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Les possibles et probables futures capitales regionalesAlors que les Français avaient étaient invitées a se rendre aux urnes le 23 et 29 mars derniers pour élire les nouveaux conseillers départementaux, sans toutefois que les véritables compétences des départements soient définies. Une situation qui va elle se renouvelé puisque le ministère de l'Intérieur a annoncé auprès de l'AFP, les capitales des futures régions créées par la réforme territoriale seront arrêtées définitivement que en juillet 2016.

Un processus législatif qui commencera à compter du 22 avril prochain, « le gouvernement présentera les principes et le calendrier de la réforme de l'État en régions, à la suite de la nouvelle carte adoptée par le Parlement », explique le ministère dans un communiqué. « Seront également arrêtées les mesures d'accompagnement des agents dans le cadre de cette réforme ».

Une profonde transformation territoriale

Le ministère de l'Intérieur qui a précise vouloir qu'« aucuns territoires ne doit rester à l'écart ». Un travail qui toujours le ministre, nécessite aussi un nouveau redéploiement administratif. « Les fonctions des préfets préfigurateurs des régions seront déterminées, et les directeurs d'agences régionales de santé et les recteurs désignés », avant de précisé qu'ils seraient « chargés de préfigurer et coordonner la réforme, de conduire le dialogue avec les élus et les organisations syndicales, pour arrêter le projet territorial à la base de la réforme ».

Le gouvernement qui semble vouloir, après la concertation avec les intéressés, mettre à profit l'été 2015 après pourra arrêter par décret la liste des chefs-lieux provisoires, « nécessaires à l'organisation des élections régionales » de décembre 2015. « Les chefs-lieux définitifs seront arrêtés en juillet 2016, après renouvellement des conseils régionaux », conclut le ministère de l'Intérieur.

Un peu plus tôt, le député UMP de la Manche Philippe GOSSELIN s'était ému de cette information, selon lesquelles Caen aurait été retenu pour accueillir la préfecture de région de la Normandie, et Rouen pour le siège du conseil régional. «Les citoyens ne comprendraient pas que le choix du lieu d'implantation du conseil régional soit guidé par des considérations politiciennes, et des luttes d'influence qui prennent leur source au sein du gouvernement», avait-il estimé dans un communiqué en référence à Laurent FABIUS.

La Rédaction

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