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Sport et Handicap : une union possible à l’université de Tours, qui remet six fauteuils au SUAPS

Remise de fauteuil à l'universite de ToursLe 3 avril dernier Loïc VAILLANT, Président de l'université de Tours, en présence de Laurence HERVIOU et de directrice de la petite enfance et de la santé au Conseil Général et Haicha LABONNOTE et du dirigeant de l'entreprise Tween, fournisseur des fauteuils. La mission handicap de l'université de Tours, grâce au soutien financier du Conseil Général d'Indre-et-Loire, a remis au service universitaire des activités physiques et sportives (SUAPS) six nouveaux fauteuils roulants spécialisés pour les activités handisport (rugby fauteuil, baskets fauteuil, frisbee fauteuil...).

Une opération, dont le coût s'élève à 7500 €, a été possible également avec la collaboration d'une jeune entreprise locale, la société « Tween » dirigée par d'anciens étudiants. L'objectif étant au final de favoriser le développement des activités handisport et permettre l'accessibilité aux sports au plus grand nombre. La mission handicap et le service des sports de l'université de Tours proposent un programme « handisport » à destination des étudiants avec la pratique de différentes disciplines, des travaux en groupe et en atelier...

Ces cours de pratique handisport sont ouverts à tous, étudiants en situation de handicap ou non. C'est l'occasion d'une pratique entre camarades de promotion qui, sans matériel adapté, ne pourraient pas partager ces moments d'apprentissage, de plaisir et d'échange autour d'une activité sportive. De nombreuses pratiques sont possibles, avec ou sans fauteuil handisport tel que basket fauteuil, frisbee fauteuil, rugby fauteuil, volley assis, handidanse... torball, cessi-pétanque (sport pour malvoyants), tir à la sarbacane, Boccia, fléchette pendulaire, ou bien encore l'UEO « Multisports Handi-Valides ».

Un président d'université, Loïc VAILLANT, à lui insister dans son discours sur l'attachement aux valeurs citoyennes de l'université et humaniste et si effectivement l'université est un lieu pour les lycéens « d'obtenir un diplôme de l'enseignement supérieur », les études sont aussi, souligne-t-il représente un « temps et un moment privilégié d'épanouissement personnel et de construction de soi ». Précisant que les raisons de cela et de permettre à veiller « à ce que les étudiants en situation de handicap puissent aussi avoir une « vie d'étudiant ».

C'est-à-dire qu'ils peuvent accéder, comme les autres, aux services offerts dans le domaine de la culture, par les bibliothèques...qu'ils puissent participer aux différentes manifestations organisées par les services, contribuer à la vie citoyenne et bien sûr participer aux activités sportives ». Et de conclure que l'objectif était de « renforcer nos actions dans ces domaines et faire en sorte que le handicap devienne l'affaire de tous, c'est-à-dire de l'ensemble des services de l'université et de la communauté universitaire ».

Bilan positif puisqu'en 2012, la Mission Handicap a accompagné 202 étudiants en situation de handicap, en collaboration avec les référents handicap administratif et enseignants, dans chaque UFR et composante. Une université qui s'adapte à tous ses publics, et met l'étudiant au cœur de son projet de développement quelles que soient les différences.

La Rédaction

L’APAJH inaugure des nouveaux locaux de l’IME Henri LAFAY à Bourg-en-Bresse

Inauguration du nouveau centre autiste APAJH dans l'AinDeux jours après la journée mondiale de l'autisme, et l'annonce du 3e plan autisme pour lequel familles, autistes et association sont loin d'être satisfait et d'avoir trouvé tout juste un début de réponse, l'APAJH a inauguré les nouveaux locaux de son Institut Médico-Éducatif, Henri LAFAY. Un nouvel établissement qui s'inscrit dans le cadre du " Pôle autisme " de l'Ain et permettant l'accueil de 22 enfants et adolescents dans un espace totalement adapté tout en étant ouvert sur la ville. Mais aussi le lancement d'une équipe mobile dans le département une innovation supplémentaire pour la délégation de l'APAJH de l'Ain.

Une cérémonie présidée par le président de la Fédération des APAJH, Jean-Louis GARCIA et Jean-René MARCHELOT président de la délégation départementale de l'Ain. Entouré de Christophe JACQUINET de l'ARS Rhône-Alpes et Jean-François DEBAT, Maire de Bourg-en-Bresse et vice-président du conseil régional et de plusieurs élus locaux et du préfet Philippe GALLI.

