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Argus II implant oculaire stimulant artificiellement la retine deficienteUn retraité britannique de 80 ans souffrant de dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) a bénéficié de l'implantation « réussie » d'un « oeil bionique » posé à même la rétine, a annoncé mercredi l'équipe médicale de l'hôpital de Manchester qui a pratiqué l'opération. Une maladie qui concerne aujourd'hui plus de 30 millions de personnes dans le monde se cout reste son principale obstacle pour les reste de ces patients potentiel bien que Marisol TOURAINE est autorisé le « forfait innovation », au titre de l'article 165-1-1 du code de la sécurité sociale.

Interprete dans la poche innovation telephonique DEAFIDaefi n'en finit plus d'innover. Le premier centre de relation clientèle au monde dédié aux déficients auditifs lance à la rentrée 2015 une innovation inédite baptisée « Interprète dans la poche » (IDLP). Avec 5 à 6 millions de personnes sourdes et malentendantes en France, Deafi voulait trouver une solution adéquate à leur handicap. Car aujourd'hui, c'est compliqué pour eux de se faire comprendre du monde des entendants. C'est pour cette raison que Daefi a mis au point une toute nouvelle innovation technologique : « Interprète dans la poche » afin de changer le quotidien des personnes souffrant d'une déficience auditive.

Siege pivotant pour automobile du fabricant suedois AutoadaptLe fabricant suédois de solutions d'adaptation de véhicules, Autoadapt, présente ce 8 juillet 2015 deux nouveaux sièges pivotants qui seront commercialisés par Autoadapt dans le courant de l'année.  La façon la plus sûre de voyager dans un véhicule est d'être assis dans un siège de voiture en bouclant sa ceinture. Pour les personnes en fauteuil roulant, il existe une solution : le siège pivotant. Le Turny Evo, reste identique mais quelques améliorations majeures en matière de confort, de facilité d'utilisation, d'installation, ont été apportées afin de renforcer la sécurité des personnes handicapées.

Canne Blanche Electronique un projet de la Fondation VisioLorsqu’on est aveugle ou malvoyant, on a toujours peur de tomber. Lorsqu’on a une canne blanche traditionnelle, on peut éviter les obstacles mais la chute reste possible. Grâce à cette canne électronique qui détecte les obstacles, les personnes non-voyantes et malvoyantes n’auront plus peur de se déplacer.

Nicolas VIMONT-VICARY, aveugle et champion du monde handivoile en équipages, a testé ce nouveau concept. Malgré quelques difficultés, il a tout de suite adopté cette canne électronique. Mais le coût de cette innovation s’élève à 5000 euros. La Fondation Visio et sa société Visioptronic, qui développe ce projet, rappellent que cette canne est mis gracieusement à la disposition des personnes aveugles et malvoyantes.

La France compte 3,1 millions de personnes déficientes visuelles dont 70 000 sont aveugles. En revanche 10 000 personnes non-voyantes ou souffrant d’une malvoyante sévère utilisent une canne blanche traditionnelle. Environ 1% sont accompagnés d’un chien guide et moins de 200 personnes utilisent cette canne électronique qui apparait comme la meilleure solution d’autonomie pour les personnes aveugles et malvoyantes.

 

Créée en 2011, la Fondation Visio, reconnue d’utilité p ublique, est une émanation de l’Association les des chiens guides d’aveugles de l’Ouest (Acgao). Son action consiste à lutter contre les maladies cécitantes et à développer de nouvelles technologies pour renforcer l’autonomie des personnes déficientes visuelles. C’est pour cette raison qu’elle a lancé la canne blanche électronique. De ce fait, Nicolas VIMONT-VICARY; non-voyant et champion du monde en handivoile en équipages, a donc testé ce nouveau concept.  

 

Nicolas VIMONT-VICARY

« L’important est que, déjà au bout de mes doigts, ces vibrations positives soufflent en moi un vent de liberté ». 

 

Mais au début, il a mis du temps pour s’adapter à cette nouvelle canne. « Les premiers coups de barre, pardon de canne électronique, étaient un peu anarchiques comme un marin débutant. Rapidement, j’ai affiné mon toucher avec peu de balayages. je me suis mis à jouer avec l’obstacle comme on joue avec le vent », a expliqué Nicolas VINCENT-VICARY, dans un communiqué.

