De nombreux décès et handicaps ont été constatés dus au retard des labos à signaler des effets secondaires graves
Les laboratoires pharmaceutiques tardent parfois à déclarer aux autorités américaines des cas d'effets secondaires graves (décès, handicap) liés à la prise de médicaments, un retard qui ne permet pas d'éviter un certain nombre de décès, selon une étude publiée lundi. Ces laboratoires disposent légalement d'un maximum de quinze jours pour signaler à l'Agence américaine des médicaments (FDA) les effets secondaires graves inattendus liés à l'administration de traitements médicaux.