La Lutte contre la propagation du virus VIH après son apparition dans les années 1980 et plus de 36 millions de morts jusqu'à ce jour. La naissance d’un traitement préventif semble entrer dans une phase nouvelle et qui permettrait désormais à une personne séronégative d'éviter la contamination. Une annonce faite par l’ANRS le 29 octobre dernier et saluée par la secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, Geneviève FIORASO. Après l'essai PROUD mené en Grande Bretagne, c'est au tour de l'essai français IPERGAY, mené par l'Agence Nationale de Recherche sur le sida (ANRS).
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Une étude pubié initialement le 5 juin dernier a annoncés que des scientifiques néerlandais montrent comment les rayons ultraviolets et un supplément de vitamine D affectent la croissance du cancer colorectal chez les souris. Un cancer qui en France concernant plus de 000 000 personnes et pour lequel les vacances et le soleil si ils sont indispensable ne doivent pas nous faire oublier certaine regles éssentielle de vigilence. Une étude démontrent qu'une haute teneur en vitamine D et des niveaux ambiants d'ultraviolets sont communément associés à une mortalité plus faible du cancer colorectal, un groupe de scientifiques de l'Université de Leiden, aux Pays-Bas, a étudié chez les souris s'il pouvait s'agir d'une relation de cause à effet.
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Alors que les chiffres du mois d'avril seront connus dans quelques jours et ne présagent rien de bon, l'OCDE annonce un retour vers la stabilisation du chômage avec un taux de 7,5 % en mars soit 45.9 millions de personnes étaient au chômage dans la zone OCDE, 4.0 millions de moins que lors du pic d'avril 2010, mais toujours 11.3 millions de plus qu'en juillet 2008 avant le départ de la crise mondiale.
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Selon l'OMS, la sédentarité serait le 4e facteur de risque de décès dans le monde et la cause principale de 21 à 25 % des cancers du sein ou du côlon et de 27 % des cas de diabète. Aujourd'hui le développement des smartphones et la miniaturisation des capteurs permettent de mesurer un certain nombre de paramètres vitaux révélateurs de notre état global (poids, activité physique, nutrition, sommeil, etc.).
En maîtrisant soi-même certaines mesures simples au quotidien (nombre de pas, nombre de calories brûlées, nombre de kilomètres parcourus) à l'aide d'outils accessibles, nous pouvons améliorer nos propres ressources et notre capital santé. IDS Santé, société spécialisée depuis 20 ans dans les domaines de la prévention, de l'éducation santé et de la communication médecins patients lance l'opération mysantemobile.fr sous le haut patronage du Ministère délégué chargé des PME, de l'Innovation et de l'Economie numérique dans 4 grandes villes françaises : Bordeaux, Lille, Lyon et Montpellier.
Ce sont ainsi 1000 volontaires qui seront équipés chacun d'un coach électronique intelligent qui mesurera et suivra leur activité physique pendant six mois. Une opération dont le calendrier, commencera le 15 mai avec notamment recrutement des candidats dans quatre villes (Bordeaux, Lille, Lyon et Montpellier) et leur équipement d'un coach électronique miniaturisé qui mesurera en temps réel son activité physique. Parallèlement, les données enregistrées seront alors recueillies via le smartphone de chacun des participants pendant six mois avec l'analyse des teste et la publication des résultats nationaux prévus en en décembre 2013.L'agrégation des données « anonymisées » recueillies sur les 1000 volontaires permettra de suivre en direct et pour chaque ville le nombre de pas, le nombre de calories brûlées et le nombre de kilomètres effectués. Il sera alors possible de savoir en un temps T, si l'on marche plus à Bordeaux qu'à Lille. Une expérience à laquelle Frédéric FAURENNES Président d'IDS Santé a répondu plus précisément dans une interview (v.rubrique interview).
Pour en savoir plus et vous inscrire dans votre ville (Bordeaux, Lille, Lyon et Montpellier) vous pouvez vous rendre sur le site de l'opération.
La Rédaction
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Organisé avec la participation de l'hôpital Saint Jean de Dieu de Lyon le Réseau-Lucioles ceux-ci invite parents et les professionnels à participer a travers une étude sur la douleur au sein des personnes en situation de handicap mental sévère. L'objectif étant de mettre en évidence les difficultés de la prise en charge de la douleur dans les établissements médico-sociaux pour proposer des solutions pour améliorer la situation. Une étude menée sous la direction du Dr Katell LE SAOUT, médecin généraliste dont la thèse de doctorat porte sur cette étude.
Une étude en deux temps qui après l'enquête lancée auprès des familles dont un des membres est atteint d'un "handicap mental sévère". La seconde partie de l'étude consistera elle a des des entretiens seront conduits dans les établissements et services médico-sociaux accompagnant des personnes ayant un handicap mental sévère (IME, Foyers de vie, FAM, MAS, Sessad, Samsah...).
Handicap mental "sévère", de qui parlons-nous ?
