28e édition des Semaines d’information sur la santé mentale aborde le travail : Suicide, Dépression et Burn-Out...
Le travail reste un moteur de l’inclusion sociale et d’une indépendance économique contrairement à certains qui voudraient nous faire croire que cette valeur n’a rien d’essentiel. Un sujet d’importance, en abordant du 10 au 24 mars pendant deux semaines à la fois celle de l’inclusion du handicap psychique, mais celle Suicide, Dépression et Burn-Out...comme vient de le faire la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale dans un rapport titre explicite : « L’épuisement professionnel ou burn-out, une réalité en manque de reconnaissance ». Toulouse, en pleines expansions, a choisi de se mobiliser en proposant près d’une 25 manifestation.
Pourquoi tant de « fous » dans nos rues : Des malades mentaux livrés a eux-mêmes
Des patients atteints de troubles mentaux, parfois majeurs, ne sont pas assez pris en charge dénoncent dans nos colonnes des spécialistes. Il est urgent de revoir comment fonctionnent les services psychiatriques, souvent débordés. Et éviter que des malades errent dans les rues sans soutien. Une analyse livré dans le parisien paru ce 16 janvier que vient complété une interview avec Antoine PELISSOLO chef de service de psychiatrie d'Henri Mondor. La dépression touche 4,7 à 6,7 millions de personnes en France (7 à 10 % de la population), les troubles bipolaires, 800 000 à 3,7 millions de personnes (1,2 à 5,5 %) la schizophrénie, environ 670 000 personnes (1 %) et les troubles du spectre de l’autisme, 1 % également.
Tribune, Lettre et Pétition revendiquant « l'amélioration de l'accès aux soins de santé mentale »
Après la Tribune le Dr Bruno FALISSARD, spécialiste de la psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, à l’INSERM réagissant sur l’intention du Premier ministre de faire de la santé mentale la grande cause nationale de 2025. Une question abordée a nouveau par la députée Anne-Cécile VIOLLAND, députée Horizons de Haute-Savoie le 2 octobre dernier. Un sujet critique tant il vrai avec la progression des dépressions depuis 2005, quelque soient la tranche d’âge. Situation qui n’a pas était améliorer face la diminutions permanente du nombre de lit en psychiatrie et de personnel.