 

Avant de poursuivre : « Je ne m’attendais pas, lors de ma première expérience avec la canne électronique, a faire autant appel à mon sens marin. Après une présentation de l’appareil Tom Pouce 3 par instructrice en charge de la formation aux aides électroniques, nous sommes partis en navigation urbaine. Mon instructive avait choisi un parcours assez dégagé me demandant d’anticiper les obstacles loin avec la détection à six mètres. Ainsi, j’ai eu un sentiment de glisse comme sur mon bateau avec des trajectoires bien plus fluides qu’à l’habitude. L’important est que, déjà au bout de mes doigts, ces vibrations positives soufflent en moi un vent de liberté ».

 

Un coût global de 5000 euros financé à 100% par des donateurs et des mécènes

 

Même si ce bijou de technologie est une vraie avancée, il a tout de même un coût. À l’heure actuelle, le prix global de cette canne s’élève à 5000 euros pour offrir l’autonomie et la mobilité au quotidien. Un montant qui comprend la mise à disposition gracieusement de la canne, la fabrication du matériel, un bilan locomotion, la formation du bénéficiaire afin qu’il puisse se familiariser avec la canne ainsi que le suivi et la maintenance durant sept ans. Mais cette somme est financée à 100% par les donateurs et mécènes. 

 

Rappelons qu’en 2014, la Fondation Visio et sa société Visioptronic avaient produit une cinquantaine de cannes blanches électroniques. Cette année, elle compte quadrupler sa production afin d’équiper 200 personnes déficientes visuelles supplémentaires. Grâce à cette canne électronique, qui est au service de l’autonomie, les personnes aveugles et malvoyantes n’auront  plus aucun problèmes pour se déplacer.

La Rédaction

Institut Imagine ou se situe le nouveau centre de recherche et developpement sur les maladies raresC'est en présence de nombreuse personnalité de premier plan parmi lesquelles, la ministre de la santé, Marisol TOURAINE, Thierry Mandon, désormais secrétaire d'État à la Recherche. Entouré du directeur général de l'Assistance publique Hôpitaux de Paris, Martin HIRSCH, et le PDG de l'INSERM, Yves LEVY qu'a été inaugurée hier à Paris avec son propriétaire, le groupe américain de biotechnologies Alexion Pharmaceuticals, au sein de l'Institut Imagine. Une structure de recherche et de développement sur les maladies rares, pour lequel devrait être embauché, une vingtaine de scientifiques.En France, chaque année environ 30 000 nouveau-nés sont porteurs d'une maladie rare.

Un centre de recherche qui sera dirigé par Jean-Philippe ANNEREAU, un polytechnicien issu du centre de recherche et développement Pierre Fabre, de Toulouse. L'une de ses principales missions consistera à faire le lien entre la firme et la recherche académique française.

La France moteur de la recherche ?

La ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol TOURAINE, qui a salué aujourd'hui « une preuve tangible, concrète, de l'attractivité de la France », et a apporté « tout (son) soutien » à cette initiative qui bénéficiera d'une « participation pleine et entière de l'AP-HP et de l'INSERM », a-t-elle ajouté. Et de précise que « Relever le défi de l'innovation en santé est (...) un enjeu de santé publique, de sécurité et d'indépendance sanitaires », a affirmé la ministre.

Une indépendance qui malgré une « réelle passion pour les maladies rares en France », explique le vice-président d'Alexion, Martin MACKAY, en charge de la recherche et du développement. La France dont le réseau de centres experts français à fourni le plus de patients à la firme, dans le cadre de la mise au point l'éculizumab dans l'indication de l'hémoglobinurie nocturne paroxystique (HNP) et du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHU), « c'est le réseau de centres experts français qui ont fourni le plus de patients à la firme ».

Un réseau qui néanmoins manque cruellement de moyen financier pour rivaliser avec ces concurrents. Alors même que les Français dans se domaine par leur générosité comme a l'occasion du téléthon n'ont eu de ces de faire progressé ces investissements. Des moyens financiers de fonctionnement de cette nouvelle structure, dont le groupe a refusé de divulguer le budget. Martin MACKAY ayant simplement précisé qu'il s'agit d'un « investissement significatif » pour l'entreprise.

Vers une nouvelle coopération

« Il s'agit du moment idéal pour étendre nos initiatives de recherche en France », aura lui déclaré le PDG d'Alexion, David HALLAL, cité dans un communiqué. Le Groupe qui a annoncé également son intention de Marisol TOURAINE a l inauguration du centre Imagine a Paris le 23 juinnouer une collaboration de recherche avec le service Hématologie Greffe de l'Hôpital Saint-Louis (AP-HP) pour étudier des stratégies thérapeutiques contre la réaction du greffon et l'insuffisance de la moelle osseuse.

