Aujourd'hui 3 décembre 2012, la journée internationale des personnes handicapées, à ne pas confondre avec celle du 9 octobre consacré a la journée mondiale. Une date qui nous permettra principalement aujourd'hui de nous souvenir de la fin d'une décennie qui fut consacrée aux personnes handicapées entre 1983-1992. Date que l'ONU à décidé de proclamé cette journée à l'amélioration de la situation des et à la sensibilisation des populations sur ce sujet. Une date qui pour nous français nous rappel aussi qu'il aura fallu atteindre 3 ans pour la ratification de la convention internationale.
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- Catégorie : JOURNÉE MONDIALE
Demain 1er décembre, le monde entier sera réuni autour de ce qui reste la plus importante pandémie de l'histoire du XXe avec 34 millions atteinte du sida dans le Monde. Si il vrai que l'on peut se réjouir d'une réduction de 5,6 % du nombre de décès liés au VIH/SIDA en 2011 et d'une diminution des nouvelles contaminations, le combat contre le sida n'est pas terminé. Malgré une communication et des campagnes de sensibilisations menées de façon très volontariste depuis 15 ans, le risque de contracter le virus est encore bien réel en Paca. Alors, sortez couverts...La journée mondiale est aussi là pour vous le rappeler.
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- Catégorie : JOURNÉE MONDIALE
Rendu public aujourd'hui 29 novembre le 14e rapport annuel de l'Observatoire des mines (conclusion),celui-ci donne en 65 pages une approche globale de l'évolution de la politique de l'interdiction des mines de la contamination, la clairance de victimes, l'assistance aux victimes, et le soutien à l'action antimines depuis l'interdiction signée par le traité d'Ottawa en 1997. Un rapport qui s'il reconnaît que l'utilisation de mines antipersonnel par les gouvernements est a ce jour à son plus bas niveau, avec un seul pays utilisateur en 2012 la Syrie et quatre en 2011, Israël, la Libye, le Myanmar et la Syrie. Reste que si le financement du déminage atteint un niveau-record, l'assistance aux survivants de mines antipersonnel demeure un défi.
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- Catégorie : RAPPORTS INTERNATIONAUX
Fortement mise en avant en 2011 lors de la sortie du film « le discours d'un roi » et que ce dernier a permis de changer le regard « inquisiteur du grand public » sur cette pathologie beaucoup de chemin reste a faire. Notamment en France en France, car si dans le monde le nombre est lui estimé a 1 %. En France il serait environ 650 000 soit aussi 1 % des Français. Un petit nombre d'homme, de femme et d'enfants pour lequel le fait de s'exprimer peut se transformer parfois en cauchemar !
En France deux associations seront à la pointe lors de cette journée de manifestation, la première l'APB (Association Parole Bégaiement), qui réunit plus de 800 membres, personnes qui bégaient et thérapeutes, relaie cette Journée mondiale en France en organisant des manifestations dans les principales villes de France, de Suisse et de Belgique. L'autre AVB (Association Vaincre le Bégaiement).
Deux associations qui par leurs actions apporte, développe et soutienne les familles et des jeunes enfants des professions de la santé et de l'éducation, mais soutien également des réseaux d'entraide pour les personnes bègues. Deux associations membres de la fédération européenne d'associations concernant le bégaiement (ELSA) et de l'association internationale (ISA) qui organise notamment un congrès mondial tous les trois ans et qui est à l'origine de la journée mondiale du bégaiement. Deux sites associatifs où vous pourrez trouver toutes les réponses aux questions que vous pouvez vous poser.
Un handicap mondial souvent mal vécu !
Estimé a 1 % dans le monde avec sur quatre personnes concernées trois seront des hommes. Malgré l'étendue et les conséquences, souvent dramatiques, dans tous les domaines de la vie, le bégaiement reste un problème ignoré. Les personnes concernées font fréquemment l'objet de discriminations, quelquefois de désavantages et même de préjudices. Cela est vrai pour des pays comme la France, mais particulièrement aussi pour des cultures ou des sociétés du tiers monde dans lesquelles troubles de la communication sont considérés comme une honte et couverts de tabous. Alors qu'ils sont près de 3 % au Sénégal.