Au nombre de 45 000 environ selon des chiffres de la DRESS, ont distingue celle-ci par la présence d'un handicap a la fois intellectuel et moteur. Des personnes qui n'ont pas accès a la parole ou s'expriment difficilement leurs besoins qui rend souvent pour leur entourage la difficulté d'être certain d'avoir répondu à leurs attentes. La plupart des actes de leur vie quotidienne comme manger, s'habiller, communiquer, jouer, ... parfois même marcher nécessitent l'aide d'un accompagnant permanent. Alors quand il s'agit de comprendre ou d'agir sur la douleur devient souvent difficile. Comment connaître celle-ci quant le repérage, le diagnostic puis la prise en charge de cette douleur, qu'elle soit physique ou psychologique, laissent trop souvent les aidants démunis. Pour faire progresser la connaissance sur le sujet et la partager, nous souhaitons faire un état des lieux et mieux comprendre comment les familles et les professionnels des établissements vivent et gèrent les problèmes de douleur des personnes qu'ils accompagnent.
Comment participer ?
Pour répondre a cet enquête, vous devrez vous inscrire sur le site du Réseau-Lucioles en remplissant le formulaire de consentement en ligne en le téléchargeant ou par courrier. Suite a quoi dans le cas d'une demande en ligne un e.mail vous sera alors adresser sur lequel il vous suffira de cliquer pour accéder au questionnaire. Vous aurez bien sûr dans ce cas la possibilité d'imprimer le questionnaire rempli pour en garder un exemplaire chez vous.
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Le Sommet Mondial pour l'Innovation dans l'Education) vient d'aannoncé les gagnants de la quatrième édition des WISE Awards, dont le thème « Transforming Education » (« Donner un nouveau souffle à l'éducation ») illustre la volonté de récompenser des projets pour leur capacité à transformer l'éducation et la société. Pour la quatrième année consécutive, les WISE Awards identifient et promeuvent des projets éducatifs innovants du monde entier, afin d'inspirer tous ceux qui souhaitent contribuer à l'éducation de demain. Les initiatives primées ont été sélectionnées en raison de leur impact réel sur la société; elles bénéficieront d'une visibilité considérable et recevront un prix de $20.000 (US) chacune.
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Étudié depuis quelques années, la réponse pourrait se relever positive si l'on en croit une étude européenne au sein d'une équipe allemande et suisse* dirigée notamment par Anita RAUCH, Gudrun RAPPOLD, Evelin SCHRÖCK, Peter WIEACKER. Ces derniers viennent de publier dans la revue "The Lancet" cette étude qui démontrait que plus de la moitié, des maladies mentales graves d'origine génétique sont causées par des mutations aléatoires, et non héréditaires.
Des chercheurs qui ont pour cette étude ont ainsi retenu le profil ADN de 51 enfants ayant une déficience intellectuelle et à leurs parents de dix centres en Allemagne et en Suisse et d'un groupe témoin. Selon les conclusions aucun élément ne prouvait que les parents fussent porteurs de gènes défectueux responsables de ce handicap. "Le risque moyen d'avoir un autre enfant porteur de la même maladie est habituellement estimé à 8 %, mais si nous savons qu'elle a été causée par une mutation aléatoire, le risque chute fortement", commente Anita RAUCH de l'institut de génétique médicale de Zurich.
Une étude qui aurait pour conséquence directe de redonner espoir à bon nombre de parents d'enfants nés avec un grave retard mental et qui s'inquiètent d'avoir un autre bébé atteint ou encore ceux qui sont nés, dont l'un ou les deux parents sont atteints.
Une étude qui demande à être confirmée
Pour Hans-Hilger ROPERS, directeur de l'Institut de génétique moléculaire à Berlin affirme selon lui que cette étude, à laquelle il n'a pas participé, pourrait être biaisée par le choix des profils retenus pour l'étude. Ainsi, il reproche notamment à celle-ci d'avoir exclu les enfants dont le père et la mère possèdent des liens de sang. Il estime qu'une enquête plus large, incluant des régions du monde où les unions au sein d'une même famille sont plus courantes, pourrait produire des résultats différents.
Il ajoute cependant que « l'étude offre une explication à la stabilité du nombre d'enfants atteints d'un retard mental, à 2% du total des naissances. Si la plupart de ces maladies étaient héréditaires, leur fréquence devrait baisser car les personnes atteintes sont moins susceptibles d'avoir des enfants. Comme il n'existe aucune preuve que ce soit le cas, la diminution du nombre d'anomalies génétiques doit être compensée par de nouvelles mutations », conclut le Dr ROPERS.
La Rédaction
* Liste complètes des chercheurs impliqués dans cette étude: Prof Anita RAUCH, Dagmar WIECZOREK, Élisabeth GRAF, Thomas WIELAND, Sabine ENDELE, Thomas SCHWARZMAYR, Beate ALBRECHT, Deborah BARTHOLDI, Jasmin BEYGO, Nataliya Di DONATO, Andreas DUFKE, Kirsten CREMER, Maja HEMPEL, Denise HORN, Juliane HOYER, Pascal JOSET, Albrecht RÖPKE, Ute MOOG, Angelika RIESS, Christian T THIEL, Andreas TZSCHACH, Antje WIESENER, Eva WOHLLEBER, Christiane ZWEIER, Arif B EKICI, Alexander M ZINK, Andreas RUMP, Christa MEISINGER, Harald GRALLERT, Heinrich Sticht PhD p, Annette SCHENCK PhD q, Hartmut ENGELS PhD m, Prof Gudrun RAPPOLD, Prof Evelin SCHRÖCK, Prof Peter WIEACKER, Prof Olaf RIESS, Prof Thomas MEITINGER, Prof André REIS, Dr Tim M STROM.
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