Un nouveau de centre recherche parisien qui fonctionnera en coopération avec les deux structures déjà existantes, aux États-Unis, où la firme emploie déjà 400 chercheurs, situés à Cheshire (Connecticut) et sur le campus de Cambridge, à Boston. « Aux États-Unis, nous avons des gens qui sont très compétents et les outils pour tout ce qui concerne le screening de molécules ou le développement d'anticorps monoclonaux ou d'ARN messagers », explique le vice-président Martin MACKAY, « ils vont s'appuyer sur la recherche sur les mécanismes physiopathologiques effectuée à Paris. C'est également à Paris que ces traitements subiront leurs premières expérimentations ».

En attente de projet de recherche...

Si aucun projet de recherche n'est encore fixé, le groupe compte passer en revue les maladies rares pour lesquelles de fortes expertises existent en France. Le laboratoire parisien contribuera cependant à la trentaine de programmes de recherche et de développement que l'entreprise a déjà lancés. Les molécules les plus avancées dans leur pipeline sont l'asfotase-alfa, dans l'indication de l'hypophosphatasie (un déficit héréditaire de la minéralisation osseuse) et la sebelipase-alfa, dans celle de la maladie de Wolman.

Stéphane LAGOUTIÉRE

Main bioniques de Touch Bionics en train d ecrireTouch Bionics, un fournisseur spécialisé dans les technologies prothétiques de pointe, vient d'annoncé et présenté hier ce qui pourrait ressembler comme une avancée majeure dans sa gamme de mains bioniques i-limb lors du Congrès Mondial ISPO qui se déroule à Lyon, du 22 au 25 juin 2015. Une nouvelle main myoélectrique à commande révolutionnaire. Il s'agit de la première prothèse pouvant changer de position d'un simple geste.

Une main aux technologies innovante, ces points forts ? « Notre nouvelle main comprend des fonctionnalités inégalées, détaille Stevens LAN, PDG de cette entreprise située en Écosse, « Les personnes équipées d'i-imb peuvent utiliser rapidement les nombreuses prises disponibles en activant la fonction de contrôle de geste issu de la technologie i-mo intégré dans chaque prothèse », Souligne ce dernier dans un communiqué.

De nouveaux points forts !

Hormis il vrai un d'un design particulièrement réussi et de choisir facilement entre différentes prises en faisant un simple geste cette prothèse Le jeune Patrick Kane en pleine lecture Credit RosieKanecomporte plusieurs autres innovations d'après ces concepteurs. Comme celle d'être plus intelligent, plus rapide de 30 %, et jusqu'à 30 % plus puissant en fonction des besoins. Enfin celle-ci et plus petite que les modèles précédents et disponibles en en 3 tailles différentes. Une main qui se distingue par ses cinq doigts articulés. Couplés à une rotation motorisée du pouce, ils permettent une préhension assurée de tout type d'objet, en toute circonstance

Un bras qui à changé leurs vies !

Pour Rebecca Marine, porteuse d'une prothèse i-limb.pour qui cette nouvelle « prothèse a changé sa vie », celle-ci qui souligne apprécié « particulièrement la possibilité de pouvoir choisir presque sans effort les différentes prises en faisant des gestes subtils, mais distincts. La nouvelle version qui existe aussi en petite taille conviendra particulièrement aux femmes et aux enfants ». Un sentiment que partage également Bertolt Meyer chercheur en psychologie sociale a l'université en Allemagne, né sans bras gauche un handicap qu'il ne cherche plus a caché, et explique dans la video ci-dessous comment la technologie de sa main i-limb ultra révolutionnaire et «comment ça a changé sa vie».

Seule point son coût même si ces concepteurs n'hésitent pas affirmé pouvoir dans les prochaines années a faire baisser son prix. À noté pour le marché français que le concepteur et depuis le début de l'année 2015, et pour le produit i-limb ultra de Touch Bionics est devenu la première main bionique à être approuvée par l'Assurance Maladie en France.

Stéphane LAGOUTIERE

Une semele equipe de capteur sur la chaussure retransmet les sensations au cerveaux« J'ai l'impression de revivre, J'ai l'impression d'avoir de nouveau un pied », confie Wolfgang RANGGER à l'AFP, enseignant de 54 ans amputé sous le genou en 2007 suite aux complications d'un AVC, et qui peut désormais marcher ou courir. Si cet aspect n'est pas une révolution, celle de l'équipe autrichienne qui a présenté hier cette prothèse à Vienne consiste simuler les sensations du membre amputé. Une première mondiale qui pourrait changer le quotidien des patients et aider à combattre leurs douleurs fantômes, dont souffrent beaucoup d'amputés.