Un handicap de la parole qui pourtant peut être traitée dans certains cas et trouvée des solutions satisfaisante. Pourtant, la peur de mal parler et la réaction de l'entourage « à la différence » persistent et conduisent souvent la personne qui bégaie à modifier ce qu'elle veut réellement dire et à se replier encore davantage sur elle-même. Pour se protéger du regard des autres, quelqu'un peut chez le boulanger pointer ce qu'il souhaite, car « baguette » lui semble trop difficile à prononcer. Pareille pour l'enfant qui en classe interrogée « combien font deux fois deux ? », il répondra six ou huit, au lieu de quatre trop difficiles a prononcé. Situation comme l'indique l'AVB, provoque un isolement de la vie sociale ou malaise et agacement souvent partagé par l'entourage qui ne sait pas quel comportement adopter, vis-à-vis de ce problème, vis-à-vis de cette personne.
Le Bégaiement est-il vraiment un handicap
Interrogé en tribune libre voici ce que nous un lecteur. Les personnes bègues avec qui j'ai parlé refusent souvent de considérer le bégaiement comme un handicap, impliquant qu'eux-mêmes soient handicapés. Je les comprends et j'ai tendance à penser pareil. Donner une connotation aussi forte à ce trouble pourrait être ressenti comme une fuite de responsabilité (« ce n'est pas ma faute, si je ne peux pas, c'est à cause de mon bégaiement ! »). Je déteste cette idée de fuite. Cependant, beaucoup d'éléments pourraient permettre d'affirmer que le bégaiement est un vrai handicap en voici la liste.
J'ai très longtemps refusé de voir mon bégaiement comme un handicap, car je ne voulais pas donner plus d'importance à quelque chose que je haïssais en moi. Cependant, le reconnaître est un moyen de commencer à chercher une aide externe. « Peut-être que ce n'est pas vraiment ma faute si je bégaie. Alors si c'est en partie la faute des autres, pourquoi ne m'aideraient-ils pas ?» C'est ainsi que j'ai entrepris la démarche volontaire d'aller voir une orthophoniste. Auparavant, je vivais les rares consultations que j'avais faites comme une intrusion dans ma vie privée, je me refermais complètement et obstinément. Accepter son bégaiement comme un handicap, c'est un peu s'ouvrir aux autres et accepter leurs aides.
Dernier point, je pense qu'il est important pour les personnes bègues qu'elles reconnaissent leur bégaiement comme un handicap face à la société. Faire reconnaître le bégaiement comme un handicap auprès du public est le seul moyen pour défendre les intérêts des bègues. La démarche de certification de travailleur handicapé à la COTOREP est la reconnaissance « légale » de ce statut de handicapé à cause du bégaiement. Si les bègues ne sont enregistrés nulle part, ils n'existeront pas aux yeux de la loi et le problème continuera d'être masqué.
Tout dernier point, accepter le bégaiement comme un handicap n'est pas synonyme de fatalité. Une personne bègue que rien n'empêchera de continuer ses efforts dans sa lutte continuelle contre son trouble. C'est peut-être aussi pour cette raison que de nombreux bègues refusent cette dénomination de « handicap ».
l'AVB se mobilise autour d'une permanence téléphonique
L'AVB souhaite clarifier les choses et donne des conseils : en parlant avec une personne qui bégaie, il est important d'appliquer les mêmes règles que lors de toute conversation avec une personne non concernée par le handicap, garder le contact visuel (détendu, sans faire de mimique, éviter de froncer les sourcils), et surtout laisser la personne finir elle-même ses phrases.
La personne qui bégaie sait exactement ce qu'elle veut dire. Simplement, elle ne sait pas forcément le dire de façon fluide. Dans ce cas, la volonté, même bienveillante, d'aider la personne qui bégaie est contre-productive. Cette personne a le sentiment d'être maternée, de ne pas être respectée et ce comportement peut même aggraver la symptomatique du bégaiement.
