat, le CDH semble lui appeler les citoyens concernés par les questions liées au handicap ou en situation de handicap eux-mêmes de prendre leurs destins en main et de faire cette fois pression sur des candidats dont il faut espérer qu'ils n'auront pas cette foi pas que la parole facile, mais aussi de prendre conscience des engagements....
Un vote et comme un crédit un jour il faut rembourser ses dettes !
Stéphane Lagoutiére
Le Sénat durcie la loi sur le médicament et vote l’action de groupe pour les victimes
Les Sénateurs de gauche et centriste ont approuvé le projet de loi sur le médicament après l’avoir sérieusement amendé. L’UMP, s’abstiendra estimant ce dernier « déséquilibré » par rapport a la version de l’assemblée. C’est désormais en commission paritaire que Sénateur et député vont essayer de se mettre d’accord.
Dans tous les cas, les derniers mots reviendront à l’Assemblée nationale, reste à savoir si son vote saura celui du pouvoir financier ou de celle des victimes.
Proposé quelques jours après le scandale du Médiator, ce projet de loi est destiné à empêcher de nouveaux scandales sanitaires de telle ampleur. Il oblige les responsables et experts d’autorités sanitaires à déposer et à actualiser une déclaration publique d’intérêts pour signifier leurs liens avec l’industrie pharmaceutique dans les cinq dernières années. Ils ne pourront siéger dans les instances dont ils sont membres lorsque le débat portera sur les entreprises avec lesquelles ils sont liés.
Parmi les principaux amendements, déposés par la toute nouvelle majorité de gauche, sont l’interdiction de tout lien d’intérêt à quatre dirigeants d’organismes de la santé : la Haute Autorité de santé, l’Agence de sécurité sanitaire, l’Institut de la recherche médicale et l’Institut national du cancer. Les sénateurs n’étant pas allés jusqu’à interdire tout lien d’intérêt aux experts. Le Sénat a aussi voté un renforcement des pouvoirs de l’agence chargée de contrôler les médicaments. Elle pourra demander à l’industrie pharmaceutique de mener des essais comparatifs pour montrer l’amélioration d’un nouveau médicament par rapport à une spécialité existante.
Des Sénateurs qui ont approuvé une disposition, déjà votée à l'Assemblée, protégeant de toute sanction ou discrimination, en particulier de la part de l'employeur, un professionnel de santé qui alerterait les autorités sanitaires sur la nocivité d'un médicament.
Désaccord aussi sur l’appellation le nom de cette agence, qui remplacera l'Afssaps, très critiquée pour sa passivité dans le scandale du Mediator. M. Bertrand veut la nommer Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm) et les sénateurs préfèrent l'appeler Agence française de sécurité des produits de santé (Afseps). Mais il ont surtout ajouté un amendement prévoyant la présence des usagers et qu’ils soient représentés au conseil d'administration de l'agence que par des associations sans lien avec l'industrie pharmaceutique, et que les associations de victimes d'accidents médicamenteux y siègent.
Enfin, le Sénat a demandé au gouvernement - ou à celui qui lui succèdera après la présidentielle - de lui remettre avant début 2013 un rapport sur l'avenir des 18.000 visiteurs médicaux, accusés de confondre information des médecins et promotion des médicaments, et dont les effectifs ne cessent de baisser.
La FNATH satisfaite, mais prudente…
Présente depuis longtemps aux cotés des victimes de nombreux scandale sanitaires ou industrielles, l’association se dit ravi de la décision du vote autorisant les associations de victimes d’un médicament nocif à mener en justice une action de groupe qui est courant aux États-Unis, mais n’existe pas en France. Une mesure dont l’association rappel qu’elle avait proposé dans un document adressé à l’ensemble des parlementaires. La FNATH qui se montre prudente et qui espère que cette disposition « sera maintenue par la commission mixte, car il s’agit d’une mesure régulièrement annoncée et tout aussi régulièrement enterrée ».
Un besoin essentiel, pour des victimes dont chacun connait leurs isolements, les grands scandales comme le sang contaminé, l’amiante ou la récente affaire du médiator prouve combien celle-ci son bien seule face la puissance économique et judiciaire des groupes industriels. Un choix qui si il confirmer par les députés, devrait éviter à la fois a ses victimes déjà atteintes psychologiquement ou physiquement et a leurs familles de subir un véritable parcours du combattant.
L’introduction d’une telle action de groupe selon l’association « devrait permettre aux victimes du médicament d’obtenir une indemnisation rapide et directe auprès du responsable sans attendre 10 ou 15 années de procédure ou la constitution d’un énième fonds d’indemnisation dont le financement, au final, est le plus souvent assuré par les deniers publics ».
Les CISS expose ses craintes faces des plusieurs dispositions
A noté que quelque jours auparavant les Collectif inter-associatif sur la santé avait adréssée lui aussi une lettre ouverte au sénateur, dans lequel il demande au sénateur si cette loi est vraiement destinée a protégée les patients. Le CISS avait ainsi demandé de document la problème de trois dispositions. Premierement sur les reconnaissances temporaires d’utilisation (RTU), puis autorisations temporaires d’utilisation (ATU). Enfin l’interdiction de siéger au conseil de l’Agence française de sécurité des produits de santé (AFSPS) opposée aux associations d’usagers agréées qui ont reçu la moindre subvention ou quelque avantage des entreprises produisant ou commercialisant des produits de santé. Des points que n’auront que partiellement prise en compte les sénateurs.
La Rédaction
« 2011, Année des patients et de leurs droits » oui sans le handicap au CHU de Toulouse
Certitude selon Odile Maurin, Présidente du d’Handi-Social et représentante du GIHP Midi-Pyrénées, la conférence qualité du CHU de Toulouse sera interdite d’accès aux personnes handicapées. Conséquence imprévus selon la direction, reste que les activités du groupe de travail sur le handicap et toujours en sommeil depuis 5 ans. Un imprévu qui dure depuis bien trop longtemps. Dans un communiqué Odile Maurin tient à préciser qu’à défaut « d’être soignés, en tenant compte de leurs difficultés particulières, et respectées, les patients en situation de handicap ont de quoi s’occuper avec le CHU de Toulouse ! ».