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Nouveau rapport 2016 par l Organisme Belge Myria Traite et trafic des etres humainsLe 18 octobre l’Europe organise une journée de lutte contre la traite des êtres humains. Un facteur qui ne cesse de développer et qui connaît une croissante sous différente forme dans nombreux pays européen ou la Belgique tient l’une première place. Les personnes handicapées qui seraient elles aussi concernées comme le dénonce le rapport 2016 de l’Organisation Myria. Une situation existentielle en France aussi comme à Toulouse ou des personnes vous proposant dans les trams des calendriers aux profits de pseudo association d’aveugle et qui se généralise dans toute l’Europe.

AXINESIS est une start up medtech spin-off de l Universite catholique de Louvain en Belgique creatrice de REAPlanLancé par deux homme Éric HANESSE et le Dr Julien SAPIN AXINESIS est une start-up de l’Université catholique de Louvain en Belgique. REAPlan, celui vient de franchir un nouveau pas qui pourrait maintenant lui permettre en 2016 équipes un établissement Français. Un dispositif médical robotisé interactif destiné à la rééducation des membres supérieurs des adultes victimes d’AVC ou des enfants atteints d'infirmités motrices d'origine cérébrale, a obtenu son marquage CE.

Les juges de la Cour europeenne de justice en 2014La Cour européenne des droits de l'Homme a condamné mardi la Belgique pour avoir imposé des mesures carcérales excessives à un détenu français, psychologiquement fragile, transféré une quarantaine de fois en 8 ans. Durant sa détention, le requérant, Farid BAMOUHAMMAD, né en 1967, avait été transféré 43 fois entre 2006 et 2014. Il avait aussi été placé à l'isolement pendant 7 ans en raison de problèmes de discipline et de violence Selon une expertise psychiatrique, ce dernier souffrait de la « psychose de prison », appelée aussi syndrome de Ganser, avec un « état psychiatrique se détériorant en raison de son régime carcéral particulier et de ses incessants transferts ».

Plusieurs centaines de personnes en situation de handicap ont defile en BelgiquesPrès de quatre cent personnes handicapées issues d'une vingtaine de pays européens, accompagnées de leur assistants personnels, ont manifesté mercredi à Bruxelles pour réclamer le droit de mener une existence "autonome", loin des institutions spécialisées qui les "isolent" du reste de la société.

« Ce que nous voulons ? La liberté. Ce dont nous avons besoin ? De l'assistance », ont scandé sous les fenêtres de la Commission et du Parlement européens les manifestants, qui avaient répondu à l'appel du Réseau européen pour la vie autonome (Enil).

Baptisée "marche des libertés", la manifestation a lieu tous les deux ans, mais c'est la première fois qu'elle se déroulait dans la capitale européenne.

« Je suis une femme, une maman de deux enfants et j'ai le droit de vivre comme n'importe qui », a déclaré à l'AFP Corinne LASSOIE, une Belge de 52 ans qui défilait en fauteuil électrique, sous le soleil.

Mathilde FUCHS : « Les personnes handicapées doivent être des citoyens à part entière et pouvoir vivre selon leurs propres aspirations »

Très dépendante depuis un accouchement catastrophique survenu alors qu'elle avait 24 ans, pratiquement aveugle, Mme LASSOIE réclame un "changement de mentalité" et des moyens financiers pour que « les personnes en situation de handicap vivent au sein d'une société plus inclusive et non dans des institutions qui les isolent ».

« Les personnes handicapées doivent être des citoyens à part entière et pouvoir vivre selon leurs propres aspirations », abonde Mathilde FUCHS, venue de Rennes, dans l'ouest de la France. Cette jeune femme de 32 ans, qui se déplace également en fauteuil roulant, a « étudié l'électronique », mais « personne ne (l')a engagée » », regrette-elle.

Des manifestants venus de diffrents pays pour manifester avec eux

« C'est un combat permanent pour essayer de vivre normalement, les choses banales demandent beaucoup d'énergie », confie Sidney BOZEC, un Bordelais de 28 ans, qui bénéficie d'un soutien financier de l'Etat français pour que six assistants puissent se relayer afin d'assurer une présence 24 heures sur 24 à ses côtés. Mais il se dit "inquiet" que ces aides diminuent.