Cette année une permanence téléphonique aux horaires étendus se tiendra au sein de l'AVB. En composant le (+33) 03 88 75 12 12, nous répondrons à toutes les questions sur le handicap et apporterons une écoute et un soutien personnalisés aux appelants. Des moyens supplémentaires sont également mis en œuvre pour fournir une réponse rapide aux courriels et aux lettres.
L'Orthophoniste un allié précieux
La Fédération nationale des Orthophonistes rappel de son côté l'importance et le rôle concret de l'intervention orthophonique dans le cadre de ce trouble. Un soutien essentiel pour ce qui peu apparaître dès 3 ans, et se poursuivre jusque l'âge adulte. La FNO qui rappel la cause du bégaiement n'est pas unique plutôt un ensemble de facteurs. Parmi eux, des troubles physiologiques, psychologiques, et même des facteurs génétiques.
L'orthophoniste interviendra auprès d'une personne atteinte de bégaiement, après avoir réalisé un bilan orthophonique qui a pour but d'établir un état de la situation d'un patient à un moment donné et une évaluation préalable de ses capacités/incapacités. Au final le bilan orthophonique est un examen clinique et technique, où l'orthophoniste, centré sur le patient, étudiera le ou les domaines du trouble concernés par la plainte.
Une fois le bilan orthophonique réalisé, l'orthophoniste posera un diagnostic et établira un projet thérapeutique. Il existe plusieurs sortes de rééducation. En libéral, elle peut individuelle, ou en groupe si le patient peut en tirer profit. La durée du traitement est fonction du patient, l'intervention orthophonique peut se maintenir sur plusieurs années. Les séances de rééducation ont une durée minimale de 30 minutes. La régularité aux séances est fondamentale pour la réussite du traitement.
À lire...
Devant le succès de l'édition précédente (2005) réalisée grâce à une subvention de la Direction générale de la Santé, l'association parole bégaiement, publie son troisième fascicule sur ce thème. Rédigé par des thérapeutes et membres de l'association, ce document fait le point sur la prévention du bégaiement en France, après 20 ans d'action et d'information. Conçu pour les professionnels de la petite enfance, notamment pour les orthophonistes. Un livre que vous pouvez acheter au prix de 12 € sur le site de l'association. Autre guide pratique celui de l'AVB. Édité afin de répondre aux questions que posent tant les personnes qui bégaient que leur entourage. Un livret présentant les différents aspects du bégaiement et donne des conseils avisés et divisés en quatre parties. Pour recevoir ce livret vendu au prix de 12 € sur le site la aussi de l'association.
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- Catégorie : SANTÉ -- INTERNATIONAL
Organisé chaque année depuis le 16 juin 1991 en souvenir du massacre de centaines d'enfants lors d'une marche pour leurs droits à Soweto (Afrique du Sud) par le pouvoir de l'apartheid le 16 juin 1976. Une XXIIe édition placée sous les « Droits des enfants handicapés, un devoir de protéger, respecter, de promouvoir et de rédiger ». Sujet d'actualité alors que plus d'une dizaine de pays africains n'ont toujours pas signé ou ratifié la convention internationale. Un contient africain où l'ONU estime le nombre total de personnes handicapées entre 80 millions dont environ la moitié serait des enfants.
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- Catégorie : SOLIDARITÉ INTERNATIONALE
Le Comité des droits des personnes handicapées a ouvert ce matin sa septième session, qui se tient au Palais Wilson, à Genève, jusqu'au 20 avril, adoptant l'ordre du jour et le programme de travail de la session. Les journées suivantes de la septième session et jusqu'au 20 avril, seront-elles consacrées à l'étude des rapports initiaux soumis par les États partis qui commenceront demain avec le Pérou, puis l'Argentine, la chine et la Hongrie pour le continent européen.
La Haute-commissaire adjointe aux droits de l'homme, Mme Kyung-Wha KANG, a informé les experts des faits récents intéressant les travaux du Comité. Il y a également eu un échange avec des représentants d'organismes des Nations unies, d'institutions spécialisées, d'organisations de personnes handicapées et d'autres organes compétents.