Un IME pour une vie ouverte sur la Ville

Conçus en étroite collaboration entre l'architecte et les professionnels ces nouveaux locaux de l'IME ont été construit autour de trois espaces communs : un pôle éducatif, un pôle thérapeutique enfin un pôle pédagogique. Une architecture par ses salles rondes et ouvertes les unes aux autres permet de proposer un cadre apaisant adapté à l'accompagnement de l'autisme. Construit en 2004, l'établissement accueille depuis 2004 des adolescents et des enfants proposant un accompagnement personnalisé, reposant sur une approche pluridisciplinaire. Une démarche fondée sur le développement social, scolaire et comportemental.

Des nouveaux bâtiments, réalisés par Bourg Habitat, nécessitant un investissement de 483 000 € par le CNSA ainsi qu'un terrain de 2500 m² cédé par la ville de Bourg-en-Bresse. Ces nouveaux locaux renforcent parleur situation l'ouverture et l'intégration dans la ville de l'IME. Permettant ainsi aux enfants et adolescents accueillis de prendre leur repas dans les écoles de proximité en bénéficiant de transport en commun et de participer aux activités situées dans l'environnement tel que le Gymnase, la ludothèque et médiathèque notamment. Chacun d'entre eux bénéficiant d'un accompagnement personnalisé, en réseau avec les partenaires.

Un accompagnement « sur-mesure »

Un établissement qui par son accueil et son fonctionnement s'inscrit dans une dynamique d'inclusion portée que souhaite portée le mouvement APAJH. Un lieu de vie proposant ainsi à chacun un projet personnalisé du plus jeune âge jusqu'à l'entrée dans la vie active, afin de lui permettre d'exercer son autonomie et sa citoyenneté. Une solution qui est la seule afin de permettre à moyen ou long terme de concevoir pour ces adolescents aujourd'hui, mais qui seront des adultes demain le droit de vivre et participer dans une société, auquel une partie de leurs droits sont parfois réduits.

Un établissement qui par son ouverture sur les espaces publics de la ville, la scolarisation en milieu ordinaire est mise en œuvre chaque fois que possible. Reste que malheureusement les enfants autistes son encore trop souvent écarté du milieu ordinaire pour preuve la dernière reforme et le taux d'enfants autistes où seuls près de 20 % sont scolarisés.

Ce sont aussi des activités individuelles ou collectives qui sont proposées au sein de l'IME et pour lequel un encadrement par plusieurs professionnels, en pluridisciplinarité, avec des visées éducatives, thérapeutiques ou pédagogiques. Les adolescents travaillent sur leur projet de vie, sur la base d'expérimentations en milieu professionnel ou sur un lieu d'hébergement adapté. L'élaboration de ce projet de vie, qui mobilise ensemble équipes et familles, est fondée sur une évaluation régulière permettant de repérer les aptitudes émergentes.

Une équipe mobile au cœur des familles...

2013 se veut une année riche en innovation avec pour l'APAJH de l'Ain le lancement d'une première équipe mobile pluridisciplinaire du département pour l'autisme vient d'y voir le jour. Elle se déplace auprès des adultes autistes dans leurs lieux de vie, surtout le département de l'Ain, pour les accompagner dans la mise en œuvre de leur projet, au plus près des réalités environnementales et contextuelles qui influent sur leurs difficultés. Ce service s'inscrit, lui aussi, dans la volonté de l'APAJH d'inscrire l'accompagnement des personnes en situation de handicap dans une démarche inclusive.

Ainsi, l'IME Henri LAFAY et l'équipe mobile organisée en équipes pluridisciplinaires se fondent sur des approches diversifiées et complémentaires qui s'inspirent de l'ensemble des connaissances scientifiques actuelles. Ce pôle collabore aussi avec des équipes européennes.

Stéphane LAGOUTIÉRE

Nomination de Stéphane Clavé Directeur général par intérim de l’AGEFIPH

Stéphane CLAVE Directeur Général par Interim a partir du 30 mars 2013 © Philippe CrochardMoins de deux semaines après la présentation et le lancement de sa nouvelle campagne communication, l'AGEFIPH a procédé à un changement au sein de sa direction avec la nomination a compter du 30 mars dernier de Stéphane CLAVE au poste de Directeur Général par intérim par le Conseil d'administration de l'Agefiph en remplacement de Pierre Blanc qui a fait valoir ses droits à la retraite.