« Personne ne doit vivre dans une institution. Les personnes handicapées doivent pouvoir vivre en famille, mais pour cela il faut des moyens », résume la présidente du réseau Enil, Jamie BOLLING, en se réjouissant de la présence de manifestants venus notamment du Bélarus, de Bulgarie, d'Allemagne, de France ou encore d'Espagne.

La Rédaction / Avec AFP

Le ministre federal de l Emploi Kris PeetersAnnoncé le 30 décembre, le ministre fédéral de l'Emploi, Kris Peeters vient de confirmer la mise en place d'un délai de deux mois supplémentaires pour certaines personnes souffrant de handicap ou de maladie aiguë afin de ne pas perdre le bénéfice des allocations d'insertion au 1er janvier. Une situation de dérogation qui avait été prévue par le gouvernement Di Rupo, il y a trois ans. Mesure vient à échéance en ce mois de janvier et va exclure des milliers de personnes du bénéfice de ces allocations d'insertion. Une mesure qui selon lui ne concernerait environ que 250 sur les 4.700 Bruxellois concernés par l'exclusion du chômage.

Un report de deux mois qui doit permettre avant tout aux organismes, comme Actiris, ou le Forem, de recevoir toutes les personnes sollicitant une dérogation une dérogation était toutefois prévue pour les personnes souffrant d'un handicap de 33% ; de problèmes de santé physique ou mentale sérieux ; ou souffrant d'une maladie chronique. Elles peuvent bénéficier de 2 ans d'allocations supplémentaires.

Le problème est que toutes les personnes qui avaient introduit une demande de dérogation n'ont pas encore pu être entendues, chez Actiris ou au Forem, les deux organismes chargés de vérifier les dossiers. Mille cinq cents personnes pourraient être concernées. Le ministre de l'Emploi, Kris Peeters, a donc décidé il y a une semaine d'un moratoire de 2 mois, le temps pour toutes ces personnes de pouvoir faire valoir leur droit.

Cohésion sociale fragile

Il aurait également souhaité que les personnes faisant la démonstration qu'elles sont en recherche active d'emploi ne soient pas frappées par une mesure d'exclusion "prise à l'aveugle" et qui risque d'engendrer des sentiments de frustration et de colère au sein d'une population bruxelloise dont "la cohésion sociale est très fragile".

La Rédaction

Philippe COURARD du PS BelgeLe secrétaire d'État aux Personnes handicapées, Philippe Courard (PS) a décidé d'initier une réflexion en profondeur sur le régime des allocations aux personnes handicapées et organise pour se faire une large consultation auprès des différents acteurs du secteur du handicap, indique-t-il vendredi dans un communiqué. La dernière réforme du régime des allocations aux personnes handicapées, date de 1987.

Une refonte donc l'objectif à l'époque avait eu pour ambition de rendre le système plus juste, plus efficace et plus simple. Cependant, malgré les nombreuses adaptations apportées au fil des ans, la réglementation sur les allocations n'atteint plus ses objectifs. En plus de s'être compliquée et considérablement alourdie, elle ne répond pas à l'ensemble des besoins fondamentaux des personnes handicapées, mais elle est également à l'origine d'injustices et d'iniquités de traitement, estime le secrétaire d'État.

Philippe Courard va tout prochainement adresser un courrier personnalisé à l'ensemble du secteur, y joignant un document de discussion. Il invite tous les intéressé à y réagir, soit par courrier, soit par mail, pour le 30 septembre 2012 au plus tard.

"Toutes les réflexions et pistes de solutions sont les bienvenues et seront analysées avec toute l'attention requise", insiste Philippe Courard. "Ma volonté est d'entendre un maximum le terrain, ceux qui vivent les réalités de cette loi au quotidien. L'objectif étant de proposer un premier projet de texte modificatif de cette loi de 87 pour la fin de l'année 2012." En 2011, quelque 314 701 personnes ont bénéficié, en Belgique, d'allocations pour personnes handicapées. Des Belges qui semblent prendre à leur tour sept ans après le vote de la loi en France du 11 février 2005.

La Rédaction

Des policiers au palais de justice a Bruxelles (Archives)Selon une information transmise par le parquet à Bruxelles, celui-ci confirme la mise en examen par le juge Frédéric D. VISSCHER, de deux médecins pour assassinat dont l'un exercent la profession de chirurgien était le père. Une inculpation qui intervient six ans après le décès de la petite Lily alors âgée de 10 jours et lourdement handicapée. La mère du bébé ayant été également été inculpée d'assassinat, mais remise, et laissée en liberté.