La Haute-Commissaire adjointe a notamment déclaré que, depuis septembre 2011, neuf pays ont adhéré à la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ce qui porte à 112 le nombre des États partis à la Convention, dont 67 sont également parties au Protocole facultatif. Le processus de renforcement des organes conventionnels a atteint un stade décisif, a ensuite déclaré Mme KANG, ajoutant que le document final de Dublin II était à l'ordre du jour de la présente session du Comité. Soulignant enfin que le système des organes conventionnels avait atteint ses limites en termes de cohérence et de capacité, et que le déficit de financement avait créé des difficultés supplémentaires.
Le processus de renforcement des organes conventionnels est en train de passer de la réflexion à la mise en œuvre, s'est toutefois félicité, Mme Kang. Elle a aussi attiré l'attention sur la décision de l'Assemblée générale d'autoriser une réunion de haut niveau sur le thème des objectifs du Millénaire pour le développement et les personnes handicapées, qui aura lieu en septembre 2013. Un document final qui devrait être précis et axé sur les résultats pour un renforcement des droits des personnes handicapées. Un Fonds d'affectation spéciale multibailleur a en outre été lancé pour soutenir la pleine mise en œuvre de la Convention au niveau des pays et la première réunion a eu lieu récemment pour définir l'orientation stratégique et les structures de gestion du Fonds d'affectation spéciale. En réponse à une question, Mme KANG a précisé que le Fonds d'affectation spéciale était à l'ordre du jour de la présente session du Comité, devra discuter des structures et mécanismes de gestion.
Le Président du Comité, M. Ronald McCALLUM, a pour sa part rendu compte de ses activités depuis la précédente session du Comité, s'agissant notamment de sa participation à la première réunion du partenariat des Nations unies sur le Fonds d'affectation spéciale multibailleur, indiquant que les discussions vers la composition du conseil d'administration étaient toujours en cours. La prochaine réunion aura lieu en septembre 2012 à New York. M. McCallum s'est par ailleurs félicité que l'Assemblée générale ait accordé une semaine supplémentaire de travail par an au Comité, lui permettant ainsi de tenir deux sessions annuelles. Il a enfin exprimé l'espoir que, dans le cadre du processus de renforcement des organes conventionnels, l'Assemblée générale allouerait davantage de ressources aux Comités.
Le secrétaire du Comité, M. Jorge ARAYA, a indiqué que 10 États avaient soumis leurs rapports depuis septembre 2011, le nombre total de rapports reçus s'élevant ainsi désormais à 27. L'examen des 25 rapports en instance devrait être complété en 2018, ce qui entraînera un retard cumulé de sept ans. Par ailleurs, 49 pays sont en retard dans la présentation de leurs rapports.
Le Comité a ensuite procédé à un échange de vues avec des représentants du Haut-Commissariat aux droits de l'homme, du Département des affaires économiques et sociales de l'ONU, de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, de l'Organisation mondiale de la santé, du Fonds des Nations Unies pour l'enfance, de l'International Disability Alliance, de l'International Disability and Development Consortium, et de Human Rights Watch.
Ainsi, le Haut-Commissariat aux droits de l'homme a attiré l'attention sur une étude qu'il a menée sur la violence contre les femmes handicapées. Il constate notamment que les principaux facteurs de vulnérabilité sont liés à des préjugés, à des barrières de communication, et à l'isolement dans des établissements spécialisés. L'exposition à la violence est directement liée à déresponsabilisation des personnes handicapées. Dans de nombreux cas, l'impunité est un problème qui a contribué à l'exercice de la violence sur une longue période. Les femmes handicapées sont plus susceptibles de vivre dans la pauvreté, dans l'isolement et avec le chômage, et les femmes handicapées appartenant à des minorités font face à des risques encore plus grands. L'étude a également examiné les mesures d'ordre juridique, notamment, que les États avaient mis en place pour protéger les personnes handicapées, constatant qu'il n'y a souvent pas de cadres juridiques spécifiques pour protéger les femmes et les filles ayant un handicap contre la violence. Il semble y avoir peu d'efforts pour s'attaquer aux causes sous-jacentes à la violence contre les femmes et les filles handicapées, tandis que les programmes généraux sur la violence fondée sur le sexe ne leur sont souvent pas accessibles. En réponse à une question, le représentant du Haut-Commissariat a précisé que le rapport examine aussi la question des stérilisations forcées.