Stéphane CLAVE, qui avait occupé jusqu 'a maintenant la fonction de Directeur de l'audit et des affaires juridiques. Ce dernier, Docteur en droit et ancien auditeur de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), Stéphane CLAVE est également chargé de cours à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

La Rédaction

Connaissance du cerveau, lancement officiellement de l’institut CESAME de Lyon

Une personne participe à une expérience sur le cerveau menée par le Centre de recherche en neurosciences à Lyon le 15 mars 2012 ©afp.com/Jean-Philippe KSIAZEKDix jours après la fin de la semaine nationale du cerveau, la Fondation Neurodis à officiellement lancé la premières technologique des cinq plates-formes consacrées aux signaux intracérébraux, sur le site de l'Hôpital Neurologique de Lyon et qui sera entièrement dédiée à l'épilepsie pharmaco-résistante. Au final ce sont cinq plateformes de haute technologie qui composeront CESAME qui seront intégralement mises en place d'ici juin 2014. Quatre plates-formes dédiées à l'ingénierie cellulaire et optogénétique, à l'imagerie anatomique et fonctionnelle cérébrale, à l'environnement virtuel et neuro-immersion pour la rééducation fonctionnelle, enfin une barrière hémato-encéphalique et biodisponibilité des médicaments

Amélioré les capacités de l'homme...

L'Institut CESAME concouru au prix Catalyzer de Biovision, au forum mondial des sciences de la vie, qui se tenu à Lyon du 24 au 26 mars 2013. Un rendez-vous qui a rassemblé plus de 3000 participants issus de la communauté scientifique, des secteurs académiques, industriels, politiques et des représentants de la société civile, contribuant au succès d'un événement devenu un véritable moteur d'innovation. Avec notamment la participation de 3 Prix Nobel se sont donnés rendez-vous à la Cité internationale de Lyon assistant aux différents débats et conférences qui ont rythmé ces 3 jours autour de 6 thématiques* principales dont l'ambition était de mesurer l'impact des facteurs externes (environnementaux) et internes (biologiques) sur la santé du citoyen.

Le cerveau, maladie neurologie et mental

En Europe, une personne sur trois est frappée d'une pathologie en lien direct ou indirect avec le cerveau et ceci à tous les âges de la vie. Selon l'Organisation mondiale de la santé, les maladies du cerveau représentent 35% des coûts de santé publique. L'Institut CESAME de Lyon répond à ce défi majeur. Il se concentre sur un rapprochement entre les connaissances du cerveau, les maladies cérébrales et les activités mentales, opérant ainsi une réelle ouverture des Neurosciences à la santé mentale et, plus largement, à la société.

CESAME s'appuie sur des compétences internationalement reconnues et diversifiées. Soutenu par les mondes académique, hospitalier et industriel, l'Institut CESAME dispose de tous les atouts pour la création d'un pôle d'excellence hospitalo-universitaire apte à développer des thérapies innovantes rapidement transférables vers la pratique médicale. Il fédère d'ores et déjà un tissu industriel désireux de s'associer à sa démarche de valorisation économique.

Des technologies en évolutions...

Totalement opérationnelle depuis janvier 2013, la première plateforme de l'Institut CESAME consacrée aux signaux intracérébraux est installée dans le service de neurologie fonctionnelle et d'épileptologie de l'Hôpital neurologique de Lyon. Elle est dédiée à la recherche sur les mécanismes fondamentaux de fonctionnement du cerveau humain et à leurs perturbations dans l'épilepsie. Concrètement, cette plateforme permet de réaliser des enregistrements de l'activité électrique du cerveau humain chez des patients souffrant d'épilepsie réfractaire et pour lesquels il est nécessaire d'implanter des électrodes intracérébrales dans un but de traitement chirurgical.

Un matériel dédié à l'électro-encéphalographie (EEG) intracérébrale permet l'enregistrement de 256 canaux avec une fréquence d'échantillonnage pouvant atteindre 2048Hz. L'année 2013 sera consacrée à la mise au point d'enregistrements par microélectrodes permettant d'accéder à l'analyse de l'activité ? Électrique à l'échelle du neurone, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives sur la compréhension, à la fois de la physiologie cérébrale et des processus pathologiques sous-tendant la maladie épileptique. Pour ces enregistrements, des fréquences d'échantillonnages culminant à 30 kHz seront disponibles.

Fondation Neurodis, C'est quoi ?

Image du cerveau prise dans le cadre d'une examen médical (Illustration)Parce que les maladies neurologiques peuvent toucher chacun d'entre nous. Notre cerveau est l'organe irremplaçable qui nous permet de rester nous-mêmes et nous devons tout faire pour le préserver et le soigner. En raison des évolutions technologiques, la recherche coûte aujourd'hui 10 fois plus cher qu'il y a 10 ans.

