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Médecine

  • Épilepsie : Les parents pauvres des maladies neurologiques, les associations poussent un cri d’alarme !

    l'enregistrement dune crise dépilepsie au département depileptologie du service de neurophysiologie de lhôpital de la timone marseille bea0aA l’occasion de la journée mondiale de l’épilepsie ce 11 fevrier, l’association Epilepsie-France interpelle les pouvoir public et la société française concernant les 800 000 épileptiques en France représentant la 3ème maladie neurologique en France après la migraine et la démence. au niveau mondial avec plus de 50 millions de personnes dans le monde. Une maladie qui en France demeure le parent pauvre des maladies neurologique avec un déremboursements, absence de plan national accentué par le problème, une stigmatisation des malades, des déserts médicaux. Une journée, organisée à l'initiative de l'International Bureau for Epilepsy (qui regroupe les associations de patients à travers le monde) et la Ligue Internationale Contre l'Épilepsie regroupant les sociétés savantes en épilepsie.

  • La Haute Autorité de Santé inscrit la paralysie cérébrale dans son programme de travail 2019

    Atti est un garçon de 10 ans atteint dune paralysie cérébrale e3220Pour la première fois la Haute Autorité de Santé (HAS) a annoncé sa décision d’inscrire la rééducation des personnes atteinte de paralysie cérébrale dans son programme 2019 en vue de l'élaboration de bonnes pratiques, basées sur des progrès récents. Une annonce dont se félicite la Fédération française des associations d'infirmes moteurs cérébraux et la Fondation Paralysie cérébrale, seule fondation de recherche en France spécifiquement dédiée à cette pathologie, d’avoir « enfin été entendus pour cette première cause de handicap moteur de l’enfant ».

  • Le Plan Hôpital Santé d’Emmanuel MACRON « Un gosplan pour la santé »

    Frederic BIZARD Président de lInstitut SanteSi ce plan ne contient aucun des éléments clés de transformation, d’adaptation de notre système de santé au nouvel environnement démographique, épidémiologique et technologique, c’est un formidable exemple d’autisme étatique et d’incapacité à tirer les leçons des échecs des dernières lois de santé.

  • Le Vaccin ROR n’aurait aucun lien avec l’autisme selon une études une étude Danoise

    Une infirmière vaccinant contre maladies un jeune nourrisson dans les bras de sa mère empêché la vaccination 46421Une étude menée par des chercheurs du Statens Serum Institut (SSI) réalisée sur 650 000 enfants danois suivis sur plus d'une décennie, invalide pour la deuxième fois s l’affirmation d’une étude de 1998 selon laquelle le vaccin RRO contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, augmente le risque de développement de l’autisme chez les enfants. Les résultats de l’étude publié le 5 mars dans le Journal médical de médecine interne aux États-Unis, arrivent à point, alors que l’Europe et notamment en France ont voit actuellement le nombre de cas de rougeole tripler en seulement un an.

  • Les étudiants inquiets du manque de transparence des essais cliniques au seins des des universités européennes

    Un chercheur effectuant des essais cliniques sur un médicamentsSelon une étude publiée jeudi dans le British Medical Journal, la moitié des essais cliniques réalisés dans l’UE n’ont pas satisfait à l’obligation de rapporter leurs résultats. Les universités sont particulièrement peu performantes, avec seulement 11% des essais cliniques déclarés en moyenne. Une nouvelle inquiétante alors que la rentrée universitaire aura le 00 septembre prochain, mais aussi pour la recherche scientifique.

  • Santé : le mirage du paiement à la performance « L’acte médical n’est pas une marchandise à échangée financièrement »

    Un médecin avec sa tablette en consultation 29ca1L’acte médical n’est pas une marchandise échangée contre une contrepartie financière, mais un service. Ce qui marche dans le commerce, la prime au vendeur ne fonctionne pas en santé. "On ne sait pas ce qu’on paye [...] l’ensemble du système se moque complètement de la qualité", vient de déclarer un haut fonctionnaire de la task force Financement du ministère de la Santé. Cela résume bien la doxa ambiante pour justifier la mise en place du paiement à la performance d’ici à 2022 pour les professionnels et les établissements de santé. Ainsi, après une médecine qui ne se serait souciée que de la quantité d’actes jusqu’à maintenant, on passerait à une médecine tournée vers la qualité. Malgré ce bel emballage, la rémunération à la performance en santé reste une illusion, qui a des effets nuisibles connus et qui passe à côté de la vraie réforme nécessaire des modes de paiement et du financement.