Un représentant du Département des affaires économiques et sociales de l'ONU a réitéré l'engagement de son Département auprès du Comité. Il a notamment indiqué avoir organisé des réunions-débats sur l'intégration du handicap dans le développement, qui ont porté sur les questions du handicap et la coopération pour le développement, de l'autonomisation économique et de la question des données et statistiques. Il a aussi fait valoir que le Département des affaires économiques et sociales coopère avec le Haut-Commissariat aux droits de l'homme pour assurer l'organisation de la Conférence des États partis qui se tiendra à New York en septembre 2012. Il a enfin indiqué que deux études sont en préparation; l'une sur l'intégration du handicap dans le développement et l'autre sur le statut de la Convention.
Le représentant de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle à lui aussi rendu compte des activités menées par son organisation s'agissant des droits des handicapés, en particulier en ce qui concerne le projet TIGER qui vise à fournir des publications dans des formats accessibles à travers les frontières. L'OMPI a également étroitement collaboré avec le consortium Daisy à l'élaboration de normes techniques pour améliorer l'accès aux publications électroniques. Le soutien du Comité est crucial pour surmonter les problèmes et les obstacles politiques et faire comprendre aux parties prenantes que les initiatives de l'OMPI sont complémentaires.
L'Organisation mondiale de la santé a déclaré que le rapport mondial sur le handicap a été lancé au niveau international en 2011 afin de favoriser les échanges entre décideurs politiques et personnes handicapées pour discuter des questions prioritaires et parvenir à un accord sur la marche à suivre. En outre, l'OMS a élaboré des directives pour aider les États à améliorer la qualité des services de réadaptation au sein des systèmes de santé. Les perspectives internationales sur les lésions de la moelle épinière feront l'objet d'un prochain rapport de l'OMS.
L'Organisation des Nations Unies pour l'enfance a indiqué qu'un forum qui se tiendra en septembre 2012 mettra l'accent sur la situation des enfants handicapés et offrira un espace pour l'échange d'informations sur les efforts menés au niveau national, établir des principes communs et des stratégies sur les modèles de coordination.
L'international Disability Alliance a salué la volonté du Comité d'engager le dialogue avec les associations et les organisations de personnes handicapées et a apprécié la place accordée aux personnes handicapées pour faire entendre leurs points de vue. Elle a indiqué qu'elle assurait la diffusion sur le Web des séances du Comité afin de permettre à chacun de suivre ses travaux. Elle a aussi souligné que les représentants de 30 organisations de personnes handicapées sont présents à la session d'aujourd'hui du Comité. L'International Disability and Development Consortium a pour sa part déclaré que les 23 organisations non gouvernementales internationales qui le composent ont contribué à l'étude menée par le Haut-Commissariat aux droits de l'homme sur la participation politique des personnes handicapées et a travaillé avec d'autres sur les objectifs du Millénaire pour le développement et le processus post-2015 afin d'assurer que les personnes handicapées fassent partie du processus de consultation. Enfin, Human Rights Watch a déclaré que les travaux du Comité étaient essentiels pour orienter l'interprétation et mettre en œuvre la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Elle a félicité le Comité pour l'ouverture manifestée à l'égard des membres de la société civile et appréciée qu'il permette leur participation aux séances tant privées que publiques.
Le Correspondant permanent au Etat-Unis
William STARK
Pour aller plus loin : les rapports initiaux soumis par les États partis de : l'Argentine --- de la Chine --- de la Hongrie --- du Pérou en Englais
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À l'occasion de la Journée internationale pour la sensibilisation au problème des mines et l'assistance à la lutte antimines, le 4 avril, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) appelle une fois de plus à intensifier l'action visant à mettre un terme aux souffrances causées par ces armes qui continuent de tuer et de détruire des vies bien après la fin des combats. « La communauté internationale doit continuer d'agir aussi longtemps que les mines, les armes à sous-munitions et les restes explosifs de guerre continuent de tuer ou de mutiler », a déclaré Yves DACCORD, directeur général du CICR.
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