Fondation reconnue d'utilité publique, la Fondation Neurodis a été créée en 2007 en réponse à un appel d'offres du gouvernement visant à créer des pôles d'excellence de la recherche et des soins en région Rhône-Alpes. Elle a pour mission d'apporter de nouvelles solutions de recherche en Neurosciences afin que les malades bénéficient au plus vite des avancées médicales sur le ... Cerveau et les maladies mentales.

Elle permet de lancer des études épidémiologiques ou thérapeutiques sur un grand nombre de patients pour obtenir des réponses rapides, pertinentes et statistiquement valides, d'aborder des problématiques spécifiques à certaines pathologies rares et orphelines et de garantir de meilleures pratiques pour tous les patients. La Fondation Neurodis regroupe 800 médecins, chercheurs et ingénieurs sur quatre sites différents, à Lyon, Grenoble, Clermont-Ferrand et Saint-Étienne.

Stéphane LAGOUTIERE

1 : Micro-organismes : risques et opportunités pour l'être humain. 2 : Améliorer les capacités de l'homme 3 : Utiliser les ressources naturelles sans épuiser la planète. 4 : Comment mieux mettre à profit l'intelligence collective ? 5 : Développer une médecine personnalisée pour tous ? 6 : Pouvons-nous éviter les maladies liées aux modes de vie : individuellement ou collectivement ?

Emploi d’avenir, ont-ils véritablement un avenir pour les jeunes handicapées et dans le secteur associatif

les jeunes travailleurs handicapés ont-ils véritablement un avenir avec cette solution poltiqueAvec environ 1.8 millions de salariés le secteur associatif à temps plein ou partiel, dont 69 % sont des femmes, représente un fort secteur d'embauche des contrats d'avenir notamment pour des jeunes en manque de formation. Mais reste que la question de la capacité des structures associatives employeuses à pérenniser ses postes ne semble pas posé de questions dans les domaines de la santé qui ne cesse de développer et propose des postes stables dans des structures souvent de grande taille. En revanche, les domaines comme la culture, les sports et loisirs, l'accueil touristique offrent beaucoup de contrats de courte durée, dans des petites associations reste lui bien présent. Un défi qui rend d'autant plus nécessaire leur accompagnement.

Cinq mois après le lancement des emplois d'avenir, le secteur associatif a créée selon le Ministre Michel SAPIN plus de 10 000. Des chiffres qui font apparaitre une forte mobilisation du secteur, à titre d'exemple dans le secteur du handicap, l'annonce de l'emploi de 300 contrats d'avenir par l'APAJH, mais aussi les forts moyens de formations significatifs dégagés par les OPCA.

Une mobilisation continue...

Si comme certain média l'avait annoncé et malgré le rythme d'environ 150 contrats signés par jour celui-ci ne devrait pas permettre d'atteindre l'objectif affiché des 100 000 emplois d'avenir d'ici la fin 2013 mais il correspond à quelques détails près au rythme des dispositifs antérieurs. Comme on pouvait s'y attendre, ce sont les associations qui sont les premières à se mobiliser puisqu'elles représentent la majorité des employeurs (46% contre 33% dans les collectivités, où le rythme de délibérations est moins rapide).

Une orientation « insertion » qui se confirme

S'agissant de la cible visée, les premiers chiffres confirment l'orientation du dispositif vers l'insertion de jeunes très éloignés de l'emploi, telle que souhaitée par le gouvernement. En effet, 90% des 2 500 premiers emplois d'avenir ont concerné des jeunes peu ou pas diplômés : 45% niveau inférieur à CAP /BEP, 35% niveau CAP /BEP. La forte vigilance des services pour éviter l'élévation des niveaux de recrutement semble avoir payé. Il n'en reste pas moins que cette orientation continue de constituer un frein majeur pour certaines associations dont les besoins d'emploi portent principalement sur des postes à qualifications importantes, comme c'est le cas dans le secteur médico-social.

Les premiers secteurs employeurs sont les loisirs et l'animation (16.5% des emplois), l'aide à la vie quotidienne (14.5%), les personnels hospitaliers (8%) et l'entretien des espaces verts, maintenance ou nettoyage de locaux (7%). On peut noter quelques initiatives volontaristes telles que le groupement d'employeurs Géans qui propose aux associations employeuses d'Ile-de-France de mutualiser certaines fonctions telles que la GRH, la communication, la sécurisation juridique, la comptabilité, l'administration. Ce recours à des logiques de mutualisation pourrait permettre d'éviter d'accentuer un phénomène inquiétant qui affecte le monde associatif : la généralisation des formes d'emplois atypiques (emplois à temps partiels).

La Rédaction

Le travail peut rendre sourd ! L’employeur lui ne doit l’être en aucun-cas !!!

un salarie avec un marteau piqueur sur la voie publique Paris equipe de casqueA l' occasion de la journée nationale de l'audition qui aura lieu demain, la FNATH tient à rappeler à cette occasion la décision rendu il y a quelques mois par la cour d'appel de Lyon. Celle-ci avait condamné à la suite du non-respect des conditions de travail et de prévention l'employeur pour faute inexcusable d'un employeur, une notion de droit que prévoit l'article L. 452-1 du code de la sécurité sociale. La FNATH qui a souhaité rendre publique cette décision de la cour d'appel de Lyon qu'elle a obtenu pour l'un de ses adhérents, devenu sourd en raison de ses conditions de travail et de l'absence de mesures de prévention. Le travail peut rendre sourd !

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Semaine nationale du Cerveau : Un mystère ou les questions sont toujours plus nombreuse

affiche de la semaine du cerveau 2013Organe le moins connu et ceux malgré les nombreuses recherche, il est l'objet depuis 15 ans d'une manifestation nationale à travers 25 villes française se déroule du 11 au 17 mars sous plusieurs formes : expositions, conférences à la découverte de la "matière" grise. Une fascination que nous avons pour cet organe dut à son caractère fondamental, imperceptible, inconcevable. Fascination qui se transforme aussi en préoccupation pour notre santé « Si nous arrivons à quasiment toutes les soigner, nous ne parvenons à guérir aucune maladie du cerveau", explique Antoine DEPAULIS, directeur adjoint de l'Institut des Neurosciences de Grenoble.

La Semaine ça commence ce lundi

Image du cerveau et des définitions des parties et de leurs fonctionsOrganisé une nouvelle fois et ceux dans plus de 62 pays du monde sous l'égide de la Société des neurosciences et le parrainage de l'académicien des Sciences Michel LE MOAL. A l'heure ou l'homme est sur le point de découvrir de partir a de nouvelle conquête avec le robot Curiosity sur Mars, et ou la planète terre n'a plus guère de secret pour l'homme. Reste que ce dernier n'a toujours pas exploré l'un des organes les plus de son organisme le cerveau !

Une manifestation dont l'idée principale étant de sensibiliser le plus grand nombre aux enjeux portés par les neurosciences. Car le cerveau reste un organe encore très méconnu malgré les moyens investis. Mieux le définir, c'est également ouvrir une voie à des thérapies effectives contre les maladies psychologiques, du développement ou neuro-dégénératives, telles que l'autisme ou Alzheimer. Aujourd'hui, des thérapies et des traitements permettent d'atténuer les symptômes de l'autisme. La maladie d'Alzheimer, elle, reste incurable et devrait frapper de plus en plus d'hommes et de femmes dans les décennies à venir. Pour savoir les différentes activités proposées près de chez vous, n'hésitez pas pour cela à consulter la carte de France des activités proposées.

Comme tous les ans depuis 1999, la Semaine du cerveau permet également aux curieux d'en apprendre davantage sur cet organe qui n'a pas d'équivalent. Spécialistes de l'encéphale en tous genres ouvrent les portes de la connaissance et rendent accessibles des problématiques de recherche très pointues afin de mettre à jour le grand public sur les dernières innovations concernant le cerveau.

Le Cerveau : Pour en savoir plus..

Couverture de l’atlas du cerveau paru au édition De BoeckTrès complet, l'Atlas du cerveau est un guide visuel édité chez De Boeck, celui présente le système nerveux central humain actuel et didactique, cet atlas du cerveau est un manuel destiné aussi bien à l'étudiant abordant l'anatomie du système nerveux central qu'au praticien qui cherche à mettre au point un cas clinique. Les cinq parties du livre sont disposées dans un ordre logique. Aux images du cerveau dans son ensemble et de sa vascularisation font suite la description des tranches, orientées dans les trois plans de l'espace, les coupes histologiques et, enfin, les représentations simplifiées des principales voies de conduction. Toutes les parties de l'ouvrage sont interconnectées, les différentes planches étant disposées de manière à faciliter les comparaisons. Tous les documents, d'excellente qualité, sont fournis avec le grossissement auquel ils sont observés et chacun d'eux est accompagné d'un petit diagramme permettant de le situer dans l'ensemble dont il est extrait. Les coupes du cerveau sont obtenues par méthodes post-mortem traditionnelles et par RMN in vivo.

Stéphane LAGOUTIERE